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VOYAGES ASIATIQUES

23 juillet 2008

bientôt un grand espace de liberté : 5ieme voyage

J'ai décidé de voir plus grand cette fois, je prends 10 mois de congés sabbatiques.
Plus que 2 jours de travail et je suis en vacances tout le mois d'aôut et je pars pour mon grand périple asiatique le 08.09, attérissage à bangkok le 09.09 où je vais rester un peu plus d'un mois, puis je redescend en malaisie pour un gros mois , suivit de l'indonésie et je remonte en thailande me poser un peu chez ma copine, pendant environ un mois et je pars explorer laos et vietnam. Je voulais me rendre au cambodge mais la situation actuelle est assez critique, d'autant plus que ma copine thai n'est pas la bienvenue au cambodge (conflit cambodge-thai) ce sera pour une prochaine fois!

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27 avril 2008

4 ieme voyage

Ca y est, le jour de départ est arrivé. A 15h30, je suis à l’aéroport, 2 h avant comme ils disent. Renseignement pour prendre mon billet électronique (très facile). Je prends un dernier café avec ma mère qui m’accompagne et sort sur la terrasse pour fumer mes dernières clopes. 17h, il est temps d’aller à l’embarquement ; je passe au détecteur mon sac à main car ma valise est déjà partie, et là, ça sonne. « Qu’avez-vous dans votre sac ? » « Euh ! Rien ». La steewarte me demande si elle peut ouvrir mon sac, je lui dis que oui ! Mais il n’y a rien de suspect. Une fois dans la zone de transit, je bouquine un peu en attendant l’embarquement, au milieu du bruit incessant des sacs traînés sur le tapis roulant. Puis la file d’embarquement s’active et un message se fait entendre « les passagers des places 15 à 30, veuillez passer en priorité », bien !, j’ai le siège 15a, je n’ai pas à faire la queue. Me voilà dans l’avion, je suis au hublot, ce qui veut dire coincé. Bah !, le vol dure seulement 1h30 jusqu’à Amsterdam. Ca y est je suis bel et bien coincé entre 2 molosses venant probablement de la coupe du monde rugby qui a du avoir lieu ce week-end. Je vais admirer le paysage !

18h30, première collation, encore une heure de vol pour Amsterdam, il est annoncé, sur l’écran de vol une température de 15° (il va caillé). Je suis toujours coincé entre les 2 rugby mens. Que faire ? Attendre !.

Dormir avec le rugissement permanent des turbines, c’est impossible, d’autan plus que je suis juste sur le réacteur. Comme vu du hublot, je vois en premier plan, l’aile gauche de l’avion, je regarde le hublot droit, je vois l’aile trembler ! Est-ce une illusion d’optique ? Il y a du brouillard, on traverse une zone de turbulence, « on va s’écraser, on va s’écraser………

 

Non, trêves de plaisanterie, c’était une blague peut être un délire personnel dû, probablement, à l’ivresse de l’altitude, ou la dépressurisation. Non ! Tout va bien, on vole paisiblement.

Elle m’a donné faim, l’hôtesse, avec sa petite collation, ça m’a ouvert l’appétit. Patiente ! je pense que sur le prochain vol, vers 21h, on aura un bon repas.

Actuellement, nous sommes au dessus de cette masse cotonneuse encerclant notre bonne vieille planète.

Le commandant de bord annonce notre arrivée imminente sue Amsterdam. Il est 18h55, encore 10 à 20 minutes.

Une fois arrivé, je me rends dans un pub hollandais pour boire un café et fumer une cigarette (à l’intérieur de l’aéroport,) il n’est pas interdit de fumer dans les lieux publiques. A 19h45, comme il est marqué sur le billet, je me présente à la porte F9, je fais la queue, je présente mon passeport, et là, l’hôtesse me dit que ce n’est pas la bonne porte, il faut que je me présente F6. Donc, je cours de l’autre côté de l’aéroport, car les portes ne sont pas à côté les unes des autres ; et là, je vois une queue phénoménale, un monde fou.

Bref ! 20h45, je suis dans l’avion, je me retrouve encore coincé. Il n’y a pas d’écran vidéo, pas de musique, pas de tablettes, ça va être long.

22h25, toujours pas mangé, j’ai faim. On nous a distribué tout de même un casque radio sur lequel je me suis branché (c’est déjà ça) J’ai trouvé une tablette, elle était dissimulé dans l’accoudoir, pratique pour écrire ou poser son plateau repas qui, je le sens, ne va pas tardé à arriver. Il y a une boisson qui arrive, on verra la suite.

Bob Dylan dans les tympans, l’hôtesse me propose une boisson.

Le temps, dehors, ne doit pas être au beau, il y a des problèmes d’écoute radio, dues sûrement à des perturbations. Bref ! la bouffe ne veut pas arriver, ils sont radin ou quoi ! On nous distribue des rinces doigt pour se laver un peu. J’ai cru, au premier abord, que c’était la bouffe, mais non !

Une hôtesse cherche à donner des plats spéciaux à des personnes spéciales et me mets l’eau à la bouche, j’ai faim.

Elle se promène avec ses plats en me les passants sous le nez ; patience ! quelque chose me dit que je vais manger d’ici peu.

23h25, la bouffe arrive enfin ; les hôtesses sont quelques rangées derrières, elles arrivent, je vais MANGER !

Pasta au menu.

Arrivé à l’aéroport de KUALA LUMPUR à 15h, il a plu, je suis le troupeau , trouve une cage à fumer et m’y introduit, j’ai la tête qui tourne. Une fois la cigarette finie, je vais à la recherche de ma valise. Pas facile. Une heure après, je la récupère.

En faite, elle était dans un autre terminal, à environ

500 mètre

, relié par une sorte de métro. Je me renseigne pour aller au centre, je prends le KLIA EXPRESS qui m’emmène au KL CENTRAL, puis un taxi m’emmènera où je veux (20rm).

Ca y est, après 24 h de voyage, je suis dans ma chambre (lit dans une cage à poule mais propre), la douche à côté. Mais ça fera l’affaire pour quelques jours (25rm)

Il est 18h.

Le 2.10.07

Vers 10h, je suis sorti déjeuner puis changer de l’argent et autre, d’un coup, je me fais accoster par une jeune fille et sa copine ; j’ai senti le coup foireux. On discute, en anglais, et elle me parle de sa sœur qui travaillait en France…bref ! Puis elle me demande ce que je veux faire, je lui dis que je projette d’aller voir les TWIN TOWERS et elle me dit, « je vais te présenter ma sœur et patati et patata. On boit un café et elle me dit : « viens chez moi, on va voir ma sœur  et on ira aux TWIN TOWERS après, je me suis dis, « qu’est ce que je risque ».

On a prit le taxi, elle a payé et je me suis retrouvé carrément chez elle, avec ses autres sœurs et son père et le grand pa, malade à l’étage. Je commence à discuter avec le père, tant bien que mal, et il me dit qu’il est croupier d’un casino sur un bateau, puis on discute boulot et la sœur qui devait m’être présentée devait se rendre d’urgence à l’hôpital pour une urgence. Donc, avec le frère et ses sœurs, nous sommes partis en voiture et m’ont déposés aux TWIN TOWERS, puis ont continué leur route vers l’hôpital. Arrivé aux TWIN TOWERS, j’ai vite découvert qu’elles n’étaient pas si extraordinaires. Ce sont tous simplement 2 tours jumelles

415 mètres

, certes, mais remplit d’un centre commercial ; je n’y suis même pas allé. Puis, j’ai pris le monorail pour descendre à la poste et ensuite je suis remonté en arpentant les rues de CHINATOWN, j’avais besoin d’une douche après cette journée. Vers 19h30, je vais manger et on verra demain.

Vers 1h30 du matin, je n’arrive toujours pas à dormir ; il fait lourd, je décide d’aller fumer une cigarette dehors et là je découvre une deuxième vie. Le salon de thé, ayant fermé pour la nuit (normal !), des marchands de bouffes se sont installés devant la boutique et tout le long du trottoir, pour satisfaire les noctambules, je remonte dans ma chambre et il fait toujours aussi chaud. La lumière de la pièce s’active en mettant une clef à l’intérieur et par la même actionne le ventilo. Si on éteint, il n’y a plus de ventilation. Alors tant pis, je vais devoir essayer de dormir tout allumé. Bonne nuit !

Le 3.10.07

Ce matin réveil à 8h30, j’ai passé une courte nuit. J’ai déjeuner sur la terrasse du BACKPACKERS surplombant la ville, sympathique.

Vers 10h45, je me suis dirigé vers la poste envoyer mes cartes. Ce fut plus facile car j’avais fais le trajet hier ; 500mètres à pied à travers CHINATOWN puis monorail jusqu’au centre. Je suis allé à la poste, j’ai fais presque tout le boulot, 40 timbres à coller moi-même, autant dire que j’étais à cour de salive. Je me suis acheté des DVD (8rm les 10) 1.6 e puis je suis retourné dans CHINATOWN. Arrivé au BACKPACKERS, je suis allé simplement mangé au snack du haut, sur les toits puis une petite sieste. Après une petite vadrouille dans KL et avoir mangé, je suis revenu au BACKPACKERS pour prendre le ticket de transport que m’a proposé le patron (60 rm, environ 13e) pour KUALA TAHAN , bus+bateau,et là, j’ai rencontré la doyenne des montres suisse (SWATCH) qui discutait avec le patron (ils se connaissaient), elle devait être une habituée des lieux.

Elle parlait bien français donc on engagea une conversation. Quand elle vit ma pochette en bandoulière, elle me dit : « T’es fou ! Il te faut une banane, surtout avec tes papiers dedans, et toujours sous le pantalon ; un coup de cutter, on te pique tout »

J’ai suivi ses conseils, surtout que j’allais peut être dormir en dortoir (à plusieurs). Demain, je pars à 8h15, j’ai demandé au patron de me réveiller à 7 h.

Le 4.10.07

Me voilà près pour le départ au TEMAN NEGARA ; le réceptionnaire m’a réveillé comme prévu à 7h00, je me suis vite débarbouillé et suis allé boire un café. Le café du haut n’était pas ouvert, tout affolé, je courus dans la rue, dans un resto indien, je pris un café et une crêpe. Je revins au BACKPACKERS, il était 7h50, entre temps, la cafétéria avait ouvert, je courus boire un café + un jus d’orange. Le réceptionnaire m’appela le taxi qui viendrait directement me chercher.

Le voilà, il prit mes bagages et je monte dans le bus, il est 8.20h ; 9.30, arrêt pipi dans une station service, dégourdissage de jambes. 9h40, on repart. Autre arrêt, 10h10, pause clope pour le chauffeur, j’en profite aussi. D’autres passagers du bus sortent se ravitailler ; 10h15, on repart pour a peu près 4h. Nous sommes à

162 km

de Kuantan, à l’est, mais nous continuons vers le nord, à Jeranthut, que j’estime à environ

80 km

, où nous allons faire une halte, selon ce que m’a dit le réceptionnaire du backpackers. Je reviens à ma rencontre avec la doyenne des montres swatch qui me conseillât d’acheter une banane pour camoufler les papiers sous le pantalon. Elle m’a fait un peu flipper en me disant que n’importe qui pouvait me voler mes papiers d’un coup de cutter sur ma pochette en bandoulière. Tout au long du voyage, cette flippe s’estompa progressivement. Je me dis que tout va bien se passer. On est arrivé vers 12h, une dame est montée et nous dit qu’il fallait s’acquitter de la taxe d’entrée au parc (5rm) et 1 rm par appareil photo. Juste en face, il y a de quoi se restaurer et l’on doit attendre le prochain embarquement pour 14h. Vers 13.15, je vis partir des personnes pour embarquer. Je les suivis, croyant que c’était mon tour, le porteur prit ma valise et on descendit embarquer. Le patron me dit « non, pas celui là, le prochain ».

14h, me voilà parti sur la pirogue à moteur pour environ 3h. Nous sommes 15 à bord plus le pilote. Juste avant, j’ai rencontré des français travaillant en chine, qui devaient prendre la pirogue aussi mais faute de place, ils prendront la prochaine. Il est 15h30, 1h30 qu’on vogue sur les flots de la rivière Tembelling, avec le bruit incessant du moteur Yamaha qui doit nous propulser à environ

25,30 km/h

. Je viens d’apercevoir une famille d’aborigène se baignant dans la rivière. La longueur de cette rivière doit être d’environ 50km ou peut être moins. 16h, le temps commence à être long, le routard dit que ça passe vite, avec toutes les curiosités qui se présentent, je n’ai, pour le moment, rien vu d’extra.

Une question me taraude l’esprit, comment fait on si une envie soudaine survient ?

Bref ! Admirons le paysage.

16h10, je crois que l’on arrive ! Non, faux espoir ! Encore un p’tit bout. Bonjour, en passant, du collègue qui vogue sur son embarcadère avec d’autre touriste, en sens inverse. J’aperçois une famille de pêcheur, Quelques cabanes avec embarcations, des enfants se baignent, d’autres construisent une maison sur pilotis. Ca y est, on arrive, il est 16h20.

17h10, je suis installé dans la première pension qui m’est tombée sous la main, 40 rn/nuit, petite chambre sympa, douche, toilette très propre. Je suis juste en surplomb de la rivière.

Petite galère en vue, je n’ai pas prévu assez de change. Il m’en reste un peu mais demain, je devrais prendre le bus pour allé à jeranthut changer 50 euro de travellers. Le bus passe à 6.30h et je suis de retour à 13h. bref !, on verra demain.

Sinon, je rencontre 2 jeunes couples de suisses avec qui je partage le repas, en discutant de nos voyages respectifs et du treck qu’ils vont faire le lendemain.

Le 5.10.07, levé 6h00, pour attraper le bus à 7h20, puis direction Jeranthut pour changer les travellers. 2h durant sur les routes traversant la jungle, qui montent, qui descendent ; arrivée 9h15.

Tout d’abord, je vais boire un café et un jus d’orange, je suis parti sans déjeuner, tout était fermé.

Une fois restauré, recherche d’une banque acceptant les traveller’s. 1,2 et la 3ieme fut bonne. Je retourne boire un café au même endroit, je tourne dans le centre, me faufile entre les étales des marchands ambulants, abandonnées ce jour car férié oblige pour les musulmans. Puis vers 12h00, je vais manger et à 12h30, je remonte dans le bus qui m’a amené et à 12h55, nous voilà reparti pour 2 heurs de route. 15h00, enfin arrivé, je paie ma chambre et vais prendre une douche.

Je viens de passer un moment avec un jeune guitariste qui reprend du Pink Floyd, Led Zep, Clapton…

J’ai demandé au tôlier pour faire le « canopy walkway + le bukit terressek », il me dit qu’il ne faisait pas cette sortie, il fallait un minimum de 2 personnes et il n’y avait que moi. Mais il me dit que je pouvais y aller tout seul, c’est bien indiqué. Je suis allé me restaurer puis je suis allé boire un ver chez le guitariste. On a essayé de causer avec nos anglais désastreux, puis des collègues sont arrivés et ils se sont mis à jouer chacun d’un instrument. Il y avait 3 guitares, c’était un moment magique, puis un autre est venue me parler et j’essayais de lui renvoyer le dialogue de façon correct. Pendant environ

3 quart

d’heure, on a tchatché.

C’était une bonne soirée.

Cette nuit, vers 3h du mat, un violent orage a éclaté, j’ai cru que c’était le déluge.

Au petit matin, brumeux, tout est rentré dans l’ordre.

Vers 8h, je me lève et me prépare pour le Canopy Walkway. Je vais déjeuner sur un floating boat puis vers 10h30, je prends la navette pour traverser la rivière et accéder au parc national. Une fois arrivé sur l’autre berge, je grimpe des escaliers, traverse un Ressort luxueux et je suis les panneaux « Canopy Walkway ». Une fois sorti du ressort, je pénètre dans la jungle profonde pour environ 2km (tout balisé) et j’arrive au ponton où l’on paie 5 rn pour se la jouer Indiana Jones. Ce sont des planches de bois soutenues par des filets d’une dizaine de mètre, à chaque fois reliées à des pontons construits solidement autour d’un arbre pour pouvoir admirer la jungle et ce, sur quelques centaines de mètres. Une fois finis, on retourne dans la jungle pour un retour de 2km. Là, j’ai pris un peu plus le temps d’observer des sortes de petits iguanes broutant l’herbe. Tout d’un coup, j’entendis tomber des branches ; sans y prêter attention, je me demande ce que cela peu bien être. Je continue, et tombent toujours des branches. Je regarde en l’air, ce sont des macaques qui cueillent des bananes ou autres et sautent de branches en branches. Une fois ce parcours finis, je pouvais enchaîner sur une ballade d’environ4 h. Mais, j’étais déjà bien en sueur. Je me dis que je reviendrais le lendemain pour le Bukit Terresek.

En fin de soirée, j’ai revu les couples rencontrés la vieil et une autre travellers suisse qui arriva à 7 semaines de sa fin de voyage qui durait depuis 9 mois.

Autant dire que l’on a passé la soirée ensemble à se raconter nos différentes expériences : les 2 jours de trecks dans la jungle pour les couples et les voyages en Asie et Amérique du sud, pour la nouvelle arrivée. La nouvelle venue était aussi suisse. Elle était allée au Laos, Cambodge, Birmanie, Vietnam, Bolivie, Mexique, elle passait en Malaisie et allait en Indonésie. Pour le treck, ils avaient marché dans la jungle et couché dans une grotte mais il y avait « les sangsues » qui guettaient l’arrivée de leur proie à l’aide de leur sonnards, dressées comme des I. Demain, ils repartent tous, chacun pour leur destination, Tia reste quelque jours.

Ce matin, je me suis levé pour faire la ballade du Bukit Terresek, dans la jungle avec Tia. Eprouvant, marcher dans la boue, tous les

20 mètres

s’arrêter pour vérifier si des sangsues se sont hissées sur ses chaussures. Vers 13 heur, on est arrivés au point de départ, je suis rentré, Tia a voulue faire le Canopy Walkway que j’ai fais hier. Je rentre, je me douche et je vais manger sur un floating restaurant.

Sieste obligatoire après mangé, l’après midi se passe et je vais acheter un billet pour demain, au floating restaurant, du Teman negara au Cameron Highland pour 70 rn.Tia et moi partageons un repas et vers 21h, elle va se coucher et moi, je continue ma soirée à la guinguette des guitaristes. C’est ma dernière soirée ici, demain départ 8h. Je prends un dernier cocktail sur un air de guitare, moment magique à jouer avec eux, il est 0h30, dommage, il faut que j’aille dormir, demain, je me lève à 7.00.

Le 8.10.07 :

Je me levé à 6h00 de moi-même. Je me prépare, j’essaie de trouver de quoi me restaurer, en vain. A 7h40, je monte au point de rendez vous et j’attends le bus NKS. Un bus arrive, c’est le bus de l’autre compagnie « HANS TRAVEL’S », 10 minutes plus tard, le van de NKS arrive, il y a 2 hollandaises qui partent aussi. 9h30, on s’arrête déjeuner à JERANTHUT. Je me mets à une table, les hollandaises à une autre, je bois un café et d’un coup, les hollandaises m’invitent à leur table et l’on essaie de discuter. 10h, on repart pour environ 5h00. Je suis seul avec les 2 hollandaises. Je lie un passage de mon livre sur un fond musical, nous sommes sur l’unique route traversant la jungle à perte de vue. James Blunt vient s’égosiller sur la radio. Je demande au chauffeur un arrêt pipi oblige. Nous sommes à une 10ene de kilomètres de KUALA LIPIS. Arrivé à KUALA LIPIS, ce sont les filles qui demandent un arrêt pipi, dans une station service. J’en profite pour m’en griller une, puis nous reprenons la route. Le van NKS et HAN S TRVEL S vont au même endroit et se suivent, se doublent, se font dépasser, comme si c’était une course entre eux, un défi, le premier arrivé. Vers 12h30, on s’arrête à un hôtel, on se restaure, on change de van et on repart.

Le temps, aujourd’hui, est au beau.

On a changé de place, puisque qu’on a pris 2 passagers. Je suis à côté de MAUD « l’hollandaise ».

Le paysage est très verdoyant, magnifique. On change de décor, ce n’est plus la jungle mais la forêt, ornée de petit buissons ; on commence à apercevoir quelque plantations de thé, implantées par les anglais dans les années 3, quelques plantations à étages.

