2ieme voyage
2ieme
voyage en thailande
Ca
y est, je suis en vacance pour 1 mois, je monte à Vienne pour partir de Lyon
quelques jours après.
Derniers
préparatifs, derniers stress, dernières angoisses éphémères mais qui
m'empêchent pas de dormir. Mon départ est prévu pour Lundi, 19h56 de lyon
direction Paris en train puis, de Roissy Charles de Gaulle, embarquement pour
Bangkok.
Nous
sommes Samedi; plus que 2 jours et c'est le départ.
Cette
fois, je vais voyager seul et différemment; c'est comme une deuxième première
fois.
Je
me suis fais un petit itinéraire qui me fera visiter 6 ou 7 villes
thailandaise.
Cela
va-t-il se passer comme prévu ? l'avenir seul le sait.
Samedi,
je retrouve mes copains pour boire un café; on est en terrasse, je me mets en
plein courant d'air et je me ramasse un coup de froid. Bref! je n'y prète pas
beaucoup attention.
Le
lendemain matin au réveil,angoisse, mal à la gorge, je crains le pire car je
pars le lendemain.
Finallementtout
ça se traduit par une petite prise de gorge encombrée. Pas agréable, mais pas
dramatique.
14h30
le 19.09.
L'après
midi du départ est mélancollique, il fait froid dehors.
Je
ne sais pas pourquoi, mais un sentiment de nostalgie, l'idée de "quitter
ma patrie", s'installe en moi. Peut être le fait de partir aussi loin, de
tout laisser.
Pourtant,
ce n'est que pour un mois, je reviendrais.
Je
ne me rappel pas avoir ressenti la même chose la dernière fois.
Peut
être, ai-je une angoisse enfouit au fond de moi du fait que je m'envais sur une
terre qui n'est pas la mienne, peur d'affronter l'inconnu, seul. Je pense que
cet état d'esprit est normal pour tout un chacun voulant fouler une terre
inconnue. On ne peut maitrîser ce mélange de sentiment d'angoisse et de joie.
Demain, tout ira bien ...
Ca
y est, je suis dans le 1er train qui m'emmène à Lyon.
Petite
angoisse 1 km avant la gare d'arrivée, le train s'arrête en pleine voie.
Finalement, j'arrive à Part Dieu, je change mon billet au guichet TGV-AIR et
j'attends. Le TGV-AIR est enfin parti, il est 20h00, direction Paris Charles de
Gaulle pour attraper Air France.
22h04,
arrivée à l'aéroport pour embarquer en 5 minutes. Petite angoisse, car
l'hotesse qui me renseigne me dit que l'enregistrement va bientôt fermer; je
cours à un guichet disponible qui enregistre ma valise, me valide mon ticket et
m'envoie à la douane qui est fermée. Panique, je ne trouve pas d'autre guichet,
l'angoisse monte encore.
Enfin,
passé la douane, je cherche le terminal 78.79.80.81.82.83 et enfin 84 que je
trouve bondé, je ne sais pourquoi ? Encore une barrière pour je ne sais quelle
formalité. Je passe les barrières, longes un long couloir, descend des
escaliers et me retrouve dehors. Une hotesse m'attend pour m'indiquer de monter
dans le bus qui m'emmenera jusqu'à l'avion. Je suis étonné de devoir passer par
le tarmac de la piste d'atterrissage. L'année dernière, je ne me rappelle pas
être sorti de l'aéroport. Mçeme pas eu le temps de fumer une dernière
cigarette.
Longue
attente avant le décollage. Les voisins de cabine ont l'air moins sympas que
l'année dernière.
L'arrivée
est enfin annoncée à 16h05 (heure locale). Je descends de l'avion, je ne sais
ou aller, je finis pas reconnaitre un peu l'aéroport. J'ai mes repères, mais je
ne sais pas dans quel ordre faire; alors, je suis le mouvement et me trouve
dans la bonne file. Je rencontre des voisins d'avion, je sais que c'est bon!.
Au moment de présenter mon passeport, je ne trouve plus le bordereau
d'embarquement. Après avoir souris à la caméra, elle me laisse passer, je vais
chercher mes bagages, je ne les trouves pas, normal je n'étais pas au bon
endroit. Enfin, je les trouve et sors de l'aéroport.
1ere
clope depuis 12 bonnes heures. Les taxis m'interpellent mais je veux prendre
l'airport bus. Après m'être fais comprendre (1 demie heure 3/4 d'heure) je
prends celui qui doit me déposer près de l'hotel prévue. Et me voilà sur la
route pour 2 bonnes heures, le GUIDE DU ROUTARD à dit.
Je
demande à quel arrêt je dois descendre. Je suis incompréhensible pour eux.
Finalement, la vendeuse de ticket m'a plus ou moins compris et dit au
chauffeur de m'indiquer l'arrêt. Je suis
sauvé. Enfin, on verra la suite.
Une
fois au point prévu, le chauffeur me dit qu'il fallait descendre, enfin je
crois.
Je
reconnus l'endroit , je crois qu'on était par là avec guy l'année derniere, (je
peux me tromper).