Petite conversation avec l’hollandaise pour s’entrainer à l’anglais avec une touche de français car elle me dit qu’elle connaît un peu le français. Nous arrivons à destination : TANAH RATA dans les CAMERON HIGHLAND, c’est une ville entourée de plantation de thé et de collines encaissées dans une vallée.

Ce soir, j’ai mangé en compagnie des hollandaises et on a finis la soirée ensemble à essayer de communiquer. Nous avons trouvé un deal : Je leur apprends le français et elles m’apprennent l’anglais.

Je suis dans un charmant endroit, sur une colline, surplombant le centre, qui est juste à 5 minutes, orné d’un magnifique jardin à l’anglaise (normal, ils sont passés par là). Les hollandaises logent dans le même guesthouse à quelques mètres.

Un autre couple d’allemand, logeant ailleurs, c’est joint à nous. Après avoir fait connaissances, nous avons décidés de passer la journée du lendemain, ensemble, à visiter un peu.

Suite à cet entretien, nous nous sommes donnés rendez vous le lendemain.

Le 09.10.07 :

A 9h00, les hollandaises et moi avons déjeuné ensemble, puis le couple d’allemandd est arrivé. Vers 10h00, nous sommes partis faire une petite marche de 4 ou

5 kilomètres

, à travers la jungle, sur des sentiers balisés. Arrivés au village un peu plus loin, (2km), nous avons pris le thé dans un hôtel qui était sur notre chemin, puis nous sommes redescendus par la route qui mène à TANAH RATA. Nous avons mangé dans le village, sommes rentrés au guesthouse pour nous débarbouiller et ensuite nous avons pris la route, avec la voiture que les allemands ont loué, pour aller visiter les plantations de thé ainsi que la manufacture. Vers 15h30, nous nous sommes dirigés vers la plantation de fraise. Il pleuvait et nous avons dû monter la colline ; suite à ça, nous sommes rentrés au FATHER’S GUESTHOUSE, où nous pris le thé, discutés un peu. Les filles ne voulaient pas manger en ville, donc nous avons mangé sur place devant un film projeté dans le salon. Vers 21h, elles m’ont dit « bonne nuit » et sont allées préparer leur bagages, nous nous reverrons demain pour l’ultime petit déjeuné ensemble.

Le 10.10.07 :

Ce matin, j’ai pris le petit dèj’ avec les filles, puis elles sont parties prendre le bus.

Au revoir, embrassade et bonsoir. Claudia m’enverra les photos sur le net. Vers 9h30, je suis descendu à l’arrêt de bus pour prendre les horaires.

J’ai un bus à 8h ou 9h ; je suis remonté, j’ai traîné puis je suis allé sur le net communiquer un peu avec les proches.

Vers 11h30, je suis redescendu me restaurer, puis je suis remonté faire une sieste. Vers 15h, je suis allé acheter 2 boîtes de thé pour rapporter au pays, il pleuvait averse. Puis j’ai flemmardé au guesthouse préparant mes bagages.

Au salon, il projette un film, je vais m’affaler devant. J’ai rencontré un breton avec sa copine des philippines, ils viennent d’arriver. On discute un peu puis, j’aperçois l’australienne que j’ai rencontrée un peu avant et je lui demande si elle voulait manger un « morceau » dehors, elle me dit « Yeah ! » puis un allemand vint nous rejoindre, il était de Colmar et il vient grimper les cols de Malaisie en vélo, son seul moyen de transport. Donc, on mange tous ensemble avec les aléas de la compréhension linguistique.

Elle demande une portion « small » elle a une « large », il y eut un petit problème de compréhension avec le serveur ; puis nous sommes allés boire un café dans un pub sympa. Elle me dit qu’elle veut partir aussi de »main, je lui dis que nous pourrions faire la route ensemble.

Le 11.10.07 :

Vers 6h00, je suis debout, j’attrape le bus de 8h pour PENANG.

Christine n’est pas là, tant pis !.

J’arrive au guichet du bus, j’attends pour prendre un ticket (longtemps), la guichetière me dit de passer au guichet d’à côté ; puis l’autre me dit de repasser au 1er, bref, ne nous énervons pas. J’arrive enfin pour payer, je sors 50rn, pour 23 rn, elle me dit qu’elle n’a pas de monnaie, que je dois aller en faire, le bus part dans 10 minutes. Je lui dis « furieux », » si je vais faire de la monnaie et que le bus part, comment fais-je ? ». On me dit d’aller voire le contrôleur juste derrière moi, il a de la monnaie. Je lui demande, il me donne de la monnaie au bout de 2minutes, après avoir bien pris son temps, et me demande de recompter devant lui alors que je savais bien qu’il y avait le compte. Une fois l’appoint obtenu, je peux enfin prendre mon billet et là, je me mets dans le bus, et nous voilà partis, je ne sais pour combien de temps.

45mn plus tard, nous nous arrêtons sur le bas côté, et je vois le chauffeur prendre une visseuse électrique et revisser les roues. Ah bon !

Une fois fait, nous repartons.

A IPOH, on fait une halte à la station de bus, il est 10h45. Il pleut averse, c’est le déluge. Nous allons remonter un peu vers le Nord, direction BUTTERWORTH puis PENANG. Un peu paniqué, je me renseigne si je dois descendre à BUTTERWORTH pour changer de bus ou PENANG. On me dit que je peux descendre à PENANG et prendre le bateau ou BUTTERWORTH et prendre le bus. 10h45, on repart, on réentre dans la jungle à perte de vue. Le bus n’en peut plus, il à peine à monter.

3h40, qu’on roule, il doit rester 1h30 environ. 12.30, c’est long, je crois que je vais m’arrêter à PENANG et monter demain aux îles LANGKAWI. Le beau temps et de retour, ca y est, je suis arrivé à GEORGES TOWN, dans le nouveau terminal de bus, donc, je suis un peu désorienté, je ne pensais pas arriver ici, selon mes prévisions. J’ai pris un taxi (25rm) et je suis arrivé au SD Hôtel, tenu par 2 petits vieux malais, super gentils.

L’hôtel à un cadre sympa, un peu impersonnel mais bon !, on ne peut pas tout avoir, surtout pour le prix. (18rm) 4e08 et en plus, il organise des transferts pour LANGKAWI avec du SNORKELING. Les gens me paraissent super agréables, ici.

J’ai tourné un peu dans les rues, ça me paraît un peu le fouillis ici ! Sinon, je me suis connecté au net, je vais pour payer, « non, non » que me dit le patron « it’s free ! »

Super, non ! Fin de soirée à boire le thé sur la terrasse du guest.

Le 12.10.07 :

Petit dèj conséquent, puis ballade dans la vieille ville, vers 9h30. Retour 10h20, je me connecte un peu, je vais faire un tour du côté de l’ambarcadère, puis vers 13h15, je vais manger un morceau. Vers 14h, je me dirige vers la station de bus locaux pour me rendre sur PENANG HILL. La station n’est pas à côté, je dois remonter quelques rues. Vers 14h30, j’attrape le bus 201 qui doit me déposer tout près. Il me dépose au rond point et doit faire environ

500 mètres

à pied. Je rentre dans « la gare d’embarquement », pour attraper le funiculaire qui doit nous hisser à peu près 500m plus haut. Nous commençons à monter, dans une jungle aménagée en carton pâte. Environ 10 minutes plus tard, on change de rails donc de funiculaire, il y a plein de locaux qui font leur sortie du « dimanche », quelques anglais. Une fois arrivé au sommet, la foule s’extirpe rapidement à l’extérieur et les flashs des appareils photos jaillissent pour voler ce « tableau panoramique », surtout qu’il faut faire vite, le temps tourne rapidement.Il y a une superbe vue sur le détroit de Malacca, on peu apercevoir le pont qui relie l’île au continent, il paraît qu’il fait

13.5 km

. Je parcours l’île de fond en comble, il y a pas mal de randonnées à faire, si l’on est préparé. Puis vers 17h30, je redescends. Je dois prendre le bus qui doit me ramener au point de départ. Il n’est pas là, alors je décide de marcher jusqu’au prochainarrêt. Après 5 ou 6 arrêts, j’attrape le bus au bond n° et lui dit « terminal ».

En fait, il m’a ammené au terminal côte « ferry ». Alors, j’ai dû reprndre un 2ieme bus qui me ramène au bon endroit. Je suis encore loin de chez moi, je demande ma route, personne ne voit où je veux me rendre, presque tout le quartier se mety à chercher. Puis, finalement, je retrouve ma route et attrape le 1er resto qui se présente, je mange un bout et je rentre écrire ces quelques lignes.

Vers 22h, je prends tranquillement mon café en terrasse et je vois plein de voitures bloquées dans la rue. Ca m’interpelle, je vais voir plus haut et il y a un cortège de chart décorés, illuminés qui défilent dans la rue. Voyant cela, je cours chercher mon appareil photo pour immortaliser ce moment. Je rentre à l’hotel et là, pendant que je bois un thé, un jeune japonais vient me taper la conversation, on aparlé pendant bien une heure, on a essayé de communiquer, chacun en anglais.

Le 13.10.07 :

Ce matin, petit dèj soft, internet puis j’ai tenté de me renseigner pour mon trajet de demain pour les iles Langkawi. Je veux savoir s’il est possible de réserver une chambre sur LANGKAWI., impossible de me faire comprendre. Je vais manger au banana et là, je vois passer un couple qui me salue et me dit « bonjour ». « Vous êtes français », dis-je, « oui, on s’est rencontré aux cameron highland » et ils me disent que demain ils vont à LANGKAWI, alors je saute sur l’occasion pour leur poser la question : »est-il préférable de réserver ? »

Ils me disent que ce n’est pas la peine, qu’il y a de la place. Donc, je vais prendre un billet et je verrais sur place. 13 h, je vais faire une sieste. Vers 14h, je vais sur la terrasse du guest, commande un café et bouquine un peu. Cette après midi a été cool à discuter avec des anglais, parfaire le dialecte british. Vers 16h, je me dis qu’il est temps d’aller acheter ce billet pour le trajet de demain (50rm). Ca y est je suis près psychologiquement.

Ce soir, à part mon quartier, tout est fermé, normal c’est le weekend. Cette fois, j’ai pensé aux provisions pour la route. J’ai mangé vers 7h et je suis resté tranquille au guest pour la soirée.

Je me demande pourquoi, ce soir, tous les occupants sont là ; sur la terrasse, sur les ordinateurs, sur les tabourets à tchatcher avec les patrons, bizarre. Il y a beaucoup de commerces fermés mais il y a toujours les étales extérieures des rues, peut être parce qu’il pleut, ou un grand nombre de pensionnaires part demain, comme moi. Bref, sinon la grosse « gueularde » est arrivé : Une femme qui chaque soir rentre au guesthouse, avec une multitude de paquets, jamais contente de l’état de propreté de sa chambre et en plus elle parle fort. Donc, j’ai préparé mes bagages et j’ai demandé à la réception de me réveiller à 6h30 pour être à l’embarcadère à 8h00. Normalement, je devrais me réveiller de moi-même, mais je préfère assurer les arrières. Je ne sais toujours pas si je pourrais loger sur les îles LANGKAWI, mais bon ! J’aviserais en temps.

Buvant mon thé, vers 22h30, un canadien est venus me taper la converse, moitié anglais, moitié français ; puis vers 23h, extinction des feux, pour être en forme demain, bien que le voyage ne doit être aussi long que le premier, mais…

Réveil 5h30, bien avant l’heure prévue ; je mange un peu de gâteau que j’avais acheté la veille. Le tôlier n’est toujours pas réveillé. Je vérifie que je n’ai rien oublié. 6h30, je vais à la porte de la réception, le tôlier se réveille en sursaut, j’ai le temps de prendre un café pour la route.

7h00, je pars pour le FERRY TERMINAL. 7h15, je suis sur place pour partir à 8h30,(mieux vaut être en avance !), j’arrive dans la salle d’attente, il y a déjà plein de monde qui grouillent dans la place. Le 1er convoi de 8h15, s’active au guichet. Moi, je pars à 8h30. 7h45, on nous appelle pour l’embarquement, (ils traînent pas) quelques barrières à franchir et me voilà dans le ferry à quai sur le détroit de Malacca. Encore quelques minutes et nous allons voguer sur les flots, en plein levé de soleil sous PULAU PENANG.

8h30, j’entends les moteurs rugirent ; ça y est le bateau se met dans le bon sens, pour partir, et on se lance à toute berzingue sur les flots, laissant une écume blanche sur chaque côté du bateau.. J’ai la place hublot, mais pas coincé. Je vais sur le pont, fumer une clope et je rencontre une californienne avec qui j’essaie d’avoir une conversation, et elle me dity qu’il y a un breton sur le bateau, je me précipite faire sa connaissance. Il va m’aider à trouver un bon guest chez une amie à lui, car il habite sur l’île. Premier arrêt, ce n’est pas là que je descends, le prochain ; les eaux ici sont turquoises. La moitié du bateau c’est vidé. Nous sommes restés un bout de temps à discuter tous les trois. Un peu plus tard, je suis descendu écrire ces quelques lignes, puis je suis retourné fumer une clope sur le pont ; vite fait, car il fait trop chaud. Dans la cabine assis, les stewards me proposent des gâteaux pour couper la faim, très bon.

12h30, arrivé au port, je vais manger un bout et prends un taxi pour gecko guesthouse, recommandé par le breton.

Voilà, j’y suis, j’ai trouvé une chambre à 25rm ; tout va bien…

Le Guecko Guesthouse est de l’autre côté de la route qui longe la plage, un peu plus au calme.

L’île de LANGKAWI est en Duty Free, donc j’en profite pour me réapprovisionner à moindre coût.

J’ai pris la chambre minimaliste, ce qui me suffit.

J’ai vu sur la plage que l’on pouvait faire du parachute ascensionnel pour 60 rm, ça vaut peut être le coup d’essayer.

Ce soir, j’ai mangé au restaurant d’en face. Ils étaient tellement débordés que j’ai attendu une heure avant d’être servi. Puis j’ai rencontré des belges et des suisses qui eux aussi attendaient pour manger.

Le 15.10.07 :

Ce matin, je suis allé faire un tour à la plage, piquer une tête, puis je suis allé déjeuner et là, j’ai rencontré les suisses d’hier soir qui partaient faire du SNORKELING. J’ai déjeuné avec eux, puis ils sont partis et moi, je suis allé faire une reconnaissance des lieux.

Je suis allé au Duty Free faire quelques achats souvenirs. Vers 12h, j’ai mangé une pizza succulente.

Après un après midi paisible, j’ai vu les suisses qui revenaient de leur SNORKELING.

Après s’être débarbouillés un peu, ils m’ont expliqué leur journée, à l’heure du repas, on a mangé ensemble, papoté et vers 21.30, ils sont allés se coucher, après leur journée harassante. Je bus un dernier café et fis une ballade sur la plage. De retour, je me renseigne pour le snorkeling que je prévoie pour dans 2 jours et la location d’un vélo pour demain.

Le 16.10.07 :

7h, je me lève direction la plage piqué une tête et je reviens prendre une douche et mon p’tit dèj. J’attends 9h, l’ouverture du magasin de location, je prends mon vélo et me voilà parti sur la route visiter un peu ; je m’arrête vers 10h dans un café.

J’arrive dans un cul de sac, je ne peux aller plus loin.

Sur le chemin de retour, je m’arrête à mon guest et là je croise les suisses qui partent en mob.

Je bois un café en terrasse et j’entends parle français. 2 françaises mangent derrière moi.

Elles font un cour voyage de 2 semaines en Malaisie.

On discute de nos expériences, de nos voyages, échangeons des plans.

Vers 11h, je reprends la route dans l’autre sens et 2 heure après, je m’arrête dans une guinguette, cassé une croute, et je continue ma route sur le retour.

Le soir, j’ai mangé avec les françaises puis nous sommes allés boire un ver dans un pub.

Le 17.10.07 :

Ce matin, je me suis levé à 6h30, c’est le jour de mon SNORKELING.

Je suis allé déjeuner au BREAKFAST BAR, puis je me suis rendu au point de rendez vous pour attendre le van qui doit m’amener au ferry pour l’île au SNORKELING. 8h20, la navette arrive, 9h30 embarquement sur le ferry puis 1h30 de traversée sur mer et me voilà au parc à poisson.

Une fois arrivé, on nous distribue les palmes et tuba, puis je suis allé explorer les fonds marins.

Il y avait plein de poisson partout. J’ai acheté un appareil WATERPROOF pour prendre des photos de toutes ces espèces.

Vers 12h30, plateau repas fournis par la direction.

Retour dans les fonds marins, j’aperçois des baracoudas, des requins…., vu la chaleur qu’il fait, je me vois obligé de me mettre à l’ombre un moment.

0h30, plus tard, la tentation d’y retourner me gagne. Vers 14h00, je sors de l’eau, me prépare et vers 15h00, nous voilà sur le chemin du retour, je me sis mis sur le pont du bateau, à la fraîcheur. Arrivé au port, je grimpe dans le van qui m’attend. Quelques kilomètres plus loin, il tombe en panne.

Changement de van et à 17h15, j’arrive en fin au campement où une cigarette et un café m’appellent.

Et là, je rencontre encore des suisses, dont la fille est installée en malaisie, sur la côte est. Puis ce fut un italien.

Ce soir, j’ai rendez-vous avec les compatriotes, pour un repas. Pour la dernière soirée ici, je ne me prive pas, je m’empiffre un crabe, dans un resto qui vient juste d’ouvrir, et pour finir un VRAI café LAVAZZA. Vers 20h45, je retrouve les francaises au pub irlandais. On papotte un moment, puis elles vont se coucher, il est 0h00, car demain elles prennent la route pour KualaLumpur, je pars aussi demain pour PENANG.

Le18.10.07 :

Ce matin, j’ai pris mon p’tit dèj au RAZA, j’ai hélé un taxi pour le ferry. Il est 11h, je bois un café au STARBUCK. Je crois que le prochain bateau est à 14h30, j’ai le temps. Le top serait de pouvoir tout faire d un coup : J’arrive à PENANG, je vais à BUTTERWORTH et je prends le train de nuit pour KL.

Voilà, j’ai pris un ticket pour PENANG, il est 11h35, je dois attendre 14h30 pour le départ.

13h50, je suis sur place, pour attendre l’embarquement, dans le hall d’attente, le temps est devenu orageux, je vais peut être traverser avec la tempête.

Ca y est, je suis sur le bateau, la tempête se prépare belle et bien, j’imagine une traversée folklorique. On verra bien…

Une fois sorti de LANGKAWI, beau temps. Il est 17h15, nous arrivons bientôt à PENANG, tout le monde sort de sa sieste et se positionne, prêt à bondir en dehors du bateau. Sorti du port, je me suis fait directement « agressé » par des taxis qui voulaient me déposer où je voulais pour 40 rm. Ils étaient tellement tenace que j’ai accepté, je voulais d’abord manger, mais bon… !

Je suis en gare de BUTTERWORTH, je voulais prendre le train de nuit mais on m’annonce qu’il est complet donc, je mange et je verrais avec les bus, la station n’est pas loin.

J’ai eu de la chance, je suis allé à la station de bus à côté et j’ai trouvé un bus pour Kuala Lumpur pour 25rm, un trajet de 4h30 et j’arriverais vers 12 h30, j’aviserais là bas ; avec un peu de chance, je pourrais enquiller sur MALACCA. Je viens de m’apercevoir que j’aurais pu prendre un bus direct pour MALACCA. Tant pis, j’en prendrai un autre une fois à KL, vive l’aventure.

19h50, je suis dans le bus direction KL.

NUIT DANS LES RUES DE KUALA LUMPUR.

Je suis arrivé à 0h30, apparemment, il n’y a pas de bus avant h00, me dit-on, je patiente, je vais dans un cyber, e sors, puis on me dit que finalement, il y a un bus à 3h30 (bonne nouvelle !), alors, je m’assoie au guichet et j’attends.

15rm le trajet, je me débrouille bien, pour une durée estimée de 3h00.

4h20, le bus arrive enfin, il a eu du retard pour cause « HARI RAYA  FESTIVAL ».

 

J’essaye de dormir, je n’y arrive pas. A 6h20, on arrive au terminal de MALACCA. L’endroit est désert, (normal, il et 6h du mat !). Je marche au moins

3 km

avant de trouver « tony’s guesthouse » (ca fait du bien le sport). Ca y est, je l’ai trouvé, un écriteau dit qu’il sera de retour à 10h30. Pour le moment, je vais prendre un bon café en face. J’ai appris à être patient cette nuit. Ca y est, je suis finalement installé mais pas au Tony’s, j’ai pris une chambre à « l’eastern heritage ». Petite chambre sympa, proprio sympa pour 25 rm.

Je suis allé faire un tour de reconnaissance, je me suis un peu pommé mais bon !...Ce soir, il y a grande animation dans le quartier chinois, grand marché, karaoké. Je me couche vers 11h.

Le 21.10.07 :

Ce matin, je me lève vers 8h30, je me débarbouille je vais manger un morceau et je découvre un quartier donnant sur le détroit. Bizarrement, plusieurs personnes me disent de ne pas y aller, qu’il n’y a rien à voir, que la mer était beaucoup plus loin. Bref !, en sueur, je me dis que rentrer était une bonne solution.

Tout aussi bizarrement que ce la puisse paraître, je n’ai vu aucun chien dans les autres régions, et à Malacca, il y en a de partout !

Je suis allé manger un riz végétal avec café et jus de citron (6.5 rm), puis je suis allé au quartier chinois essayer de négocier les T-shirts d’artiste ; rien à faire. J’ai réussi à descendre le prix de 10 rm ( 30 au lieu de 40) pour un tour de ville en treekshow.

Je suis retourné au quartier chinois et je suis tombé sur un pub irlandais, le patron super sympa qui jouait dans un groupe et joue toujours du piano dans son bar, pour les clients ; il m’a joué une chanson de piaf. J’ai rencontré un couple de français transitant dans le coin, on a prit un café ensemble ; ils arrivaient et voulaient faire un peu le même trajet que j’ai fait. Continuant mon tour de quartier, je suis arrivé au quartier arabe et je me suis posé au discovery café et là, j’ai discuté, longuement, en anglais, avec la serveuse.

J’ai mangé des sushis à même les étales, sur le marché, et je suis allé boire un café au pub irlandais. Il y avait un couple, 1 malais et une anglaise. Le malais commença à m’adresser la parole puis nous avons, le malais, l’anglaise et moi, discutés pendant une bonne heure, de voyage, car elle avait de nombreux voyage à son actif.

Je les ai quittés, je suis allé boire un jus de citron sur le marché puis j’ai décidé d’aller dans un autre quartier.

Une fois arrivé au guesthouse, qui je vois ?, le patron d’un guersthouse de la rue love lane à PENANG qui est passé voir le patron de l’EASTERN HERITAGE, son pôte

1h30 du mat, peux pas dormir.

Le 21.10.07 :

Ce matin, un peu dans le coltar, je suis allé déjeuner, vers le park à treekshow et il y avait le treekshowman, à qui j’avais demandé le prix, la veille, qui m’attendait et il me dit : »I remember you when you come for a tour ».

« Not, now, i must have breakfast »

Je suis donc allé déjeuner et après, je suis allé faire un tour de ville en treekshow, il y tenait tellement.

Vers midi, je suis allé dans le quartier chinois, mangé un morceaux et en revenant, je me suis arrêté à la boutique d’artiste et j’ai acheté un T-shirt. Je suis rentré, j’ai fais une sieste et je suis allé dans le quartier arabe, acheté 2 autres T-shirts pour la forme. (10.8rm).

Le soir, je suis allé voir le dernier confectionneur de chaussures miniatures pour chinoises aux pieds bandés.

Le 22.10.07

Ce matin, j’avais prévu de partir mais finalement, je pars demain, je suis allé demandé au Tony’s guesthouse, si c’était le même patron quand Thaîlande à AYUTAYA. Il me dit que non, qu’ils ont pris le nom. J’ai déjeuné, j’ai récupéré mon linge, j’ai fais la connaissance de 2 jeunes suédoises de 20 ans, parties pour 3 mois de voyage. Je suis allé à internet, puis je suis allé me rafraîchir avant de faire ne petite sieste.

A 15h, je suis sorti dans CHINATOWN boire un café glacé accompagné de confiseries locales, pour me réveiller, et je me suis mis à la recherche d’un bon massage. J’ai demandé à droite, à gauche, on m’indiquaient des lieux pour la haute donc chers . Vers 17h, je retourne au guesthouse prendre une douchee oblige et en sortant, je m’arrête au café DISCOVERY. Là, la serveuse vient me parler et de fil en aiguille, je lui demande où est ce que je peux avoir un bon massage de préfrence avec une fille. Elle me dit » don’t care, i find you, somebody » De coup de téléphone en coup de téléphone, elle me dit : « Okey, i have somebody for you »

Et là, je vois arriver une jolie jeune fille d’une 20ene d’année et nous allâmes en chambre pour le massage.

Il est 20h, je vais boire un verre et là je rencontre une voisine de guest, Irlandaise, qui parlait très bien le français. On discute, elle est là pour le week end car elle habite en thaïlande.

Travaillant dans l’hotellerie, son travail lui permet de beaucoup voyager ; puis un canadien arrive, on boit un verre et le canadien rentre. L’irlandaise et moi rentrons au guesthouse et là, je rencontre des français venant de Grenoble. On discute pendant une bonne heure, ils sont dans le médical tous les 2 et voyage pendant 1 an. Il est 12h25 du soir, je vais fumer ma dernière clope et me coucher. Demain, je prends la route pour KUALA LUMPUR avec l’irlandaise.

Le 23.10.07

Ce matin, j’ai déjeuné avec l’irlandais puis, vers 10h, il pleut et Marion veut visiter un peu Malacca. Je lui dis qu’on se retrouve au guesthouse. 12h30, elle arrive, on passe dans un magasin d’art où elle a achetée quelque déco puis elle veut aller voir l’artisan rare qui fait des chaussures dont je lui ai parlé.

On prend le taxi pour la station de bus et elle décide finalement d’aller à l’aéroport en taxi, c’est plus simple pour elle. Moi, je descends à la station de bus pour KL centre, et me voilà dans le bus pour KL (10rm). Ca y est, je suis arrivé au point de départ, la boucle est terminée.

Je me suis rendu au même quartier, le quartier chinois (pratique, il est à côté de la station de bus). Cette fois, je suis allé au backpacker’s traveller’s in. J’ai une chambre pour 20rm, ça m’a l’air sympa. Première angoisse, je dois confirmer mon billet de retour, les agences du coin ne me comprennent pas ou ne veulent me comprendre. On me dit finalement, que l’agence mère est fermée ce jour.

Le 24.10.07

Ce matin, je me suis levé à 8h30, déjeuner et sauté dans un taxi pour KLM office, je croyais être en retard, car la confirmation et a faire 72h avant. Mais aucun souci.

Ce soir, je vais au marché une dernière fois puis je rentre. Dans le salon intérieur, il y a un groupe qui discute : ce sont des philippins, ils m’invitent à prendre part à leur discussion. La bonne ambiance, quoi !

Puis, je retourne au marché et je commence à « yeuter » les stands en vue de mes achats futurs .Je mange une salade dans un resto. Je m’achète mon sac à dos (50rm), un T-shirt souvenir de Chinatown. Je pars à la recherche de timbre de collection ; impossible de mettre la main dessus. Ce soir, je recherche des T-shirts à mon gout, mais, les vendeurs, avec leur « eh !sir, eh !sir »venant de toutes parts, commencent à me stresser. J’i pas mal marché aujourd’hui, je me fais faire un massage des pieds pour détendre mes muscles ; me relaxer. Je mange à la sauvette sur les stands, succulent puis je fais un tour au delà du quartier et je rentre préparer mon sac. Je fais développer mes photos, les photos du « SNORKELING » sont à peu près bonnes.

22h30, je rentre au guest, je m’assoie à la terrasse et je discute avec les résidents..

Le 25.10.07

Je me lève vers 7h, je déjeune dans la rue puis j’attends 10h, l’ouverture des magasins pour les baskets, mais elles sont trop grandes. 10h30, je rends les clefs du guest et dépose mon sac en lieu sûr. Je vais manger à 12h30, je vais dans un cyber, annoncée mon arrivée imminente, et là, je rencontre le patron du « TEMBELLING REVERVIEW », au teman negara. A 14h, je prends le bus pour l’aéroport

A 13 h, je monte chercher mes bagages et je me rends à la gare, attendre le bus de 14h. Ca y est, je suis dans le bus, avec un peu de retard, car la circulation est très dense, au point que le cauch nous ballade à divers endroit, sur l’avenue », pour faciliter l’accès au bus. Nous sommes en direction de l’aéroport pour une durée de 1h30.

Vers 15h30, j’arrive à l’aéroport, il y a un bar à la station de bus, je prends un café, je me renseigne et j’obtiens le renseignement que je voulais, savoir où était l’aéroport, 5 étages au dessus qu’il était. ?

Je commence à repérer les lieux, savoir où je dois me présenter, où puis je laisser mes bagages, à la consigne pour 20rm. Puis, j’effectue un tour d’inspection pour savoir où manger et boire un café. Il est 17h30, je me pose à une terrasse de café. Dans environ 3 heure, j’obtiens mon bording pass puis j’attends jusqu'à 23.15.

Il est 16.30, je prends un encas, change le maximum de monnaie en euro.

20.30, je suis enregistré, mon sac est parti, j’ai mon boarding pass ; plus que 2h d’attente avant présentation au quai d’embarquement, ça sent la fin des vacances.

Je suis en zone de transit, je me fais confisquer ma bombe antimoustique, « la belle affaire ! »

Il est 22.30.

23.20, je suis dans l’avion (très gros), pas d’écran télé. Je suis coincé entre deux personnes. Une fillette malaise et une Indonésienne.

Panique à bord, un passager à reçu une boîte sur la tête, tombé de la soute à bagage.

L’indonésienne dort déjà, si je veux sortir, je vois bien le tableau « Ne ! Ne ! ».

« Relativise, Marcel, tout va bien se passer »

Je lui ai proposé de se mettre à ma place, à côté de la fillette, elle m’a répondu « Ne ! Ne ! ».

J’ai l’impression que ça va être galère pour la faire bouger.

23h30, je sens un soupçon de mouvement de l’avion, il se prépare à décoller, ça y est, ça roule. 2h après, drame chez ma voisine de droite, crise d’épilepsie ou je ne sais quoi.

Elle m’a foutu la trouille, j’écoutais la radio tranquille, lorsque je sens ma passagère de droite me pousser, j’ouvre les yeux et là, elle regardait en ma direction sans objectif en faisant une grimace digne de « CARRIE » dans « l’exorciste », et d’un coup elle se mit à trembler. C’était un peu inquiétant.

6h, on vole toujours, je ne sais plus à quoi correspond les 6h avec le décalage horaire ; si mes calculs sont bons, il reste encore 6h de vol. 10h sans décalage.

Ils viennent de rallumer, je pense qu’ils vont servir un p’tit dèj, ça tombe bien, j’ai faim. Voilà, ça arrive.

Heure nouvelle, 11h avec décalage, il doit rester un peu plus d’une heure pour arriver (1h03 exactement)

Je vois les gens s’agiter, on est proche.

Heure d’arrivée prévue : 6h14

L’avion caresse le bitume, 6h05.

Ma correspondance est à 9heure.

Une fois dans l’aéroport d’Amsterdam, je flâne de boutique en boutique, je vois le Duty free, je veux m’acheter des clopes, mais bizarrement, la nana me dit que je n’ai pas le droit au Duty-Free, il faut une longue destination, je pense qu’en sens inverse, j’aurais pu m’en acheter.9h00, je me présente à la porte B29, puis une demi heure après, je suis dans l’avion petite ligne d’Air-France. 9h45, voilà l’avion qui s’élance sur la piste destination Lyon St Exupéry (bizarrement, ce nom m’ai familier) et voilà que se termine mon trip asiatique.

 

 FIN

1 mars 2008

3ieme voyage

3ieme voyage en thaïlande

 

Le 3.10.06:

Ca y est, après s'être levé à 5h30 pour être à l'aéroport de saint éxupéry à 6h15, (pour plus de sureté); j'ai embarqué dans le petit avion reliant Lyon-Rôme. On m'avait dit de me présenter à l'aéroport au moins 2 heures à l'avance, (ce que j'ai fais). J'ai poirauter au moins 1 heure avant que je puise m'enregistrer.

Sur la "route" de rôme au dessus des nuages, le spectacle est magnifique. On se croirait au dessus d'une banquise de coton avec au loin l'océan, (le ciel bleu). Entre les couches de nuages, le soleil brille. Je ne sais pas si, en bas, il fait beau.

Je suis parti ce matin, il était limite de pleuvoir. Le vol jusqu'à Rôme ne devrait pas être long, environ 1h30.

Arrivé à Fumicino (Rôme), j'avais 3h30 à tuer. Première envie, cigarette; impossible de trouver un endroit fumeur. Ils sont pas cool ces ritals. Pendant une bonne heure, j'ai cherché, sans espoir, je me suis posé au point de départ et j'attends; il est 11h40. Je dois attendre 12h00 pour la clope.

Je trouve ces ritals arrogants, ils ne veulent pas faire l'effort de parler anglais, ils te ragrdent comme si tu étais un moins que rien; enfin bref!. Ca y est, après 5h d'abstinence, j'ai enfin trouvé "l'aréa for smoking". Encore 40 minutes pour grimper dans "china airlines" et 1h20 pour décoller.

J'ai quitté l'écriture durant le voyage. Le vol c'est bien passé, pas de prise d'otage ni de détournement; il à duré 13 h environ. J'ai trouvé le temps pas si long que d'habitude. J'étais assis à côté d'un brésilien accompagné d'un italien qui se parlaient en francais (c'est pas banal). Je suis arrivé dans le nouvel aéroport de Bangkok (récemment construit). Le peu de repères que j'avais se sont envollés. Bref!, j'arrive à trouver la sortie, en m'étant au préalable réfugié dans un "smoking room", eh oui!, 12 heures sans fumer, ça le fait!. Je récupaire mes bagages et me dirige vers la sortie. Tout de suite, les taxis me sautent dessus "where you go!". 25 euros qu'ils me demandaient pour aller à Trat, (je savais que je pouvais payer beaucoup moins cher) mais je voulais m'y rendre en bus (bien meilleur marché). En me renseignant, j'ai finalement trouvé un bus qui m'emmena au centre de Bangkok, au terminal, 150 bhts puis du terminal, direct pour trat à 270 bhts; le bus confortable, climatisé avec petite collation et me voilà en route par la côte pour une durée d'environ 6 heures (c'est plus long, mais on est routard ou on ne l'est pas). Je suis tout de même un peu crevé, je n'ai pas dormi depuis environ 30 heures.

Il serait raisonnable de faire une halte pour la nuit à Trat et demain, j'irai à Koh chang.

Changement de situation: arrivé à Trat, le terminal étant excentré, à la sortie du bus, les tuk-tuk me sont tombés dessus, "where you go !, where you go !", fatigué, j'appercu, à la descent du bus, juste en face de moi, le taxi pour l'embarcadère comme s'il n'attendait que moi. J'ai donc pris la direction de l'embarcadère puis le bâteau pour Koh chang ( tout s'est bien enchaîné, sans attente). 1 heure de traversée plus tard, arrivé sur la berge de Koh chang, un bus était là pour nousdisperser dans l'île, chacun à notre destination. Une fois le bus vide, mis à part un parisien et moi, nous dûmes descendre à la destination finale. Après quelques échange de mots, ce parisien était un habitué du lieu, il me guida et voilà. La galère finies, je pouvais enfin manger, me doucher et me coucher.

Après s'être douché et rlaxer, il se trouve que j'avais comme voisin le parisien donc nous sommes allés manger sur un pagode "babe", pas cher, au bord de la plage dont il connaissait l'existance.

1er jour Jeudi:

On peut pas gagner à tous les coups! ( petite tempête), il paraît que c'est la queue du typhon qui sévit sur l Indonésie. J'espère que ça va s'arrêter et que je pourrais me ballader avec un peu plus de facilité...

Ce matin,j'ai fais un tour au Tree house pour déjeuner puis je suis allé faire quelque petites amplêtes dans le supermarché du coin.

Koh chang est une île montagneuse, je pensais faire le tour en vélo mais je me suis vite ravisé, (vu les côtes qu'il y a).

Cet après midi, je me suis lancé à la recherche de mon contact internet "MOO NOI", on m'avait dit que Bang Bao était seulement à 4km. Je décidai de faire une ballade à pied et m'engageai sur la route pour Bang bao. Mais les 4 kilomètres taï font bien 8 km de chez nous. Bref, 3/4 d'heures après, je n'étais pas arrivé. J'étais en sueur, lorsqu'un taxi transportant des touristes pour Bang bao me klaxonna et me fit signe de monter. Je grimpai dans le fourgon; je savais qu'il allait à Bang bao puisque c'est la dernière destination de l'île. Après avoir remarqué qu'il me fallait parcourir, à pied, un bon bout de chemin à pied, nous arrivâmes à Bang bao, prolongé d'un petit ponton, sur la mer. Au bout de ce ponton, des bâteaus de pêche et de 2 côtés, des petites boutiques. Moo Noi, m'avait dit que je le trouverai tout au bout du ponton. Après avoir demandé à une personne du coin, je fis connaissance de "Moo Noi".

C'était un retraité, avec sa femme, qui vivait tranquillement ses vieux jours dans une maisons de bois sur pilotis.

Après une bonne discution derrière une bière, j'entrepris de rentrer; Moo Noi me dit/

 -Attends, je vais avec toi, à 17h30, il n'y a plus de taxi mais je vais demander si on peut te ramener, (Il était connu de tout le village), éffectivement, il demanda à une personne si elle pouvait me déposer à "mon camps". Je grimpe dans le pick-up, puis à Lonely beach, elle me déposa. J'entrepris de rentrer mais je pris la mauvaise allée et j'eus droit à une petite ballade improvisée. Je finis par demander mon chemin à un anglais qui passait par là. Il me dit "yes,yes, common". Il fit le chemin avec moi puis, arrivé à mon bungalow, il continua son chemin. Après m'être rafraichi, je me dirigeai vers le cybernet pour consulter mes mails. De retour à la case mon voisin de fin de parcours, me salua et me dit :"Ouais, on mange ensemble ce soir".

"ouais! pas de problème" répondis-je.

Direction le tree-house pour se restaurer. Des français étaient là, on se joignit à eux, nous discutâmes; tout le monde était affalés par terre, sur des coussins discutant de choses et d'autres. A un moment, un vieux soixante huitard resté dans ces années, affalés dans un hamac, me tendit son join que j'acceptais; je pris trois taffes et lui rendis.

Imaginez vous dans quel étais j'érais. Peu de temps après la prise de ces substances illicites, je me mis à psychoter. Je décidai de rentrer; sur le chemin, 2 promeneurs étaient là, pris de panique, j'imaginai que dans cette allée noir, ils pouvaient me tendre une ambuscade, j'étais angoissé. Jusqu'à la croisé des chemins, ils prirent une autre direction, alors je fus soulagé. Enfin, après ce périple infernal, j'arrivais chez moi, et là, j'étais un peu abasourdi par les "trois taffes" (il m'en faut peu); je mis à psychoter sur la perte de mes papiers (que je n'avais pas perdu). La pluie avait repris, mais qu'importe.

Je commencai à avoir des envies d'écriture. Je mis sur ma petite terrasse, regardais la mer en force et l'inspiration sonna. Je réalisai à quel point j'étais bien, la chance que j'avais de pouvoir être ici. Il pleut! ce n'est pas grave, la vie est belle!.

2ieme jour vendredi : Ce matin, je me suis levé vers 7.30, il n'y avait pas un pet de vent, ni pluie; je me suis dis que les beau jour arrivaient. Je suis parti prendre mon petit dèj au Tree House puis je me rendis au market du coin pour quelques amplètes; il bruinait un peu, il était 10henviron. Sorti du "market", des trombes d'eau à ne plus pouvoir bouger. J'attendais, j'attendais la fin de l'averse, mais elle n'en finissait pas. Je pris mon courage à 2 mais et je fonçais dans une échoppe en face pour me dégoter un parapluie. Je descendis le sentier qui rejoint ma case, pratiquement à la nage. Une fois au sec. j'attendis 2 bonnes heures que ça se calme. le temps d'aller manger un morceau, rencontrer mes voisins de "pallier", il était 3 heures. Je m'éclipsai pour une sieste. A peine rentrer, que des trombes d'eau s'abattirent sur Koh Chang. Ce n'est pas grave, je suis chez moi!

La sieste terminée, je me dirige au bar prendre un café.

Vers 7 heure, heure du repas je rejoingni les voisins. Après quelque bières, je les suivi dans une sorte d'anniversaire organisé dans un bar. Je bus 2 bières puis on était 5. Là, un joint tourna; après quelques bouffées, je parti dans mes délires mentales puis me retournai dans ma hutte.

Samedi, 3ieme jour.

Après un petit dèj au Tree House, je pris le taxi pour le bled à côté, "Bai Lae Bai". Une fois arrivé, je déambulai dans la rue, tel un touriste. Vers midi, j'eus faim et me dirigea vers un resto thaï fesant des pizzas italienne. La curiosité m'y poussa. Je commandai ma pizza et de l'eau. U1 demi heure plus tard, toujours pas de pizza. Le serveur m'apporta l'addition, alors que je n'avais pas eu mon repas. Je trouvai ça bizarre! puis le patron vint vers moi et je crois qu'il s'excusait car il m'avait oublié. Peu de temps après, la pizza arriva. Je la dévorai tellement j'avais faim. Pizza, café fini addition payé, je longeai la rue pour choper un taxi qui me ramena à Lonely Beach. Une fois arrivé, vu le temps, je me dirigeai sur la plage. La mer était houleuse. Après avoir longé la plage, je revins au Tree House pour une collation, café et sieste dans le hamac. Le soir, je retrouvais mes voisins de hutte,nous mangeâmes, quelques bières, et l'un de nous lance :" Il y a une fête sur la plage" Nous y sommes allés et là, il y avait de jeunes thaï qui exercaient leur talent de "jongleurs de feu".

Impressionnant; muni d'une lance emflammée à chaque extremitées, ils faisaient tournoyé leur bâton de feu avec une dextérité phénoménale. Ce fut un spectacle captivant. Une fois finis, nous restâmes accroupis sur la plage à discuter sur des sujets hautements phylosophiques, en faisant tourner quelques bedos.

Dimanche 4ieme jour:

En me réveillant, il pleuvait, je me rendormi. Vers 9 h, la pluie avait cessée et je me dirigeai vers le tree-house pour me restaurer; au retour, je rencontrai le couple suisse, qui faisait parti de la soirée d'hier; eux se réveillaient et allaient déjeuner. Rentré à la casba, je me changeai et décidai de profiter de l'éclairci pour me baigner.

Après une petite baignade et une douche, le demon de la faim "frappa à la porte". Arrivé au tree-house, je retrouvai les suisses et on mangea ensemble. Après le café, je me pris un "Hppy Shake", sorte de milk shake au fruit de son choix avec une petite boulette de "marijeanne", puis je ne bougea plus du hamac jusqu'à 17h. Je me levai pour me dégourdir les jambes un peu jusqu'à 17h30, puis je revins au tree-house où je me remis dans mon hamac pour farnienter. Vers 18h, mes voisins commencèrent à arriver, l'un après l'autre, on prit l'apéro puis l'heure de manger sonnât. Après le repas, café cigarette, je me repris un "happy shake" en présence d'un magnifique couché de soleil sur Koh Chang. On a fait connaissance d'un israèlien qui venait de différents endroit du monde et qui jouait de la guitare.

Après une soirée de "déconnexion", morphée m'appela et je la rejoigni.

Lundi 5ieme jour: Une fois restauré, je décidai d'aller voir joël au village d'à côté. Après un excellent repas et une discutail, je revins au campement. Le soir, un moment magic se produisit; autour d'une table, nous étions 7 ou 8 lorsque l'un d'entre nous pris une guitare et commença à jouer puis se fût le tour de l'israëlien de nous montrer ses prouesses. Et là, il chantât une chanson en français (Charles Aznavour). Imaginer ce moment fort, un israëlien, en thaïlande, qui chante une chanson en fraçais. Ce fut une soirée géniale!.

Mardi 6ieme jour: Je me lève, il est 9h, direction p'tit dèj puis plage et retour avant les grosses chaleurs. Le soir, c'était la fête au tree house. je me suis pris un ptit repas, un happy shake et Tchao, déconnecté pour le reste de la soirée. Je ne voulais pas être de "discussion"; celui qui raconte sa vie, ses réussites, ses ambitions, ses voyages, l'autres qui parle du "mal du pays" et celui qui conte sa multitude de voyage; bref! une soirée sans excitation.

Mercredi 7ieme jour: Levé 9h, il pleut, je me recouche.

La journée passe comme d'habitude. Le soir, comme j'avais gagné un repas la veille, repas soit dit en passant "gastronomique", je dus faire appel à mes collègues de bungalow; nous étions 8 sur 1 repas.

Jeudi 8ieme jour: mise en forme avec une petite baignade matinale, petit dèj vers 10h, café avec les voisins de passage, déjeuner, l'après midi passe puis le repas du soir un peu arrosé.

Vendredi 9ieme jour: on prend les mêmes, on recommence; rencontre d'une nouvelle arrivée, une chilienne; comme quoi, il faut aller au bout du monde pour rencontrer des gens d'ailleurs.

Je retrouve les voisins, discution de sujets divers, petites blagues, projet de faire une ballade à scooter.

Samedi 10ieme et dernier jour sur Koh Chang: Vers 12 h, comme prévu, on enfourche nos "harley" et on prend la route tel des "easy riders" avec des "cubes" en moins.

Mal de dos en rentrant dû à l'affalement quotidien pendant la restauration, je pense. Ou peut être le mauvaise état des routes et secousses sur le scooter.

Massage en urgence à 21h30 puis soirée calme au bungalow à discuter, déconner; couché 1h30 du mat pour levé prévu à 6h00.

Dimanche jour départ: Je me réveille, douche rapidos, passage en revue des bagages et direction la rue pour hêler un taxi qui passe. Une fois sur place, il est encore tôt, je vais au bar d'en face pour une collation. 8h, le taxi démarre pour l'embarcadère où, 1/2 heure plus tard, je quitte l'île de Koh Chang pour le continent thaïlandais.

Arrivé de l'autre côté, je n'attends pas longtemps pour qu'un taxi m'emmène à Trat. Arrivé à Trat, je demande le chemin le plus rapide pour me rendre à Buriram, on me dit d'aller à Chantaburry donc je monte dans le bus à destination.

A peine arrivé, je n'étais pas descendu du bus, une préposé aux bus me fait signe que le bus pour Buriram va partir....

Je me demande comment cette personne savait que j'allais sur Buriram.(la magie thaïlandaise, sans doute).

Voilà, je suis dans le bus pour Buriram, je ne sais pour combien de temps.

Finalement, tout coordonne, je n'ai pas eu trop d'attente entre chaque bus.

Le voyage est long, tout de même. En partant à 8h, ce matin, je suis arrivé à 20h30 à Buriram.

1ere chose que j'ai faite, c'est manger, je n'avais pas manger de la journée.

Vu l'heure qu'il était; je préferais passé la nuit à l'hôtel et faire les derniers kilomètres à la fraîche. D'autant plus que mon père se couche tôt. Je ne voulais pas déranger et j'étais vraiment épuisé.

Lundi 16: Vers 7h, je me réveille, me débarbouille, rassemble mes affaires et quitte la chambre en direction de la gare de bus. Je prends de quoi déjeuner vite fait, je demande le prochain bus pour Salengtown, il est à 9heures. Il est 7.50, alors je me dirige vers 1 taxi qui m'emmène pour 400 bht.

J'arrive chez mon père, il est 8h15.

Il avait prévu de descendre en ville pour quelques courses, je descends avec lui et me renseigne pour l'avion Buriram-Bangkok mais il part trop tôt et il est trop honéreux. Finalement, je prends un billet de train pour Bangkok.

J'en profite pour développer mes photos en 1 heure; on mange sur place et on rentre vers 15h. Aprés un repos difficile dû à la présence des cousins, je me restaure vers 18.30. Mon pére m'indique qu'il y a une fête au village en commémoration du déces d'un moine, assoifé de curiosités locales, je m'y rends.

A 21.30, fatigué du voyage, je rentre me coucher et écrire ces quelques lignes.

Mardi 17: Je me lève paisiblement dans le village de Salenghtown. Vers 10h30, mon père m'emmène voir sa nouvelle plantation d'eucalyptus qui, une fois adulte, sont revendus. Ici,c'est le seul arbre qui veut bien pousser, les autres finissent toujours par mourir. De retour au village, je me restaure puis lis un peu et profite du hamac pour une petite sieste. Je prépare ma valise, discute de choses et d'autres avec mon père.

Après une petite soupe du soir, je laisse vaquer mon immagination dans le hamac au milieu du chant des criquets; puis vers 21h, je vais me coucher.

Mercredi 18, levé 6h30, déjeuner, cigarette, vérification de dernière minute puis départ sur Buriram vers 9.00 . Derniers achats: CD vierges, DVD, cle USB.

Quelques courses aux supermarché que mon père doit faire.

Je change mes derniers euro, je pourrais en avoir besoin à l'aéroport. Après 20 minutes, j'ai mes baths. L'employé de la banque à voulu faire du zèle en me questionnant sur mon lieu de résidence, où j'avais logé pendant mon voyage, ma date de retour et de départ, vérification de l'authenticité de mes travellers. Voyant cela, mon père est intervenu dans la langue. Vu qu'il était du pays, ça allait tout de suite mieux.

Puis direction la gare à attendre le train.

Discutuion entre père et fils puis départ pour BANGKOK, à l'heure.

2 heures de trajet ont passés, tout va bien, plus que 6.30. Il est 16.10, encore environ 4.30. Je regarde le paysage thaïlandais défiler devant moi; fenêtres ouvertes pour aérer malgré le ventilateur suspendu au plafond qui tourne à toute berzingue. Je suis allé fumer une clope entre deux wagons en ayant au préalable demandé à un contrôleur. Je savais que l'on pouvait le faire mais mieux vaut demander. A 16.20, on passe devant un fleuve, je ne connais pas son nom, je regarderais sur la carte pour ne pas mourrir idiot.

Un peu plus loin, le paysagecontinuant à défiler, ma voisine, jeune mère de 2 enfants, me propose une denrée thailandaise envellopée dans une feuille de vigne fourrée d'une sorte de pâte sucrée.

Echange de sourrire, car la langue est un obstacle. Quelques arrêts plus loin, la petite famille descendit en m'ayant au préalable lancée un timide "bye" internationnal.

Encore une petite heure et demi environ pour arriver à la capitale.

Je suis arrivé au terminus, j'ai pris un taxi metter pour l'aéroport.

Ce fût une course folle sur la motorway.

Une fois arrivé dans ce gigantesque aéroport, j'attrape un porte bagage et commence à visiter les lieux.

Au dernier étage se trouvent les "checking", au 2ieme et 1er étage, les duty frees, restaurants, bars et autres. Je repère des francais ou plutôt des suisses avec qui je vais pouvoir causer un peu. Nous passons la douane ensembles puis on se dirige vers un café enfermé dans un sas pour fumer. Vers 3.20, on commence à rentrer dans l'avion; là; on se dit "à la prochaine".

Après quelques heures de vol, on est à seulement 50 minutes de Flumiccino. Après avoir mangé et dormi un peu, on a fini par attérir enfin. J'ai acheté des cigarettes au duty free, dans l'avion, 10e la cartouche de Malboro.

Arrivé à Flumicino, envie de fumer, je cherche un smocking room. Aprés une recherche azpprofondie, le seul endroit qu'il y ait, est en réparation. Après avoir rhuminé pendant plus d'une heure, je décide d'enfraindre la loi en fumant dans les toilettes. Après une demi clope fumée avec stress, je retourne m'assoir devant la porte d'embarquement et j'attends. Notre petit avion Air France entre en piste et nous voilà parti en direction de Lyon pour environ 1.30 de vol.

Arrivé à St Exupèry, il faut que j'attrape le Satobus qui m'emmène à la gare Perrache, pour sauter dans un train pour Vienne.

Il y en a un qui ne s'arr^te pas à Estressin mais je le prends quand même sans trop attendre puis arrivé à Vienne, je prends un bus pour les charavels.

Au total, j'aurais voyagé pendant 34.30.

Donc, je suis arrivé, je n'ai plus que quelques mètres à parcourir et voilà que finissent mes vacances.

Il faut que je retourne travailler pour payer mes p^rochaines vacances qui seront orientées vers la Malaysie.

 

1 mars 2008

2ieme voyage

2ieme voyage en thailande

 

Ca y est, je suis en vacance pour 1 mois, je monte à Vienne pour partir de Lyon quelques jours après.

Derniers préparatifs, derniers stress, dernières angoisses éphémères mais qui m'empêchent pas de dormir. Mon départ est prévu pour Lundi, 19h56 de lyon direction Paris en train puis, de Roissy Charles de Gaulle, embarquement pour Bangkok.

Nous sommes Samedi; plus que 2 jours et c'est le départ.

Cette fois, je vais voyager seul et différemment; c'est comme une deuxième première fois.

Je me suis fais un petit itinéraire qui me fera visiter 6 ou 7 villes thailandaise.

Cela va-t-il se passer comme prévu ? l'avenir seul le sait.

Samedi, je retrouve mes copains pour boire un café; on est en terrasse, je me mets en plein courant d'air et je me ramasse un coup de froid. Bref! je n'y prète pas beaucoup attention.

Le lendemain matin au réveil,angoisse, mal à la gorge, je crains le pire car je pars le lendemain.

Finallementtout ça se traduit par une petite prise de gorge encombrée. Pas agréable, mais pas dramatique.

14h30 le 19.09.

L'après midi du départ est mélancollique, il fait froid dehors.

Je ne sais pas pourquoi, mais un sentiment de nostalgie, l'idée de "quitter ma patrie", s'installe en moi. Peut être le fait de partir aussi loin, de tout laisser.

Pourtant, ce n'est que pour un mois, je reviendrais.

Je ne me rappel pas avoir ressenti la même chose la dernière fois.

Peut être, ai-je une angoisse enfouit au fond de moi du fait que je m'envais sur une terre qui n'est pas la mienne, peur d'affronter l'inconnu, seul. Je pense que cet état d'esprit est normal pour tout un chacun voulant fouler une terre inconnue. On ne peut maitrîser ce mélange de sentiment d'angoisse et de joie. Demain, tout ira bien ...

Ca y est, je suis dans le 1er train qui m'emmène à Lyon.

Petite angoisse 1 km avant la gare d'arrivée, le train s'arrête en pleine voie. Finalement, j'arrive à Part Dieu, je change mon billet au guichet TGV-AIR et j'attends. Le TGV-AIR est enfin parti, il est 20h00, direction Paris Charles de Gaulle pour attraper Air France.

22h04, arrivée à l'aéroport pour embarquer en 5 minutes. Petite angoisse, car l'hotesse qui me renseigne me dit que l'enregistrement va bientôt fermer; je cours à un guichet disponible qui enregistre ma valise, me valide mon ticket et m'envoie à la douane qui est fermée. Panique, je ne trouve pas d'autre guichet, l'angoisse monte encore.

Enfin, passé la douane, je cherche le terminal 78.79.80.81.82.83 et enfin 84 que je trouve bondé, je ne sais pourquoi ? Encore une barrière pour je ne sais quelle formalité. Je passe les barrières, longes un long couloir, descend des escaliers et me retrouve dehors. Une hotesse m'attend pour m'indiquer de monter dans le bus qui m'emmenera jusqu'à l'avion. Je suis étonné de devoir passer par le tarmac de la piste d'atterrissage. L'année dernière, je ne me rappelle pas être sorti de l'aéroport. Mçeme pas eu le temps de fumer une dernière cigarette.

Longue attente avant le décollage. Les voisins de cabine ont l'air moins sympas que l'année dernière.

 

 

L'arrivée est enfin annoncée à 16h05 (heure locale). Je descends de l'avion, je ne sais ou aller, je finis pas reconnaitre un peu l'aéroport. J'ai mes repères, mais je ne sais pas dans quel ordre faire; alors, je suis le mouvement et me trouve dans la bonne file. Je rencontre des voisins d'avion, je sais que c'est bon!. Au moment de présenter mon passeport, je ne trouve plus le bordereau d'embarquement. Après avoir souris à la caméra, elle me laisse passer, je vais chercher mes bagages, je ne les trouves pas, normal je n'étais pas au bon endroit. Enfin, je les trouve et sors de l'aéroport.

1ere clope depuis 12 bonnes heures. Les taxis m'interpellent mais je veux prendre l'airport bus. Après m'être fais comprendre (1 demie heure 3/4 d'heure) je prends celui qui doit me déposer près de l'hotel prévue. Et me voilà sur la route pour 2 bonnes heures, le GUIDE DU ROUTARD à dit.

Je demande à quel arrêt je dois descendre. Je suis incompréhensible pour eux. Finalement, la vendeuse de ticket m'a plus ou moins compris et dit au chauffeur de m'indiquer l'arrêt. Je suis sauvé. Enfin, on verra la suite.

Une fois au point prévu, le chauffeur me dit qu'il fallait descendre, enfin je crois.

Je reconnus l'endroit , je crois qu'on était par là avec guy l'année derniere, (je peux me tromper).

Je déambulais sur le trottoir, ne sachant où aller, et d'un coup, un man saylor (tuk-tuk) m'interpelle, je décide de monter et il m'emmène à la rue que je lui montre sur le guide du routard. Une course folle de tuk-tuk s'ensuivit. Au milieu d'un carrefour, il s'arrêta (je crois que c'est son engin qui ne tenait pas le ralenti) et il me dit que c'était de l'autre côté de la rue à quelque pas. J'essayais de lui faire comprendre de m'emmener à domicile; je lui tendis le guide avec l'adresse et il me dit "YEH,YEH" et nous voilà parti. Il cherchait, il cherchait, demandait à des collègues et finit par trouver mais le guesthouse était fermé. Il me dit "don't care" et m'emmena chez un collègue, dans une autre rue. Un hotel tout en construction, les ouvriers étaient là (9h00 du soir), je craignais le pire.

La gouvernante m'ammena au bureau:

" 950 baths la nuit" (19e)

" Non, moins cher"

" 800 baths" (13e)

Je dis okay, juste une nuit; et le garcon d'étage ( s'il y en avait un) m'emmena dans un ascenseur (propre) au milieu des travaux et ouvrit la chambre. Je fus étonné. 1 petite chambre très propre avec climatisation, télé, sanitaire et grand lit. J'étais stupéfait et me dis que finalement, j'allais peut être y rester 1 nuit de plus. Ce qui me surpris le plus, c'est ce que me demanda le man saylor (seulement 100 baths pour la course folle avec recherche d'un hotel).

1er nuit dans l'hotel calme, tout c'est bien passé.

Je me demandais pourquoi c'était aussi bon marché pour le "standing": parce qu'il y avait la voie férré juste en dessous de ma fenêtre, mais ça me dérangeait pas. De plus, la moitié de l'hotel était en travaux de 8h00 am à 8h00 pm environ.

Ce matin, j'ai fais un tour de quartier. Quand je suis sorti (environ 8h), tout était calme excepté le trafic puis vers 8h30, une multitude de marchand de rue débalait leur étale. En marchant, tout les 5 mètres, on se fait accroché par des "man saylor" qui demandent "where you go ?" et sont prêt à nous emmené n'importe où.Je me suis fais accroché par un thaï et sympathisé avec lui et finalement, il m'a emmené à la poste, m'a attendu et m'a ramené pour 20 baths. Ensuite, il m'a demandé où j'allais après et je lui ai dis que le lendemain j'allais à Chiang Mai et lui ai dis que cet après midi, je projetais d'acheter mon billet et que peut être j'aurais besoin de ses services. Il m'indiqua le T.A.T. (transport de bus pas cher) et me proposa de m'y emmener. Une course folle de tuk-tuk dans les rues de Bangkok. Biensûr, j'arrivais dans un bureaux qui me proposa : trek, hotels, trajet...Bref, je ne me laissa pas avoir et je pris juste le trajet en bus pour 900 baths. Bien entendu, il eu fallut que je sois ferme car il voulait me faire mon trajet total (chiang mai, chang rai, pitsanulok,khon kaeen, buriram) et me proposa 2 nuit d'hotel pour chiang mai. tout d'abord, je dis "non", que je verrais là bas. Il me dit que les hotels étaient pleins, que les touristes du sud montent au Nord, depis le tsunami, l'hotel qu'il me proposait était soit disant "sûr", bref, tous les arguments de vente. Finalement, je réfléchis deux secondes et me dis intérieurement que peut être, ce serai plus simple que de chercher sans savoir où aller. Bref; résultat des courses, il me refourgua 2 nuits dans un hotel sympa pour 900 baths. Voyage et hotel 1800 baths. Je voyage de nuit dans un car climatisé, couchette.

J'arrive à Chiang mai, un rabatteur m'attend et me conduit à l'hotel. Rebref, un peu moins de galère.

Une fois fait, le sam saylor me dit qu'il allait s'arrêter 2 fois pour prendre du gasoil. Je dis oui.

Il s'arrêta devant un magasin chic de bijoux pour essayer de me faire acheter mais je vis tout de suite l'entourloupe, je dis non. On retourna au tuk-tuk et il m'expliqua en fait que je n'avais pas besoin d'acheter; cela lui permettait d'avoir un ticket d'essence; c'était un deal entre tuk-tuk et marchands.

Le but est d'ammener d'éventuels acheteurs et lui obtient un bon de gazoil en echange.

Je joues le jeux, entre dans le magasin, regarde les tee-shirts, costumes, kimonos, pyjama, le vendeur à mes trousses pour essayer de me vendre quelques articles. Mais moi, inflexible, je ne cède pas. Un quart d'heure après, je sors, mon "bodyguard" (comme il se surnomme) était là.

Je ne sais pas s'il a obtenu son ticket mais nous repartîmes dans une course folle jusqu'à l'hotel.

Résultat des courses, j'avais assuré mon transport et mon logement pour chiang mai. (1 chose de moins à prévoir).

La journée s'est bien passée, je suis allé à la postoffice, j'ai badé dans le market. Vers 17 heure, le temps devint noir d'un seul coup; toutes les étales mettaient des plastiques sur leur marchandise. Je sentais venir la pluie, tout le monde s'agitait, quelques gouttes se firent sentir. Je passais devant un snack et m'arr^tais. Il était 18 h environ. Comme j'avais prévu de venir manger ici, c'est ce que je fis. Puis d'un coup l'orage éclata, des trombes d'eau s'abattirent sur le quartier pendant environ 10 minutes; j'étais en train de boire un café, lorsqu'une une nouvelle averse s'abattit, une vingtaine de minutes plus tard. Cette fois ci, la violence de l'averse avait doublée. J'attendis un moment, repris un café, ça ne se calmait pas. Je voyais des tuk-tuk passer devant l'échoppe, patogeant dans l'inondation. Je me dis que ça allait s'arrêter. au bout d'une demi heure, il pleuvait toujours à averses; la route était transformée en torrent, mais n'arrêtais pas la circulation. J'étais à côté de l'hotel, environ 300 metres, mais j'interpellais quand même unn tuk-tuk pour m'ammener au pied de l'hôtel, pour 0.4 euro, je préferais rester sec.

Voilà comment j'eus un aperçu de mousson.

Il est 21.30, je suis rentré depuis 20.00, il pleut encore. Je descend fumer une cigarette sur le parvis de l'hôtel, un autre touriste est là, lui aussi regardant tomber la pluie, il n'y a rien d'autre à faire, demain sera mieux.

Une petite discussion s'installe entre nous et je lui dis que demain, je pars pour Chiang Mai et lui demande s'il va toujours pleuvoir. Il me dit que le temps là bas et différent. Espérons que ce sera .

Une partie de l'hotel est en réfection (côté bar), et je suis étonné qu'à 21.30, il y ai encore des ouvriers. Ne s'arrêtent-ils jamais ?, ils sont là depuis huit heure ce matin.

La nuit a été dure. Levé 8h (dans le seau). Il fait beau mais lourd, intennable. Je vais manger une assiette de riz et boire un café. Je tourne un peu dans le quartier. Je me sens tout poisseux, c'est normal avec la lourdeur du temps et la pollution.

Je rentre, je tourne en rond, je retourne boire un café et décide d'aller au T.A.T attendre le bus pour Chiang Mai. Je prends ma valise et mon sac, et je vais rendre les clefs. Me voilà parti à la recherche d'un tuk-tuk (pas difficile, ils vous courrent après). J'en trouve un qui m'emmene pour 80 baths. Je marchande, pas moyen. J'aurais eu le temps de chercher un autre mais il fesait trop chaud pour attendre. J'arrive au T.A.T , pose ma valise, le patron m'accueille très aimablement, je discute, il me dit que je peux aller bader à Chinatown, il m'explique et me voilà déambulant dans les rues. Tout le long, il y z des hommes à même le sol qui dorment, on dirait qu'ils sont morts. Je fais demi-tour et reviens au T.A.T; sur la route, je cherche où boire un café, je demande COFE! COFE!. Je rentre dans une guarguotte toute calme, musique traditionnelle et je demande un café. Une vieille dame, toute mignonne, m'amène un café accompagné d'un thé. Tout d'abord, je ne comprend pas.Mais, en fait, c'est le même système qu'en france; en guise de ver d'eau acompagnant le café, ici c'est le thé qui remplace l'eau. Je bois mon café au calme, une fois fini, je décide de retourner au T.A.T, attendre tranquillement au frais, il fait trop trop chaud. J'entre, il y a une foule de touriste qui vont partir, comme moi, pour Chiang Mai. Je me demandais pourquoi, même par beau temps, de l'eau s'écoulait des toits; la réponse est : la multitude de clim. omniprésente sur chaque batisse. Après une scéance d'internet qui passa 30 minutes et quelques virements mais pas trop loin, on embarqua enfin pour Chiang Mai. Nous étions seulement 3 et le chauffeur, (je me demande où sont passés les autres!), dans un minibus climatisé, confortable. J'avais la banquette arrière pour moi tout seul; pratique pour roupiller pendant le trajet. Le plus dur, je pense, allait être de traversé Bangkok. A peine étions nous partis que nous étions dans les bouchons de l'heure de pointe. Je reprendrais l'écritureà Chiang Mai, parce que dans un bus, ce n'est pas facile d'écrire.

Je me suis trompé, le van nous déposa dans une rue de bangkok. Nous voilà en pleine avenue de Bangkok, assis au milieu des passants et des voitures; on doit attendre jusqu'à 18 heure. Il me semblent que nous sommes devant un T.A.T car j'ai vu un homme qui ammenait le ravitaillement du voyage ainsi que d'autres personnes qui attendaient.

Ce voyage me réserve plein de surprise.

17 h 50, le bus arrive; c'est un bus à 2 étages dont le bas est réservé aux bagages; on monte, musique traditionnelle, clim obligatoire.

Pour l'instant, le bus n'est pas plein mais je pense que l'on va prendre d'autres personnes en route. Nous traversons la ville et nous engageons sur la voie rapide qui surplombe Bangkok. J'y crois pas ! on s'arrête encore dans une immense station de bus. J'ai l'impression que l'on s'arrêtera souvent, il faut rentabiliser le bus. 19 h 20, on repart enfin, puis on s'arrête dans une station service. Finalement, on s'engage sur l'autoroute; peu après, distribution de patisserie (pas trop sucrées) et d'une bouteille d'eau. Un film comique passe à la télé, mi dessin animée, mi comico-horreur, mourdingue. Nous passons devant l'aéroport de Bangkok. Après quelques arrêt et une longue route, on arrive enfin à 5h00 du matin. Le maître d'hotel nous attend, les 2 anglais et moi; eux partent en trek. 5h30, je suis dans une chambre d'un charmant petit hotel où l'on déchausse avant d'entrer. Petite chambre simple et sympa toute propette, petit balcon donnant sur le calme de la ville encore endormi, les oiseaux chantent. Les premières boutique à peine. Il y a une différence énorme avec Bangkok.

Matinée ChiangMayenne, les coqs et les oiseaux s'adonnent à un concerto inédit, les chiens viennent rajouter leur aboiement au cortège, la musique fuse avec sourdine; il est 6h00. 6h30, commencent à pétarader les tuk-tuk et autres moto venant troubler la tranquilité matinale. L'activitée s'accroie.

L'excitation de la nouveauté m'enpêche de dormir. Il est 7h00, je suis sorti prendre un déjeuner : toast, beurre, confiture, jus d'orange et café bien à la française.

J'ai longé la rivière Mae Nom Ping, qui passe en pleine ville, pendant 2 bonnes heures, captivé par la beauté thaïlandaise, et je suis rentré me reposer un peu. Il fait chaud, chaud, chaud. Je n'arrive pas à me lever; je me motive un peu pour bouger, c'est dur. Il faut que je donne mon linge à laver. Je vais attendre que le soleil se couche pour aller au night market. Je transpire à grosse goutte. On dirait qu'un gros orage se prépare. Je décide de partir au Night Bazar. Je vais au centre à pied, 500m environ, puis j'appelle un tuk-tuk qui m'emmène pour 40 baths. J'arrive au marché, je commence à déambuler dans les allées. C'est toujours pareil, on ne peut pas faire 2 mètres sans qu'on vous accroche ! (normale, il faut qu'ils mangent), je m'achète à la pharmcie de l'antimoustique, aucun tee-shirt ne m'interpelle. Finalement, j'en prends un pour le fun. Je me dirige vers le marché alimentaire pour casser une graine. Succulent! cette assiette de "riz végétable". Je m'en vais et me fait accrocher par les masseuses, "foot massage, 60 bhts" qu'elles disent, elles sont partout, impossible d'y échapper. Je décide d'y aller, ça ne me fera pas de mal. Une heure après, les 2 pieds massés, j'étais bien relaxé.

Un orage a éclaté cette nuit, ça a raffraichit un peu.

Samedi 23 : Je me suis levé à 8h30 puis je me suis dirigé vers la gare de bus en tuk-tuk car à pied, c'était un peu loin. J'arrive à la gare, je cherche le guichet pour chang rai. Je vais au guichet, je demande les horaires, la guichetière me les marque sur un papier; j'analyse et décide de prendre le car VIP pour le lendemain à 12 h 30, guère plus cher (245 bhts).

Comme ilétait encore tôt le matin, je décide de marcher un peu et que vois-je ?, l'enseigne CARREFOUR, je décide donc d'aller rendre visite à mes collègues de travail. Une fois dans CARREFOUR, je me dirige vers l'accueil, (pas difficile, la disposition est la même que chez nous) et je demande quelques renseignement sur les conditions de travail, par la même occasion, je perfectionne mon anglais. Je n'ai pas tout compris mais je sais qu'en moyenne, un employé est payé 7000 bhts (140 euro). Puis je décide de manger dans la galerie. Je prends une assiette de riz vegetal (20 bhts), un petit gâteau (15bhts), unexpresso, petit gâteau, thé et ver d'eau (45 bhts). Une fois digéré, je décide de retourner à la gare chercher le billet. Pour y retourner, il fallait longer une voie express, et ensuite passer de l'autre côté pour rejoindre la gare. Je pensais que plus loin, un rond point me permettrait de passer, mais pas du tout. Donc je n'avais d'autre choix que de traverser la voie express dans un sens, passer le chantier qui était entre les 2 voies pour rejoindre l'autre voie en sens inverse. Je me dis que peut être c'était interdit!, je vis un couple qui traversa alors je m'engage. 1er voie traversé, je m'engagesur le chantier et là, je tombe dans une mare de bouedans laquelle je m'enfonce jusqu'au genoux. Impossible de m'en sortir s'en laisser mes claquettes. Je criais HELP! HELP!, sans réponse bien sûr, les ouvriers étaient en plein chantier au milieu des foreuses et grues en action à environ 200, 300 mètres. Autant dire qu'il ne m'entendaient pas et ne me voyaient pas. Je décidais qu'il fallait agir. Tant pis pour les sandales. Encore heureux que je ne m'enfoncais pas. Je pu sortir une partie inférieur d'une jambe puis l'autre, et me voilà traversant le chantier de la boue jusqu'au genoux, je traverse la route et vois un peu plus loin une station service, j'eus une lueur d'espoir: "HAVE YOU GOT WATER ?", en faisant signe de me nettoyer, demandais-je au pompiste. En me voyant, ils étaient pouffés de rire et me montraient un point d'eau pour me laver (inutile de leur expliquer pourquoi, ils voyaient bien que j'étais plein de boue).

Alors, je me déshabillais, t-shirt, pantalon; j'étais en caleçon et je rinçai mes habits. Me voyant faire gauchement, une femme vint vers moi, prit le seau dont je me servais, mon pantalon et le relava. Je dis : non ! non !, j'étais gêné, impossible qu'elle me comprenne. 2 minutes au soleill , et tout était sec. Voyant que je n'avais plus de chaussures, ils me demandérent si j'en voulais en me donnant les leurs. Tout de même, je ne voulais pas abuser de leur gentillesse et les laisser pieds nu. Je leur fis comprendre que j'allais m'en qcheter une paire. Je partis sur le bitum brûlant et revins à l'ombre. Il me semblais que le patron m'avait dit qu'il en vendait dans la station, mais j'avais mal compris. Il me fit signe de monter sur le vespa de son fils (je suppose) et qu'il m'emmenai à la gare. Une fois à la gare, il y avait quelque échoppes qui vendaient toutes sortes de choses dont les fameuses paires de sandales, je me préciptais et pris une paire; j'étais sorti d'affaire. Je pris mon billet pour le lendemain (25bhts) et retournais en tuk-tuk dans ma chambre.

Que d'émotions pour la première partie dela journée! Jusqu'à 17 h, je me reposai un peu, je sorti boire un café puis je me dirigeai au night bazar à une dizaine de minutes à pied; je par le début de la rue où les commerçants déballent à peine. Je descends la rue, la remonte par l'autre trottoir, bifurque par la portion restauration pour me prendre un p'tit encas, je continue mon chemin, entre les halls,ne néglige aucune allées pour ne rien râter et reviens à pied aux guesthouse vers 20h30. Arrivé dans ma chambre, je relis mon guide du routard pour repérer les guesthouse de mes prochaines étapes, je fumme une dernière clope et je vais me coucher vers 22h; demain, je pars pour Chang Rai.

DIMANCHE MATIN 25.09

Ce matin, je suis sorti déjeuner vers 7h00; pas beaucoup d'endroit étaient ouvert, la ville était encore en somnolence; j'ai finalement trouvé un bar qui faisait des breakfasts. Je me suis pris un bon steak de boeuf (un vrai), des oeufs, jus d'orange, scône et café pour 180 bhts (environ 3e). Je rentre et me pose 5 minutes puis je fais mes bagages pour partir. Je descends, m'installe sur la terrasse, rends les clefs, fume une clope et observe l'expédition du guesthouse d'à c^té qui part en randonnée 4X4 (tout un groupe d'espagnol); il y avait 7 ou 8 voitures tout terrain.

Il y a un tuk-tuk qui atten le client en face, je l'appel et me voilà parti pour la gare de bus; 10h30, je suis à la gare, je n'ai plus qu'à attendre.

Après quelque temps d'attente, une barre de céréale, un café et une cigarette, le bus arrive sur le quai vers 12h; je me renseigne bien pour être sûr que ce soit le bon et je décides de monter après avoir fais enregistrer ma valise. L'air y est plus frais, une hôtesse m'accueille, m'indique mon siege. Ce bus est très confortable, (siege cuir, repose pied, je vois 2 écrans de télé et surtout climatisé). J'observe les employés du quai qui à chaque départ de bus enlèvent, décollent, recollent et reposent l'affiche de destinations. Je remarque qu'où qu''on aille dans le pays, les moyens sont rudimentaires par rapport à l'occident mais ça ne pose aucun problème, ils se débrouillent. Ils sont 3 ou 4 pour faire une tâche qu'n seul pourrait faire chez nous mais au moins, ils ont le mérite de travailler pour gagner de quoi subsister.

Pour corseer le tout, je suis parti avec peu d'argent donc en arrivant à chang rai, j'espère avant la fermeture des changes, il faut que j'aille changer 50e de travellers, sinon, j'aurais du mal à payer ma nuit. Après une heure de route à travers la fabuleuse montagne verdoyante de la thaïlande du nord, le bus s'arrêta au milieu de nul part, je me demandai pourquoi. En fait, je vis monter 2 policiers pour 1 simple contrôle. Finalement, ce fût moins long que je ne pensais. Vers 15h15, on arriva. Arrivé à la gare routière, un grand nombre de taxis me sont "tombés dessus" (comme des mouches). Je me suis posé 5 minutes fumer une clope. Puis je suis parti au "Lotus guesthouse", coin paradisiaque, calme, bungalow au fond du jardin. 240 baths pour 3 nuits. Le centre est facile d'accès en marchant une dizaine de minutes. J'ai pu changer 50e de traveller, bien que ce soit un jour férié (dimanche). Je sens que je vais me plaire dans cette petite ville.

Vers 18h30, je me suis dirigé vers le centre, je suis entré dans le marché (immense) puis, je suis allé manger une assiette de riz bu un café. Une fois fini, je retourne au marché me balader. Pendant 1h30, j'ai tourné, fouiné, marchander.

21h30, j'en avais plein les pâtes, je décidai de rentrer en vélo taxi (24 bhts) puis je suis aller me coucher. J'ai passé une bonne nuit.

Lundi, vers 8h30, je me suis dirigé vers la ville et chercher la poste. je me suis un peu éloigné mais je l'ai finalement trouvée. Auparavant, je suis passé dans des rues très animées avec des marchands sur tout les rebords de trottoirs. Une fois que j'avais posté mes lettres, j'ai essayé de retrouver la rue principale pour aller dans une brasserie prendre un bon déjeuner, oeuf, bacon, café, jus d'orange. Une fois fini, j'étais là tranquille, assis à fumer ma clope quand je vois arrivé une jeune fille qui m'avait tout l'air d'être une routarde vu le nombre de sac à dos qu'elle avait. Elle dit quelques mots en anglais à la serveuse. Se tourna vers moi et me demanda: "avez-vous du feu?".

Elle était française, miracle, puis elle vint s'assoir à ma table et on discuta une bonne heure. J'appris qu'elle était seulement de passage; elle venait de chine et se dirigeait vers chiang maï puis bangkok. Tout en discutant, j'appris qu'elle était en voyage pour un an, qu'elle était allé en Russie, Mongolie.... Elle venait de commencer son voyage, il lui restait 10 mois; elle comptait se rendre à Bangkok puis en Indonésie.

Il était 12h00 lorsqu'elle me dit que son car était à 12.30. Elle se dirigea vers la gare. Auparavant, elle m'a donné son email pour qu'on garde contact par internet et qu'on se raconte un peu nos voyages respectifs. Moi même, un temps après, je parti à la garedemander les horaires pour Phitsanulok. Ensuite, je suis allé manger dans une brasserie thaï et je décidai d'aller à la recherche d'une location de vélo, pour le lendemain. Je finis par en trouver une (50bths/jour). De retour dans ma chambrette, une petite sieste s'imposait; puis vers 16h30 me voilà reparti pour le centre parcourant les magasins de long en large (on dirait une femme), jusqu'à 18h30, heure à laquelle je vais me taper une tranche de boeuf braisé bien à la française en écoutant un petit guitariste thaï reprenant des tubes des années 70, c'était bien cool. A 20h30, je vais au night market, parcourir, de fond en comble, les allées.

J'oubliai, vers 17.00, je commençais à voir les commerçants qui dépliaient leur stand, on aurait dit une fourmilière. Après m'être régalé de quelques fruits vendus à l'étale, fais quelques achats, je rentre à la case et me prépare pour ma sortie vélo de demain.

Vers10h ce matin, j'ai loué mon vélo comme prévu, je me suis balladé un peu aux alentours pendant 2 bonnes heurs. Entre teemps, je me suis arrêté mangé un morcau, bien à l'extérieur d'où j'allais à pied. Ce que j'ai pris avait l'air appètissant mais je suis tombé sur un morceau de piment, j'avais la gueule en feu.

Une fois ma balade terminé, je retournais au logis me reposer un peu.

Vers 15h00, je reprends mon vélo, vais boire un café et me prends des patisseries. Je rentre prendre une douche et je m'appercois que j'ai pris des coups de soleil sur les bras.

Vers 17h00, je reprends mon vélo et je fais un tour en villeet à 18h00, je rapporte le vélo à son propriétaire et je remonte en ville demander les horaires de car pour pitsanulok, le lendemain.

Le 1er est à 9h00, je vais prendre celui là, j'arriverais vers 16h00,16h30. Je vais manger, mais je n'arrive pas à me décider où. Finallement, je mange itlien (pâte carbonarat). Une fois rassasié, je vais au night market. Mais là, je ne reste pas longtemps; 3 jours de suite avec les mêmes marchands, on s'en lasse un peu. J'achète un dernier t-shirt. Je sens l'orage, les marchands aussi, ils s'agitent, couvrent leur étale. Je décide de prendre un tuk-tuk et de rentrer me préparer pour le départ. Il est 21.00. A ce moment, il commence à pleuvoir doucement.

 A (h30, au petit matin, un violent orage éclata à tout fracasser, on aurait dit un feu d'artifice. Je reste allongé jusqu'à 6.15 puis je vais prendre une douche et vérifier ma valise; puis j'attends.

Je vois le snack du camping qui ouvre, je m'approche, prends un p'tit dèj et demande qu'on m'appelle un tuk-tuk pour aller à la gare de bus.

Tout d'abord, l'information n'a pas été prise en compte de suite; j'attends un moment puis redemande.

Le tuk-tuk finit par arriver vers 8.30. Il pleut toujours. Une fois à la gare, je cours chercher mon billet, après avoir payé le sam saylor (40bhts) et j'ai enfin mon billet pour Phitsanulok. Hiers, on m'avait dit départ à 9.00, aujourd'hui, c'est 9.30 (je cherche pas à comprendre).

Enfin, je suis dans le bus, il ne pleut plus.

Ca y est, on est parti (j'éviterai d'écrire pendant le voyage, il risaue d'être cahotique).

Musique thaï d'ambiance, c'est un bus de moyenne catégorie, on va s'arrêter souvent, (je vais voir du pays!).

1er étape, Bankao.

J'ai pu faire arrêter le bus sur le côté pour aller pisser, (c'est ma spécialité).

Arrêt à Phayao....

Après avoir roulé 2.30h, nous quittons les hauteurs avec ses forêts verdoyantes et nous entrons dans le paysage plat de la thaïlande et de ses multitudes de rizières qui se dessinent à l'horizon accompagnées de villages avec ses gardes barrières.

Ce fut que mommentanné, nous rattaquons les interminables côtes de forêt. Par moment, le car ne pouvait plus passer, des arbres déracinés jonchaient sur la route à cause du violent orage du matin.

2ieme arrêt en gare : pause pipi, cigarette.

Vers 14.30, nous nous sommes arrêter manger un morceau.

Il reste 150 bornes.

A 15.00, le bus entre dans une autre gare et la chef de bus me dit de descendre, je pense qu'on va changer de bus.

Elle me dit de rester avec d'autres personnes qui vont, eux aussi, à Phitsanulok. Puis on attend; l'attente est de 10mn environ, puis un autre bus arrive dans lequel on va faire le restant du voyage.

Il est de la catégorie en dessous du précédent, c'est un bus de ville.

Chiang Maï, Chang Raï sont faites pour acceuillir le touriste mais là, je ne vois pas l'ombre d'un tuk-tuk pour nous FARENG.

Ca y est, je suis arrivé à la gare, j'interpelle un taxi qui m'emmène à l'hotel.

J'arrive, je prends une nuit; cet hôtel est pas mal : sanitaire très propre, clim, grand lit, frigo, pour 450 bths (9e). Je me serai bien passer de la clim mais c'est trop compliqué pour ce faire comprendre.

J'ai fait un petit tour de ville sous la pluit, cette ville me plaît, juste en face de l'hôtel, il y a un bar sympa pour se restaurer, dans la rue derrière, il y a internet et en face il y a le fleuve Nan avec ses quais apparemment superbes. (je verrais mieux demain, il fera jour).

6h15: j'ai passé une bonne nuit, il ne pleut plus.

8h30: j'ai fais mon tour de reconnaissance, je me suis balladé sur les quais où il y a plein de jogger matinale, dès 7h00.

J'ai pris une douche, vu la chaleur qu'il fait, puis je suis aller au T.A.T pour prendre les horaires de bus pour Khon Kaen, le lendemain. De retour à l'hôtel après avoir fait un viron, j'ai fais une sieste. Vers 12h, je suis allé manger un p'tit en cas et après mon café, je me suis mis à la recherche d'un bureau de change pour un peu de monnaie thaï.

Opération réussie, je me croyais vachement loin de l'hôtel alors que j'étais juste une rue plus haut. Je rentre dans un cyber pour passer le bonjour à tous mes contacts, vérifier ma boîte mail et je retourne faire une sieste. Arrivé à l'hôtel, je paie la nuit prochaine (400bhts, je n'ai pas compris pourquoi c'est moins cher). Après un petit repos, je retourne bader dans les rues, voir les gens, l'agitation du traffic; je cherche un café, le "7/11" est trop loin, il fait trop chaud, je vais voir les multiples temples. A côté de l'hotel, un snack sert du café, j'y vais (15 bhts). Je le savoure même si c'est de l'instantanné. Il est 16.45, je rentre faire une sieste en attendant le night bazar de 19h. 18.30, je me réveil, je vais manger un bol de riz au crevette (fameux), eau, café (90bhts) et je me dirige au night bazar, je fais un tour de reconnaissance puis essaie un massage thaï pendant 1 heure (détente assurée). Le temps se fait menaçant, juste le temps de finir mon massage et il tombe des cordes. Je vais boire un café en face de l'hotel. C'est bien agréable, il y a un music singer à la guitar accoustique qui reprend des tubes des années 70. Je reste écouter un bon moment, puis je rentre à l'hotel. Après un début de nuit hard (envie de gerber), je trouve finalement le sommeil.

Il est 7.45 du matin, je me réveil en forme et il faut que je boucle mes valises. Ca y est, je suis à la gare. Un bus privé vient me prendre pour aller à l'agence delaquelle je dois partir. En attendat patiemment, je recherche un "seven eleven" pour boire un café. Je sors de l'agence et demande un tuk-tuk; le gars de l'agence qui m'avait vendu le trajet m'a courru après et m'a dit : KHON KAEN ! KHON KAEN !, de peur que je prenne un autre moyen de transport que le leur. Je suis revenu et il me dit Ticket! Ticket! Donc je pris mon billet.

Ca y est!, le bus est enfin arrivé avec 5 minutes de retard. Tout le monde se ruat dessus; l'hotesse m'interpella, fit attendre tout le monde et je passai devant tel une célébrité attendu par son bus privé. Nous voilà parti pour je ne sais combien de temps.

Ca y est, après 5.30 de trajet, je suis enfin arrivé. Je me suis dirigé tout d'abord sur un hôtel complet, arnaque du tuk-tuk (100bhts) puis un autre, erreur du guide du routard, il était très cher et sur conseil d'un anglais, j'ai atterri au P.P hotel non répertorier dans le guide mais tout à fait respectable et bon marché pour 450 baths la nuit, le tuk-tuk m'a repris 100 bhts.

Franchement, je sens mal le séjour. Premier pépin, j'ouvre la douche, le bouton me reste dans les mains.

Bon, KHON KAEN est une ville pas très séduisante comme le dit le guide, mais l'hotel est plutôt pas mal, bar, resto, laverie; tout pour ne pas en sortir. J'ai essayé de me repérer dans la ville mais l'hotel est loin du centre. A mon avis, cette ville est trop étendue, dispersée. Samedi matin, en tournant, j'ai pu trouver des clops, cartes, café, p'tit dèj; tout s'arrange. Je suis allé à la "bus station", pour me renseigner sur les horaires de bus, puis au T.A.T. Mais le dimanche, journée nationale, il n'y a pas de transport et le T.A.T. n'organise pas de transport. Tout d'un coup, j'ai pensé au train, la gare est juste à côté de l'hotel, je me renseigne, il y a deux trains, dans la matinée, pour NAKHON RATCHASSIMA : 8.10, 11.15. Par contre, j'ai un doute au niveau du prix (38 bhts soit 0.76e) pour faire 400 bornes.

Ca y est, j'ai passé ma dernière nuit au P.P hotel, j'ai pris mon p'tit dèj, mes bagages et direction la gare. J'ai pris mon billet pour NAKHON RATCHASSIMA (38bhts) c'est bien ça (prix dérisoire) et je suis sur le quai en attente du train. A un moment, il y eu un message radio puis tout le monde se mit debout et s'ensuivit une musique "militaire". Donc, je fis comme tout le monde pour respecter les coutumes.

Une fois le train arrivé, je monte et c'est parti. Après 1h de trajet et 2 stations d'arrêt, on s'arrête au milieu de nullepart.

Au fil des arrêts, des gens montent; vers la dernière heure lme train est bondé. Ca y est je suis arrivé à NakkonRatchassima. On m'avait conseillé d'aller sur Phimaï. Vu la grandeur de cette ville, 600 000 habitants, j'ai préféré aller sur Phimai (+tranquille). De la gare, j'ai pris un tuk-tuk qui m'as ammené à la station de bus. Me voilà dans le bus pour Phimaï qui part dans 5-10 minutes.

Après quelques arrêt, nous arrivons dans une petite ville qu'ai Phimai. J'ai tout de suite trouvé le guesthouse, (derrière la boutique AGFA, disait le routard). J'ai fait un petit tour d'horizon, ça me convient tout à fait : tranquilité, accessibilité et une chambre en bois pour 130 bhts (2.6e), le pied !. Ce soir, je suis allé un peu partout et à un moment, un jeune à mobyletteme dit qu'il me voyait pas mal marcher et que si je voulais, il me proposait de m'emmener en moto (enfin, d'après ce que j'ai compris, histoire de se faire quelques baths).

J'ai passé une bonne nuit, ce matin je suis sorti déjeuner ( 7/11 pour café) et j'ai recherché la poste. En demandant, je l'ai finalement trouvée. J'ai envoyé toutes mes cartes. Je suis allé visiter les ruines de temple kmer (fabuleux), j'ai enfin trouvéce fameux restaurant indiqué par le guide du routard (Bay-thiey). Il a été déplacé, il y a quelques mois; il faut faire un petit bout de chemin, à la sortie de la ville, à pied ou en tuk-tuk. Mais on est pas déçu du voyage, (cadre magnifique et on y mange bien et pas cher). J'ai rencontré un français installé ici qui m'a servi d'interprete avec le serveur qui me demandait comment j'avais connu ce rstaurant. Le français dû intervenir au moment où je montrait au serveur le guide du routard.

Je suis rentré faire une petite sieste et suis sorti dans l'intention d'aller le net pour communiquer les horaires d'arrivée à mon père et je me suis dis: "tiens, pourquoi ne pas aller voir le site khmer", il étais juste en face de moi. J'ai donc payé 40 bhts pour entrer et j'ai visité ce fameux park. Le soir, je suis retourné au Bay-They Restaurant, puis pour rentrer, comme il faisait nuit, la patronne m'a proposé de me faire ramener par un employé du resto.

Il est 7.30, je me dirige vers la gare pour le bus de Korat; j'attrape un tuk-tuk pour 50bths; puis je tape la converse avec un taxi qui voulait m'emmener a Buriram, j'ai refusé, j'ai pris un café avec le taximan et j'attends 10.15 mon train pour Buriram. Ca y est , je suis dans le train, le confort est mieux que la dernière fois? normal!, j'ai payé un peu plus cher. Une hotesse m'accueille, un plat repas offert et me voilà parti pour Buriram pour un peu plus d'une heure de trajet.

Arrivé en gare de Buriram, je descends du train, une horde de tuk-tuk et compagnie me tombe dessus, je les envoies balladé, je m'assoie et je m'en grille une. Je pensais que Guy venait me prendre mais j'appris plus tard qu'il n'avait pas reçu mon message d'arrivée. Bref, j'ai pris un bus pour salenghtown. Arrivé à destination, je me dirige vers la maison, chez guy. Je m'installe, on discute, on mange.

J'ai passé une bonne nuit, ce matin, je me suis levé vers 6.30, bu mon café, mangé une bonne platé de riz et nous sommes allés en ville faire quelques courses. J'ai acheté d'excellents gâteau pour une misère, Su à achetée des fruits et on est allés dans une grande surface. J'ai voulu payer le repas de midi qu'on a prit à emporter. Sur le chemin de retour, guy à voulu prendre en photo l'immense statue de bouddha que les moines viennent d'orner de feuilles d'or. Il est situé au sommet d'un ancien volcan. On y accède en voiture ou à pied, après avoir gravi quelque 300 marches. Une fois la contemplation terminée, nous sommes rentrés mangér et j'ai fais une petite sieste.

Le 6.10: Réveil 6.30, petit dèj puis bol de riz et vers 9.30, mon père et moi sommes allés visiterle temple khmer de PANOM RHUN, temple long de quelque centaine de mètre. Magnifique!, puis vers 12.30, nous avons mangés sur place, puis nous sommes rentrés doucement à la maison.

Le 7.10, je me suis levé, j'ai déjeuné puis vers 10h, je décide d'allé faire un tour en ville; j'ai attrapé le bus qui passait à 11h, puis suis descendu en ville. J'ai parcouru les rues, acheté quelques emplètes. Vers 13h, je me suis arrêté déjeuner puis je suis rentré.

En remontant, j'étais dans un bus un peu supérieur au niveau confort (air conditionnée). Devant moi, 2 thaïlandais étaient un peu éméchés et foutaient le "souk". L'homme du bus était là pour les surveiller (au cas où). Puis une fois à Ban Salenghton, il m'appela pour descendre et je finis la journée paisible à la maison.

Le 8.10, nous sommes allés en direction de la frontière cambodgienne pour que mon père puisse renouveler son visa thaïlandais. Nous avons fais 1.30 de route environ. Arrivé là bas, nous avons attendu, sa femme et moi, qu'il fasse ses déùarches administratives. Il a commencé à pleuvoir un peu puis on est allé au marché "post frontière", voir un peu ce qu'ils vendaient. Il pleuvait un peu plus; j'ai acheté quelques gâteaux pour la route et on est rentré à la maison. La pluie, tantôt s'intensifiait, tantôt s'arrêtait. Une fois arrivé, nous avons mangé puis, la pluie a commencé sérieusement à tomber. La journée finie, il ne pleut plus. Je vais me coucher, passe une bonne nuit. Pendant la nuit, il repleut.

Le 9.10: ce matin, je me lève déjeuner puis vers 10h, après manger, avec mon père, on se met sur l'ordinateur et on fait un billard. Le temps est instable; un coup il pleut, un coup il fait beau; je ne peux rien entreprendre. Finalement, la partie de billard à duré une bonne partie de la journée, ce qui nous a ammené vers 17.30. De toutes façons, c'est dimanche, jour de repos. On mange, je prépare mes bagages pour demain.

Lundi 10.10 : Ce matin on s'est préparé pour le départ, Guy et Su, allaient sur Lopburri. Vu là la circulation, Guy m'a posé à la gare de Sarabury où je prends un train pour Ayutthaya, pour une petite heure. On est arrivé à la gare, on est allé manger dans un snack, j'ai pris mes bagages, eux sont partis pour leur séminaire et moi j'attends le train.

Je vais passer mes 2 derniers jours à Ayutthaya, avant de prendre l'avion à Bangkok. Arrivé à la gare, je cherche un peu "Tony's Place"; en fait, je dois traverser PASAK River en bâtea (3 bth) puis je cherche en baladant dans les rues et je trouve "Tony's Place".

J'ai de la chance, il reste une dernière chambre, je la prends pour 200 bths, m'installe, prends une douche et vais voir un peu la ville. Animée, pas trop grande, comme il faut. Je reviens manger au Tony's, là je remarque des français qui arrivent. On discute un peu de nos voyages respectifs. Ce guesthouse est rempli d'étranger, anglais, hollandais, allemands, quelque français. Dans la rue, il y a plein de guesthouse avec bar. J'ai rencontré des français, on a causé un peu, jusqu'a 23 heure.

Je n'ai pas bien dormi, mal de tête.

Le 11.10, je me suis levé à 7.00, j'ai pris un p'tit dèj et suis allé visiter 2 temples khmer. Vers 12h, je suis revenumanger, fais 2 ou 3 courses et fais une sieste puis je suis aller voir l'autre quartier. A 17h30, je suis allé voir une réserve d'éléphant, toilettage, dressage, baignade ainsi que quelques temples, (une sortie qu'organisait le guesthouse). Nous étions 2, une touriste japonaise et moi.

La nuit était tombée, comme je n'avais pas de flash sur mon appareil, ma voisine d'excursion m'a prit avec son appareil avec flash incorporé (ils sont fort ces japonnais) et me dit qu'elle me les enverrait. Puis nous avons mangés et bu un verre ensemble en essayant de se comprendre tant bien que mal.

Le 12.10 : ce matin, j'ai fais confirmer mon billet (paraît-il qu'il faut confirmer son vol de retour, au cas où l'on ne voudrait pas rentre). La petite chinoise est venu me dire au revoir. J'ai fais une laverie puis je me suis loué un vélo (30b/jour), j'ai fais un grand tour de ville.

Après avoir mangé et fais une ptite sieste, j'ai essayé de retrouver le village d'éléphant; je ne l'ai pas trouvé mais jee me suis balladé en campagne. 16.30, je rentre manger quelque gâteau puis boire un thé; puis je fais connaissance avec une parisienne qui vient d'arriver. Après manger,je vais faire un tour au bar à côté pour écouter de la bonne musique, l'ambiance est sympa. Je fais connaissance d'un américain et d'un australien. Je bois 2 verres de bière et je rentre.

Cette nuit, j'ai eu du mal à dormir.... peut être les 2 bières!.

Le 13.10 ,je me suis levé à 7.30 et fais mes bagages.

Tout d'abord, j'ai hésité à partir de suite. Puis vers 9.00, j'ai pris un tuk-tuk qui m'a emmené à la gare où j'ai attrapé un train pour l'aéroport.

Il est 11h, et j'ai 10h à attendre. Je pourrais faire du shopping; je pourrais aller dans Bangkok, mais cette ville me fait un peu peur de part son immensité grandeur.

Bon, ça yest, j'ai franchi toute les barrières sans soucis, juste un moment d'angoisse quand j'ai entendu "Martin, immédiatement au bureau!", ce n'était pas moi.

Après un tour de duty free, je me suis présenté à la porte adéquate, mais ils m'ont dit: "Not now! 11 oclock". Ils n'ont pas voulu de moi alors j'attends.

ca y est, j'ai finis par embarquer, j'ai pris place dans l'avion.

Après quelques heures de vols, le voyage s'étant bien passé en compagnie d'un retraité qui venait du vietnam avec qui j'ai pu parler un peu, arrivé à Roissy, il a fallu que je cours pour trouver la correspondance TGV. et une fois dans le TGV. , je suis en route pour LYON. J'ai un peu transpiré à courir, mais ça y est le voyage est finis. Tout c'est bien passé si ce n'est un peu le bordel arrivé à Paris (Normal, c'est la France)!!!

1 mars 2008

1er voyage

1 er VOYAGE EN THAILANDE

 

 

la veille au soir, je devais boire un verre avec des copains, ils se sont désistés. Tant mieux car je devais me lever tôt le lendemain matin pour prendre mon train à 6h05 ) Part Dieu.

Levés à 4h30, nous sommes partis à 5h00 de la maison, il faut compter large dans ces moments là surtout quand on s'engage dans Lyon; on se trompe de rue, il faut revenir en arrière, trouver l'entrée du parking de la gare; puis une fois dans le parking, trouver la direction de la gare (c'est si compliqué) bref. J'arrive à 5h45 sur le quai, je suis dans les temps. Le temps de fumer une dernière cigarette par mécanisme (même pas envie).

Je dis au revoir et je m'assois à ma place.

L'attent jusau'au départ est longue.

Finalement, le train démarre. Je prends mon livre duquel je lis un chapitre.

Il fait encore nuit; puis je décide de raconter mon voyage sur cahier.

8h04, arrivé à la gare de Genève sans encombre.

Je cherche un point voyageur pour attraper une navette pour l'aéroport; 1er embuche, ils prennent pas les euro.

Je donne ma carte visa qui ne passe pas. L'engoisse monte, je la frotte et c'est bon. Je vais sur le quai prendre la navette. Je demande au contrôleur si c'est le bon train pour l'aéroport, il me dit "oui, vous attendez qu'il se vide et vous montez après, (lentement, c'est un suisse) et 10 minutes après, j'arrive à l'aéroport.

Je dois rejoindre Denis au guichet Airfrance. Panique, il n'est pas là, je parcours le hall de long en large, je sors, je rerentre et enfin il m'interpelle. Tout vas bien.

Café en attendant; cigarette sur cigarette car j'apprends qu'il va falloir s'abstenir de fumer jusqu'à l'escale du Koweit, puis attente (3h environ) alors, je décide d'écrire.

Je vérifie si je n'ai rien oublié (ce qui ne sert à rien, il est trop tard).

Nouvelle angoisse causée par un léger retard.

Enregistrement à la dernière minute puis montée à bord de la KOWEIT AIRLINES, direction Franckfort pour environ 1h30. Discussion avec mon voisin Denis sur le travail, la vie..., arrivé à Franckfort, longue attente pour soit disant un plein qu'ils auraient pu faire 10 fois.

Petite discussion avec ma voisine lausannaise, lecture, petit tour dela piste de l'aéroport, à titre gratuit, puis décollage pour le Koweit.

Voyage agréable, radio de passage, télévision; repas de 17h00, boeuf purée; cause psychose, je ne prends pas de poulet (Un peu parano le gars) fromage dessert.(Fromage que j'ai largement apprécié car là où je vais, il n'y en a pas).

Café, (froid de la voisine et chaud des hotesses).

Tout ça branché sur radio Jazz Fréquence en permanence, sur laquelle j'écris ces quelques lignes, quelques mouvances du navire, ça inspire.

Il est 1h13 du matin, nous sommes à une altitude de 10100metres, au dessus de Bagdad; le temps me tarde d'arriver pour enfin fumer une cigarette.

Il vient de nous être servi ce qu'on appel le "tea time": café, viennoiserie. Les hotesses sont sympas. depuis le début du vol, je me suis établi un programme bien stricte. Radio jazz à donf, Confession d'une radine, récit de mon voyage, échange de mots avec voisine genevoise, proposition de prendre un café à l'escale du Koweit; tout ce programme entrecoupé de nombreuses pauses café gracieusement servies par nos hotesses.

Ca y est, on arrive en transit à Koweit City; belle ville illuminée sur les flots.

Arrivés à l'aéroport, nous fûmes accueillis par les emirats arabes qui flannaient de ci de là; il y en avait partout dans la salle d'attente.

Ce fut magique pour ma part.

Puis direction café et valse de cigarette pour rattraper le retard et l'attente qui fut longue, longue, longue. Après être passé au douanes. Après une heure de retard, ce fut le départ. Cette fois ci, Geneviève n'est pas parmis nous.

Le boing à du mal à démarré, démarre puis revient à quai pour un problème technique.

Nous allons vraiment être en retard sur l'heure prévue.

Attente interminable, souci réparé, impossible de trouver le sommeil, il doit être 2 ou 3 heures du matin, je ne sais plus avec le décallage horaire; après 2 ou 3 heures, nous débarquons de l'avion cause fuite d'essenceet nous revoilà dans le hall à patienter devant un café, cigarettes et 1 heure plus tard réembarquement dans l'avion qui cette fois, je l'espère, décollera enfin. Il doit être 5 ou 6 heures. Sieste éveillée jusqu'a 6.30 puis copieux petit déjeuner. J'ai l'impression qu'il fait un temps magnifique dehors, le ciel est bleu mais nous sommes au dessus des nuages ce qui peut entierement changé en dessous.

Mais malheureusement, je ne pus admirer cette vue magnifique longtemps. Ils décidèrent que tout le monde devait dormir donc tout était dans le noir. Je finis par trouver une place au hublot libre donc je profitai de cette opportunitépour y bondir munis de mon appareil photo. J'ouvris, je vis le désert, là devant ou plutôt en bas, comme je ne l'avait jamais vu; si immense que je ne pus dire si l'avion était haut ou bas. A peine ai-je pris une photo que l'hotesse m'interpela pour me dire "excuse me? Mister, close up the windows, it's time to sleep", comme s'il s'agissait de l'extinction des feux d'un internat. Ce laps de temps me paru interminable, tout le monde était dans le noir, dormait et moi je n'avais pas sommeil; il était 9h30. 2 h plus tard, l'avion reprit vit, les hublots s'ouvraient timidement; 1 puis 2, puis 3 puis 10 et là, la lumière fût. A un moment, survolant l'Inde, je crus voir le Gange, gigantesque fleuve qui se jette dans la baie du bengal, nous passions au dessus de CALCUTTA. Plus tard, nous passions au dessus de la Birmanie, vaste pays, encore resté vierge. 30 minutes plus tard, nous atterissons sur Bangkok (grand aéroport). Récupération des bagages et recherche de mon père (nous avons perdus Geneviève), je lui enverrai un email. Sorti de l'aéroport nous allons accompagner Denis chez sa belle soeur. Salutations, discussions.... Et dans le 4/4 à Guy, nous prenons la route pour l'hotel réservée pour 2 ou 3 jours à Bangkok. Je n'imaginais pas Bangkok aussi grand et aussi difficile d'y circuler. (6 heures pour rejoindre l'hotel à 30 km, en banlieu de Bangkok) Imaginez après 36 heures d'avion, j'en pouvais plus, j'étais un tant soit peu sur les nerfs. Enfin l'hotel, il faut manger; une autre paire de manche.

Dimanche 9.10:

Matinée shopping dans une partie du sentier (grand drugstore).

3 mots : Bruyant, Gigantesque, Impressionnant; une foule comme je n'en avais jamais vu.

Achat de T-shirt 3 et 2 euro, cigarettes thailandaises (360 bths environ 7 euro la cartouche)

Repas vite fait, après midi visite du bâtiment matériel informatique, tout pour l'ordinateur dans un bâtiment de 5 étages (totalement démesuré) remplis de monde et de bruit et en plus un dimanche, il paraît que la semaine c'est pire. Retour à l'hotel vers 17h.

L'hotel avec piscine à l'intérieur sous les tropics.

30 minutes de battement et l'on va aller dans le temple bouddhiste du quartier; piscine et rebain de foules le soir. Tout cela sous une chaleur étouffante mais je redis les mots Gigantesque, Impressionnant, Bruyant. Après un petit repos, direction. après un petit repos , direction le temple bouddhique du quartier où pour la première fois j'ai vu comment était un temple. Quelques stupas autour d'un immense temple surmontés d'un gigantesque bouddha d'or (magnifique!) au pied duquel les fidèles font leur offrandes collent des feuilles d'or sur les différentes statues de bouddha et prient de tout leur coeur en espérant une vie meilleur.

Je suis rentré dans un temple rempli de divinités bouddha surveillant la totalité du lieu et un immense tapis rouge, sur le sol, pour permettrent aux fidèles de prier. retour à l'appart et ballade dans "Silom", immense galerie de 5 étages exclusivement remplis de marques, pour y acheter quelques emplètes et on est allés grignoter un bout dans un fast food; et là, les petits tracas ont commencés (dûs à la fatigue de la journée). On devait passer réserver des billets pour un trecking prévus dans la semaine; nous avons été retardés pour des achats de dernières minutes; plus de guichet ouverts; perte de temps; de retour à l'hotel, les clefs ont été perdues. Bref, le groom de l'hotel nous ouvre, nous allons nous nous coucher fatigués et demain sera mieux.

Le lendemain, levé 7h00, petit dèj rapide et direction la gare pour la réservation des billets du trecking, retour à l'hotel, règlement avec embrouille et départ pour un bidonville ou sue devait régler un problème familiale avec son frère.

Là, je peux dire que j'aurais vu la misère. Plusieurs familles vivaient dans une espèce de grange cloisonnée par des briques pour faire plusieurs compartiments de une pièce; et dans chaque pièces, une familles de 8 ou 9 personnes. Je suis rentré dans une pièce,(chez le frère de sue) ils avaient une planche de bois pour litière, une télé, un magnétoscope (important en thailande), un frigo, une armoire et c'est tout. Rien de plus, j'en ai eu mal au coeur. Mais ce n'est pas pour autant qu'il étaient malheureux, en tout cas, ils étaient tout sourire.

A un moment,une vendeuse arrive avec une carriole et tout son équipement pour faire des crêpes sucrées, beurrées, dans la cour et distribution pour tout le monde (j'ai payé ma tournée). a côté de ctte grange, il y en avait une 2ieme avec également plusieurs pièces avec une famille par pièce et au bout du terrain, une maison bourgeoise où habitait le propriètaire bedonnant qui louait ces bidonvilles (à des prix excessifs, il paraît) bref, LA MISERE.

Ce village était à mis chemin du lieu où mon père habitait où nous allions nous rendrent le lendemain.

Guy et moi avons regagné un hotel pour la nuit de manière à laisser les membres de la familles discuter de choses sérieuses. A 20 km environ, nous avions une chambre pour la nuit.

Le lendemain matin, nous retournions au village récupérer sû et une ribambelle de gamins pour ramener à la maison. Ils nous restait environ 300 km; les nationnales étaient toutes droites. On s'est trompés de route, mais ce n'est pas grâve. Nous sommes passés donc par de multiples nationales longeant les risières et sommes remontés juste avant la frontière du Cambodge.

Il était midi et on s'est arr^té pour manger un bol de riz, dans un petit snck routier improvissé, comme il y en avait tout le long de la route.

Deux heures plus tard, nous sommes arrivés au village. Avec mes yeux remplis de découverte, je découvrai ave enchentement ce petit village (pas si petit, il y avait 5000 habitants), où touutes les maisons se contoyaient les une aux autres.On rentra le 4x4 dans le garage, il y avait quelques poules; nous prîmes nos bagages et on commença à longer les ruelles longeants les maisons pour finallemment arriver à la maison de guy.

C'était une somptueuse villa en bois et solls carlés sur 2 niveaux, la cuisine était dans une pièce à l'extérieur et à l'intérieur, on se serait cru dans un palace.

Les premiers contacts avec la famille étaient durs, vu que je ne parle pas le thaï. J'ai été étonné par la gentillesse des gens, ils venaient me parler, en monologue, mais c'est l'intention qui compte.

Mon père me dit que les 2 grands garçons qui étaient à la maison me proposaient de m'emmener au troquet du coin. J'acceptais, ce fut dure de communiquer mais bon. C'était très gentil de leur part.

Nous parcourumes donc la traversée du village de ruelles en ruelles et une fois arrivés à la nationnale, je découvris que le bar était fermé. Tant pis. Donc on retourna à la villa. Ici, nous cohabitons avec toute sorte d'insectes mais il ne faut pas s'affoler. Sur le mur de la villa, il ya un lézard d'a peu près 30 cm qui parfois se met à chanter; des blattes peuvent courir sur le plancher, j'ai même découvert un cafard dans un hotel.

J'ai appris 2 mots thaï aujourd'huis, que 2 petites nièces de SU m'ont appris, APNAM : douche et OWNAM : wc.

En conclusion, ce fût une journée très enrichissante, et il y en aura d'autres; une belle leçon de vie.

Le 12.10, nous sommes allés faire des courses à BURIRAM et envoyer quelques cartes postales. Nous avons mangés dans un resto taoïste des plats végétarien, riz obligatoire accompagné de poisson "végétarien", pâte thaï et 2 autres garnitures, jus d'orange frais, gâteau du coin pour seulement à peine 1 euro par personne, puis nous sommes allés au supermarché et retour à la maison bien crevé vers 16 h.

Au supermarché, on a acheté du café (qui me manquait un peu); j'ai bu un café et sieste.

Vers 18 h, repas copieux accompagné de fruits exotiques excellents. La nuit tombée, de repos dans le hamc, quelques gamins du village, sans doute curieux de voir un blanc chez eux, sont venues et ont essayés de discuter, avec moi, bien sûr pas en français mais en anglais, quelques un sont doués pour leur âge. Malgré tout, ils ne parlaient pas couramment anglais mais nous arrivions à nous comprendre.

J'aurais tellement voulu savoir parler thaï.

Vers 21 h, les enfants de la famille m'emmenèrent dans la maison et me présentèrent un fauteuil, me firent assoir et me montrèrent un jeux electronic éducatif pour apprendre à épeler les mots en français que l'ordinateur nous demandait.

Mercredi 14.10 :

Matinée piscine pour les enfants à BURIRAM, on a déposé un voisin à l'hopital et je me suis débrouillé, de la piscine, à trouvé "Kodack" pour dévelloper mes photos puis je suis retourné à la piscine, j'ai rencontré, justement, une française et de allemands qui s'y rendaient; on y est allés ensemble. A 12h, on est allés manger dans un resto végétarien et en rentrant, sur la route, nous sommes allés visiter un site bouddhique; il y avait une immense statue de Bouddha, au sommet d'un ancien volcan et, pour s'y rendre, soit une route, soit 297 marches d'un escalier, à crapahuter. Dans la forêt qui bordait la route, gisaient deci delà des Bouddhas se reposant en position allongé ou assis dans la position du lotus. Sur la route du retour, nous avons déposé Pilou (une fille qui était avec nous) chez ses parents.

Pour la soirée, Poun et Fa vont sortir à BURIRAM et m'ont proposé de m'emmener, j'ai accepté. Vers 18h30, nous voilà partis pour BURIRAM sur la "50" de Poon, nous étions à 3 dessus. C'est ma 1er soirée thaï. Nous sommes arrivés à BURIRAM, après 20 bonnes minutes de moto; on s'est arrêté au marché nocturne pour acheter plein de sortes de fruits excellents.Puis on est allés manger dans un immense resto en plein air avec un guitariste thaï.

D'entrée, ça m'a plu. Poun commanda, je ne sais quoi en thaï. En pacientant, j'écoutais le guitariste et les serveurs commencèrent à nous ammener 1 puis 2 puis 3 plats, une poële bombée au centre de la table chauffée par de la braise, autour de la poële, il y avait de l'huile chaude dans laquelle on mettaient cuire des légumes de toutes sortes et sur la partie bombée on mettait de la viande, du poisson, des poulpes et toutes sortes de crustacés; on laissait cuire et on mangeait le tout avec un bol de riz. Trois tournées, on nous servis; à la fin, on était gâvés.

Le tout pour 3 personnes, seulement 6 euro.

J'ai décidé d'offrir le repas étant donné qu'elles s'étaient dévouées pour m'emmener. Et hônnettement, pour moi c'est pas grand chose alors que pour elles c'est beaucoup. En repartant,elles voulaient repasser au marché pour prendre des fruits.

La moitié des maraîchers dormaient sur leur étales. Je dis à poun, tant bien que mal (heureusement, elle parlait un peu anglais) de s'arrêter à une station service pour mettre un peu d'essence dans sa mob; c'est la moindre des choses. 40 baths d'essence, une misère pour moi; et nous voilà repartis pour Salengtown.

Tout le monde était content, surtout moi.

Le 15.10, réveil à 6h30, je commence à regarder si je n'oublie rien pour le départ de 10h58 pour Bangkok, je vais prendre un café et attend l'heure de départ. En attendant, je vais me promener autour du lac derrière le village, lac de nénuphars, un petit détour par les risières.

Avec les enfants, on atrouvés un crabe.

Puis retour à la maison, derniers préparatifs et départ à la gare de BURIRAM pour BANGKOK, le stress monte en moi. attente du train; il faut voir les trains thaï.

Panique, pour trouver le bon train.

Finalement , on le trouve, nous montons et il part. 9h pour aller à BANGKOK, c'est thaï thaï, mais très bonnes expèrience; (la vraie vie thaï).

Le luxe n'est pas le même qu'en France mais pas de problème. Des vendeurs ambulants viennent nous présenter leur collations toutes les 30 secondes, les compartiments, pas très présentables, sont ornés de quelques publicités pour des pâtes, de la soupe ou pour une boisson quelconque mais quoiqu'il en soit, il faut laisser le temps passer. 3 heures que l 'on roule, nous sommes encore dans les rizières. Le train aussi prend son temps comme si même les machines avaient l'esprit thaï thaï.

Un contrôleur différent, de gare en gare pour vérifier si tout roule bien.

Il n'est pas rare que les gens dorment pour passer le temps et pour s'éviter le tournis que provoque le va et vient des passagers se rendant aux toilettes ainsi que les marchands qui se croisent. Des sacs poubelles sont posés aux extrèmités des wagons pour déposer les déchets.

Je me suis pris une noix de coco (10 bhts).

Après quelques heures d'abstinence, je découvris que l'on pouvait allé fumer entre les wagons, porte ouverte, on pouvait admirer le paysage, défilant sous nos yeux.

De temps en temps, le train s'arrêtait au milieu de nul part, on ne sait pourquoi.

En allant aux toilettes pendant une halte, j'entendis des cloches, jee suppose que c'était un troupeau de chèvre ou buffles qui traversait la voie. En sortant des toilettes, j'eus la réponse à ma question; le train s'était effectivement arrêter pour laisser passer un troupeau.

Ca y est, nous arrivons aux abords de BANGKOK, nous ne sommes plus très loin; peut être un peu en avance sur l'heure prévue.

La nuit tombe.

BANGKOK et ses rues bondées de marchands de nourriture très peu chère, ses embouteillages, son bruit permanent.

Vu la grandeur de cette ville, je crois qu'il y en a pour un moment pour arriver au terminus.

Il faut passer les gares de banlieue.

Nous sommes arrivés en gare de BANGKOK sans avance finalement, c'était un leure.

Je dis nous car la nièce de SU m'accompagne dans mon voyage en guise d'interprète.

Nous avons mangés et maintenant nous attendons 2 bonnes heurs pour repartir en train couchette, pour CHIANG MAI, et essayer de dormir et normalement nous arrivons demain à 11h30.

Ca y est, on est parti. Si le train de jour n'était pas top, ils se rattrappent sur le train couchette. FA a pris le haut, moi le bas. Le petit déjeuner est commandé pour 8 h 30 demain.

J'ai rencontré des français, ça fait du bien de retrouver des compatriotes; ils vont à CHANG RAI, en chine.

La nuit s'est bien passée, j'ai bien dormi, il est 6h30, pratiquement tout le wagon est réveillé; nous sommes carrément dans la thailande sauvage avec sa végétation abondante, il va falloir patienter jusqu'à 8h30 pour se remplir le ventre, et le voyage n'est pas terminé. En arrivant, il faudra que je m'achète un ou deux tee shirt, je n'en ai plus et un vêtement chaud, il fait plus frais ici.

Ce matin, en allant faire ma toilette, j'ai emmené ma saccoche avec moi, par prudence, je prends ne douche, je revens à la banquette et panique, je m'apperçois que j'ai oublié ma pochette avec tout mon argent.

Panique, je cours à la douche et elle était encore là (heureusement).

On nous a servi le petit dèj copieux; salade, jambon, toast, confiture, jus de fruit (240 bhts pour 2). Y a pas à dir,on est mieux avec la pense pleine.

Une fois fini, je suis aallé fumer une clôpe entre les wagons pour y admirer le paysage frais du matin.

J'avais l'impression que la Guérilla pouvait surgir de n'importe où, tellement la fôret était immense. La brume matinale se levait à peine et le soleil pointait son nez.

Ca y est, nous sommes arrivés à CHIANG MAI, un guide nous attend.

Il nous a emmené à l'hotel, j'ai signé le reçu et l'hôte (tradition oblige), nous a proposé un cabaret pour le soir mais ça ne me tentait pas, j'avais prévu de ballader en ville, alors elle m'a sorti une autre activitée, plus cool, balade sur KONG RIVER, du sud au nord de la ville vers 3h00, retour à l'hotel et le soir Night Market.

Pour l'instant tout va bien; nous avons fait la ballade en bâteau, sympa, remontée de larivière, 1/2 heure environ, arrêt dans un bungalow au bord de la rivière, visite du jardin exotique, ananas et pastèque plus boisson offerte et nous sommes redescendu en visitant les abords de Mong River. Vers 18 heure, lee guide est venu nous expliquer le parcours, ce dont on avait besoin (je n'ai pas tout compris) et le départ et prévu pour demain 9h30.

Ca y est le jour J est arrivé. Le guide est venu nous chercher, on a mis nos papiers à la consigne et après avoir déjeuné, nous sommes partis à 7 et nous sommes passés prendre 3 autres personnes. Nous étions 3 mecs, 7 filles. Que des anglais, à part moi et FA.

Nous avons rolé à peu près 1h et nous sommes arrêtéune fois dans la cambrousse, et nous avons commencé notre randonnée à dos d'éléphant.

Si la Thaïlande est pauvre, ils savent bien exploiter le touriste, une fois qu'oon eu parcouru une centaine de mètre à dos d'éléphant, dans une rivière, nous pénétrames dans la jungle et tout les 100 mètres, il y avait des points de ravitaillement pour éléphant, (ils vendaient des régimes de bananes) uneheure après, à l'arrivée, un véhicule nous attendait pour nous emmener plus haut dans la montagne. Là, le véhicule stoppa au niveau d'un barrage. Le repas de midi nous fût distribuer, on a marché 10 minutes environ et on s'est arrêté au pied d'une cascade, du nom de nomgmonghta, pour déjeuner.

Le guide nous proposa de nous baigner; certains y sont allés, il paraît qu'elle était bonne, ce que je ne mets pas en doute.

Nous sommes repartis, après la sieste du guide, et nous avons crapahutés dans la fôret, Fa était en retard, le guide est resté avec elle.

Nous avons continué, on grimpait, on grimpait. Nous avons fait une pause pour attendre les retardataires, sommes repartis, toujours sans Fa et le guide, avons marché 1/2 heure et nous sommes arrivés à une cabane où nous attendait un ravitaillement en eau, (ça tombait bien, je n'en avait plus).

C'était une cabane avec une rizière autour, encaissée au milieu de la fôret de thaîlande, jusqu'au moment où nous avons rencontrés des fermiers et quelque mètres plus loin, une ferme avec des cochons, des poules en liberté et nous avons découvert notre gîte pour la nuit, une cabane de bois avec des tapis au sol et des moustiquaires pour la nuit. Je découvrais, en me balladant un peu, qu'il y avait d'autres habitaitions aux alentours (peut être 2 ou 3). Tout le monde s'assit autour de la table de repas; je fis le tour du "propriétaire" et vint m'assoir avec mes compagnons de voyage pour essayer d'échanger quelques mots (malgré mon pauvre anglais).

Puis le guide arrivât suivi de Fa. Je pense qu'elle voulait rester un peu avec pour causer un peu la langue du pays. Tous parlait anglais.

Le guide prépara le repas, puis après avoir mangé, nous avons eu droit à quelques chansons folklorique, chantées par les enfants du village autour d'un feu de bois (un peu cliché, mais sympa). Une fois fini, nous nous sommes installés autour de la table et avons discutés, avec le guide, de tradition villageoise et autre, il nous a expliqué le programme du lendemain et nous sommes allés nous couchés dans la cabane, chacun sous une moustiquaire dans un sac de couchage.

La nuit é été paisible; il est 7h30, le village est déjà en action: donne à manger au cochon, prépare à manger.

Les anglais dorment, le village est encore embrumé, les petits cochons courent de partout à la recherche de nourriture, certains villageois pillonnent le riz; le calme, les oiseaux, le chant des coqs.

Toute cette ambiance avec la radio thaîlandaise qui chantonne un air du pays.

Il faut attendre 8heure pour déjeuner, que tout le monde se lève.

Il commença à pleuvoir; sur le groupe, seul 4 personnes devaient rester 3 jours. Vu le temps, le couple qui devait rester décida de rentre. Fa et moi, on restait. En attendant que la pluis cesse, le guide me proposa un mélange de jus de plante, à boire, tonnifiant. Une fois que la pluie cessa, nous reprîles la route. En passant par le "gros" du village qui était au dessus d'où nous étions, nous sommes passés par des chemins boueux puis des rizières et nous pénetrâmes dans la forêt. Nous avons marchés une bonne heure avant une pause. La forêt de la veille était de type méditérrannéen alors qu'aujourd'huis, c'était plus la forêt tropicale. Peut être était ce dû à la pluie qui était tombé. Sur le chemin, comme nous n'étions plus que trois, le rythme était plus cool; le guide ramassait, ça et là, quelques plantes pour préparer le repas.

A la pause, Mr Prasit s'assit et tailla des brindilles; au bout d'un moment, il me tendit 2 baguettes pour manger. On repartit 1/4 d'heure après. Nous étions dans la forêt vierge à perte de vue. A un moment donné, je rencontrais, sur le chemin, une armée de fourmis, d'une autre espèce que celle que je connaissais, qui me barrait la route. Je ne pouvais pas les enjambées sans les contempler. Après une bonne heure de marche, on arrivait au point de ravitaillement pour manger. Le guide me dit de m'assoir, qu'il allait préparer le repas. Puis FA arriva tranquillement, après quelque minutes, (elle a l'esprit thaî thaî).

Repas de pâte, puis sieste.

Vers 15 heure, nous reprîmes la route, et, vu le rythme thaî thaî de la marche, le guide nous montra quelques feuille d'une espèce inconnue pour moi, coupa la tige et fit des bulles avec. Vers 16 h 30, on arriva au pied d'une cascade qui se jetait dans la rivière Nong Montha et là, était notre gite. Toutes les herbes que le guide ramassait sur le chemin étaient en faite pour le repas du soir. Il préparait le repas, tandis qu'une autre personne(de mèche avec le guide), vint nous rejoindre avec l'alimentation et il prèparât un feu.

Pendant que le repas cuisait, il fit chauffer quelques cacahouettes grillées pour l'apéro, et il me proposa une sorte de téquila.

Nous avons mangé du riz avec différentes sorte d'accompagnement et le guide nous a montré quelques tours: comment entre un carré d'allumettes dans un triangle, il suffit de prendre le triangle, le mettre devant les yeux et l'on voit le triangle dedans.

Comment ffaire 4 triangle avec 2 en bougeant 1 allumette? 

Comment faire 9:50 avec IOIOIOI en bougeant une allumette : 10 to 10 (ten to ten).

Il était 8:30, il faisait nuit depuis une heure environ; nous étions bercés par l'écoulement de la cascade de la rivière Nong Montha. Quelques bougies étaient disposées deci delà pour nous donner un peu de clarté.

Tout était calme, sous la cascade, pas un bruit autre que celui de l'eau se jetant dans la rivière. Instant calme, personne pour me déranger, personne pour me parler, personne pour me demander..., instant privilégié.

Le 19.10 au matin, j'ai pris une douche à la cascade. Nous sommes partis vers 10 heure, nous avons marchés, on s'est arrêté à une cabane de vente d'instruments de music, on est reparti et un peu plus loin, environ à 1/2 heure de marche, on stoppa à une cabane qui vendait des écharpes, boissons... Je demande au guide si on était encore loin, il me dit qu'on était arrivé, qu'il fallait attendre une voiture qui allait nous emmener jusqu'au village. Là, on nous servi un plat de pâte aux légumes; je reconnus la route, c'était de là que nous étions partis 2 jours auparavant. On avait presaue finis le treck, il nous restait la descente en rafting de la rivière NongMontha et on aurait fini. Le départ pour le rafting était là. Il me restait une photo, je voulais la prendre dans la descente mais le guide ùe dit que ce n'était pas prudent à cause des remous. Alors il nous prit en photo, (Fa et moi) juste au départ. La descente n'était pas trop vertigineuse mais tout de même... je me suis un peu mouillé. Bref, la descente était bien agréable, touristique mais bon... Je pense que lorsque l'on arrive dans un pays que l'on ne connait pas, il faut passer par là pour découvrir un peu le pays. Une fois le raft fini, j'étais crevé. Le retour en voiture fût long mais on arriva enfin à l'hotel. Récupération passeport, argent, bagage, direction apart, douche et rangement des sacs. Vers 5.00 heure, nous sommes allés au supermarché. Tout d'abord, nous ne sommes pas allés où je pensais mais on s'est promené; c'était une zone commercial à 5 ou 6 étages. on a mangé puis on a fini par trouver l'endroit ou je voulais me rendre. J'ai acheté ce que je voulais. Je n'avais pas de carte de l'hotel, je comptais sur FA .

Elle décida de rentrer à pied et faignais de ne pas trouver. J'essayais de lui faire comprendre de demander mais elle faisait semblant de ne pas comprendre. Du coup, on a fait un bon bout de chemin à pied dans CHIANG MAI. Tout compte fait, on aura visité; et enfin, on trouvait le chemin de l'hôtel.

Le 20.10, réveil à 7h30, je prépare les bagages, vérifie de ne rien oublié.

Je descends déjeuner, je règle les petits dèj du 1er et dernier jour, on doit libérer la chambre à 10.00, on rend la clef, allons marcher un peu, cherchons un endroit pour boire un café et ne sachant ou aller, on se réfugie dans un cyber où il y a la clim; dehors il fait très chaud. Après 2 heures de cyber, on retourne à l'hotel, au frais, et on attend, ne voulant pas partir de peur de rater le train.

Ca yest nous sommes dans le train pour Bangkok.

Le wagon couchette se rempli peu à peu.

Deux ou trois kiosque sur le quai pour se restaurer.

Il y a plein de jeunes cadres se rendant, je pense, dans les villes voisine.

Il est 17.40, le train s'en va dans dix minutes, si l'horaire est respectée.

Le son de la cloche est donnée, le train va partir.

Ca y est, on est bien parti,la nuit est tombé, je vais manger.

Nos voisins, les jeunes cadres, ont montés une grosse caisse de polystirène (caisse à poisson), je ne sais guère.

Au cour du voyage, ils commencèrent à sortir, chips, cacahouettes... en fait l'énorme caisse était rempli de bière.

Mon repas arriva, riz,accompagnement végétal, accompagnement viande, soupe, annanas en dessert et café pour finir. le tout pour 180 bhts (3.60e).

Un peu de lecture sur l'histoire de la thaïlande où je découvre son système économique à travers le tourisme sexuel.

"L'homme de lit" arriva pour nous déplier nos lits et je pus m'allonger confortablement sous le cahotement du wagon.

Je ne sais pas quelle heure il est. Il fait encore nuit, tout le monde dort. J'ai envie de fumer une clope. Il est interdit de fumer mais tolérer entre les wagons à l'air librepour ne déranger personne.

Je n'arrive pas à me rendormir, il fait toujours nuit; je regarde par la fenêtre, je pense que l'on arrive aux abords de Bangkok car les bâtiments, la lumière sont de plus en plus dense.

Les lumières scintillantes de la nuit sont de plus en plus nombreuses. J'ai un mauvais goût dans la bouche, je n'aurai pas dû fumer cette cigarette.

Tout de suite, j'ai envie d'arrêter; tout à l'heure, après le p'tit dèj, j'en reprendrais une avec plaisir.

Je me dis que je devrais arrêter.

Je m'étais tromper, il n'y a plus aucunes lumières dehors, le néant; nous sommes encore loin de Bangkok. Je vais essayer de dormir un peu.

Après un petit somme, je fus réveillé par le va et vient des hotesses qui voulaient préparer au mieux l'émergeanceance des voyageurs.

L'une d'elle me proposa un jus d'orange.

On commence par aborder la banlieue de Bangkok.

Arrivée Bangkok, 6.50.

Déjeuner dans un snack, je prends une douche et on attend l'ouverture du cyber pour se mettre au frais.

4.15 à attendre, je lis, je tourne, internet ouvre, j'y vais, je n'y rest pas, trop chaud.

10.35, on va sur le quai, le train arrive, on y entre pour être au frais, il fait tourner le moteur, le wagon et moyennement confortable, 10.55, on part dans 10 minutes pour 8 heures de voyage.

Pas de chance, je tombe dans un wagon remplit de marmots qui n'arrêtent pas de brailler.

(J'espère qu'ils vont descendre rapidement).

Le voyage a été long mais on est enfin arrivé.

A Salengtown, ce soir, une soirée ciné est prévue en pleine air. J'y suis allé avec toute la famille, c'était un film de Jacki Chan (sans grand interêt) j'ai pas tout compris mais tous les films d'actions sont les mêmes.

Quelquefois, sur la place du village, un cinéma en plein air vient s'installer pour 20 bhts l'entrée.

Tout le village s'y rend, ou tout au moins, une bonne partie.

Ils projetaient 2 films.

Lors du 2ieme film, la foule s'écarta comme dans un moment de panique.

C'était, je l'ai su après, quelques jeunes qui, ayant trop bu,se bagarraient.

Le 22.10, j'ai décidé de me rendre en ville en vélo; 25 km allè, 25 km retour; ce fut un peu long. J'arrive à Buriram, je visite un peu, je fais développer mes photos, je demande pour aller à la poste, pas de problème, le frèro m'emmène sur sa moto.

Il faut que je mange, je vais dans une petite guinguette et demande un végétable rice.

Dur à me faire comprendre, la tenancière appelle quelqu'un de sa famille qui comprend l'anglais (par téléphone). Je retourne chercher mes photos, puis avant de partir, je prends des gateaux dont guy m'avait parlé, avec toujours autant de mal à me faire comprendre. Je demande parquelle route je dois repartir, la dame des gâteaux m'appelle un policier qui me fait un plan et me voilà reparti. Sur la route, tous les km, il t a des cabanes où l'on peut se reposer, comme les aires de repos en france; il n'est pas rare de voir des gens allongés fesant la sieste.

Moi même, je me suis arrêté. En route, comme il faisait chaud, je me suis acheté une bouteille d'eau pour 8 baths, et j'ai repris ma route.

En arrivant au village, je n'arrivais pas à retrouver l'allée de la maison; des villageois me l'on indiqué.

Je vis que j'étais déjà connu au village.

Une fois arrivé à la maison, tout le monde était étonné par ma performance, faire 50 km en vélo par cette chaleur relevait de l'exploit.

Quand j'écris ce passage, une petite du village vint me parler en anglais, puis une longue discussion sinueuse sensuit.

Ce matin, je suis allé visiter le terrain de mon père composé d'un lieu de méditation, une parcelle coupée par moitié d'un champ de riz et l'autre moitié, un terrain laissé de végétation courante, d'une réserve d'eau et d'une cabane. L'après midi a été tranquille dans le hamac; discussion jusqu'au repas du soir, puis écritue, lecture, couché.

Dimanche, on est allé à buriram; on a fait quelque course puis on a mangé dans un snack comme il y en a de partout, Sue Guy les enfants et moi; une assiette de riz végétarien chacun accompagnée de soupe à 9 personnes pour 5 euros.

Après nous sommes allés visiter un lac orné, aux bords, d'un parc touristique remplit de pêcheur venus exercer leur art en ce jour de repos.

De retour au village, nous nous sommes arrêté au marché au pied du temple bouddhiste.

Le 25.10 au matin, je suis allé en ville avec Su, Guy n'aime pas y aller trop souvent, pour faire quelques achats. De retour au village, nous nous sommes restaurés, puis sur le hamac, j'ai lu un peu puis j'ai fais une sieste. Vers 16h, je me suis allé m'acheté un café glacé à l'épicerie du coin en vélo et me suis balladé dans le village deci delà. Je suis retourné à la maison, j'ai écris un peu et une petite du village est venue me parler en thaï; j'ai compris qu'elle voulait jouer aux cartes et elle m'appris à compter de 1 à 10. On a mangé, bu un bon café et j'ai terminé mon repas par une bonne cigarette. Les voisines d'en face jouaient aux cartes je ne pourrais vous dire à quel jeu.

Dans la soirée, l'une d'elle me dit de les rejoindre et me présenta sa soeur.

Un film thaï passait à la télé pendant qu'elles jouaient aux cartes. Pendant ce temps, je regardais le film, ne pouvant me joindre à leur partie. Vers 22h, tout le monde alla se coucher.

Le lendemain matin, levé vers 6.30, déjeuner puis farniente sur le hamac. Après une discution en anglais avec la voisine d'en face, j'ai fais une sieste (la chaleur harrassante aide beaucoup).

Le soir, après mangé, je suis allé chez la voisine regarder un film américain "Rush Hours".

Le 26.10, il était temps de repartir pour un long voyage pour un retour en france.

11h, nous voilà tous dans le pickup destination bangkok, une longue route nous attend.

Arrivé 18.30 à l'aéroport, guy me déposa et m'expliqua un peu le cheminement de l'enregistrement des bagages, du ticket d'embarquement etc... et à partir de 19 h, je dois attendre jusqu'à 3.00 du matin.

L'attente va être longue, je pense. Je commence à tourner, regarder, me diriger vers un cybercafé pour envoyer quelques mails, je trouve un fast food pour manger et je m'engage pour une visite de l'aéroport; je sors fumer une clope, l'air de dehors est étouffant, on est mieux à l'intérieur avec la clim. Je tourne encore jusqu'à un point d'information, je demande à l'hotesse si elle peut m'expliquer un peu le processus, pas de chance, elle ne parle pas français et j'ai l'impression qu'elle en a rien à foutre, (elle se faisait les ongles).

Je vais devoir me débrouiller. Je décide d'aller me laver les dents.

Des gens arrivent de partout, eux, vont partir.

Finalement, cette expérience va être formatrice.

Il est 21 h 30, après avoir tourné et retourné dans l'aéroport, (j'en connais les moindres recoins) j'ai changé mes dernières baths en euro, j'ai récupéré 30 euro; j'ai bu un café, fumé une cigarette, le bruit incessant du hall me fait mal à la tête, dehors c'est pareil avec la chaleur en plus. Je me remèmore les démarches à faire, je stress, c'est normal, c'est mon 1er départ seul. Je vais tuer le temps, je ne sais comment. Toujours mal à la tête, je ne peux même pas lire, il y a trop de bruit. Attendre, attendre, c'est à ce moment là qu'il faut développer sa patiente, il est 22 h 30.

Encore 4 h à attendre.

Je suis assis au 4ième étage, il y a toujours autant de bruit.

Je monte au 5ième, à l'agence Koweit pour demander comment cela se passe pour les bagages; ils me répondent "quai 14" que je connaissais déjà mais pas grave. Je prends un café (encore!), sors fumer une clope et je rencontre un gars de vienne avec qui je sympathise. On discute, on va au quai d'embarquement et on finit par monter dans l'avion et tout s'est finalement bien passé.

A 2 h 10, je suis dans l'avion.

Après avoir survolé Bangkok la nuit, tout illuminé, quelques heurs de vol, quelques perturbations légères, l'avion rentra dans une zone de turbulence un peu plus aïgue mais de courte durée. J'étais privé de radio et télévision car ces dernieres ne marchaient pas à cause des turbulences.

Il doit être 4 h 50 ou 5 h 00 du matin. J'ai pu dormir un peu, je ne sais pas combien de temps mais surment pas longtemps.

Tout le monde dort, j'ai un peu faim. Normalement, l'avion se pause à Koweit City à 6 h 00, si les horaires sont bons. Il fait encore nuit dehors. Ca y est, j'arrive à Koweit City avec le collègue viennois. Nous rencontrons, dans l'espace fumeur, un parisien et un couple suisse avec qui on sympathise. Nous avons tous attendu autour d'un café pendant 6 longues heures. Le viennois et le parisien prenaient un autre avion pour Paris tandis que les suisses et moi voyageons dans le même avion. Enregistrement, billet, passage douane, rien à déclarer et je suis enfin dans l'avion.

Ca y est, les moteurs chauffent et nous décollons pour une durée approximative de 8 h de vol. Après 7 h de vol, on fait escale à Franckfort juste pour y déposer des passagers.

C'est la dernière ligne droite jusqu'à Genève en 50 minutes.

Arrivé à Genève, je prends la navette pour la gare avec mes amis suisses qui eux restent dedans pour Lauzanne. Je cherche un contrôleur pour m'indiquer l'heure et le quai pour Lyon Part dieu....Personne.

Je trouve enfin un contrôleur qui courait (chose exceptionnel pour un suisse), il n'avait pas le temps de me renseigner.

Je vais à la douane française, personne non plus. Puis, j'apperçois un contrôleur et je l'interpelle "A quelle heure est le train pour la Part Dieu".

"Il y en a un tout de suite, dépêcher vous!".

Finallement, j'ai attrapé le train de 19 h 39 , je ne devrais pas attendre 21 h 47, comme prévu.

Ca y est, je suis sur le retour, le voyage est fini, la thailande est loin!.

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