Je
déambulais sur le trottoir, ne sachant où aller, et d'un coup, un man saylor
(tuk-tuk) m'interpelle, je décide de monter et il m'emmène à la rue que je lui
montre sur le guide du routard. Une course folle de tuk-tuk s'ensuivit. Au
milieu d'un carrefour, il s'arrêta (je crois que c'est son engin qui ne tenait
pas le ralenti) et il me dit que c'était de l'autre côté de la rue à quelque
pas. J'essayais de lui faire comprendre de m'emmener à domicile; je lui tendis
le guide avec l'adresse et il me dit "YEH,YEH" et nous voilà parti.
Il cherchait, il cherchait, demandait à des collègues et finit par trouver mais
le guesthouse était fermé. Il me dit "don't care" et m'emmena chez un
collègue, dans une autre rue. Un hotel tout en construction, les ouvriers
étaient là (9h00 du soir), je craignais le pire.
La
gouvernante m'ammena au bureau:
"
950 baths la nuit" (19e)
"
Non, moins cher"
"
800 baths" (13e)
Je
dis okay, juste une nuit; et le garcon d'étage ( s'il y en avait un) m'emmena
dans un ascenseur (propre) au milieu des travaux et ouvrit la chambre. Je fus
étonné. 1 petite chambre très propre avec climatisation, télé, sanitaire et
grand lit. J'étais stupéfait et me dis que finalement, j'allais peut être y
rester 1 nuit de plus. Ce qui me surpris le plus, c'est ce que me demanda le
man saylor (seulement 100 baths pour la course folle avec recherche d'un
hotel).
1er
nuit dans l'hotel calme, tout c'est bien passé.
Je
me demandais pourquoi c'était aussi bon marché pour le "standing":
parce qu'il y avait la voie férré juste en dessous de ma fenêtre, mais ça me
dérangeait pas. De plus, la moitié de l'hotel était en travaux de 8h00 am à
8h00 pm environ.
Ce
matin, j'ai fais un tour de quartier. Quand je suis sorti (environ 8h), tout
était calme excepté le trafic puis vers 8h30, une multitude de marchand de rue
débalait leur étale. En marchant, tout les 5 mètres, on se fait accroché par
des "man saylor" qui demandent "where you go ?" et sont
prêt à nous emmené n'importe où.Je me suis fais accroché par un thaï et sympathisé
avec lui et finalement, il m'a emmené à la poste, m'a attendu et m'a ramené
pour 20 baths. Ensuite, il m'a demandé où j'allais après et je lui ai dis que
le lendemain j'allais à Chiang Mai et lui ai dis que cet après midi, je
projetais d'acheter mon billet et que peut être j'aurais besoin de ses
services. Il m'indiqua le T.A.T. (transport de bus pas cher) et me proposa de
m'y emmener. Une course folle de tuk-tuk dans les rues de Bangkok. Biensûr,
j'arrivais dans un bureaux qui me proposa : trek, hotels, trajet...Bref, je ne
me laissa pas avoir et je pris juste le trajet en bus pour 900 baths. Bien
entendu, il eu fallut que je sois ferme car il voulait me faire mon trajet
total (chiang mai, chang rai, pitsanulok,khon kaeen, buriram) et me proposa 2
nuit d'hotel pour chiang mai. tout d'abord, je dis "non", que je
verrais là bas. Il me dit que les hotels étaient pleins, que les touristes du
sud montent au Nord, depis le tsunami, l'hotel qu'il me proposait était soit
disant "sûr", bref, tous les arguments de vente. Finalement, je
réfléchis deux secondes et me dis intérieurement que peut être, ce serai plus
simple que de chercher sans savoir où aller. Bref; résultat des courses, il me
refourgua 2 nuits dans un hotel sympa pour 900 baths. Voyage et hotel 1800
baths. Je voyage de nuit dans un car climatisé, couchette.
J'arrive
à Chiang mai, un rabatteur m'attend et me conduit à l'hotel. Rebref, un peu
moins de galère.
Une
fois fait, le sam saylor me dit qu'il allait s'arrêter 2 fois pour prendre du
gasoil. Je dis oui.
Il
s'arrêta devant un magasin chic de bijoux pour essayer de me faire acheter mais
je vis tout de suite l'entourloupe, je dis non. On retourna au tuk-tuk et il
m'expliqua en fait que je n'avais pas besoin d'acheter; cela lui permettait
d'avoir un ticket d'essence; c'était un deal entre tuk-tuk et marchands.
Le
but est d'ammener d'éventuels acheteurs et lui obtient un bon de gazoil en
echange.
Je
joues le jeux, entre dans le magasin, regarde les tee-shirts, costumes,
kimonos, pyjama, le vendeur à mes trousses pour essayer de me vendre quelques
articles. Mais moi, inflexible, je ne cède pas. Un quart d'heure après, je
sors, mon "bodyguard" (comme il se surnomme) était là.
Je
ne sais pas s'il a obtenu son ticket mais nous repartîmes dans une course folle
jusqu'à l'hotel.
Résultat
des courses, j'avais assuré mon transport et mon logement pour chiang mai. (1
chose de moins à prévoir).
La
journée s'est bien passée, je suis allé à la postoffice, j'ai badé dans le
market. Vers 17 heure, le temps devint noir d'un seul coup; toutes les étales
mettaient des plastiques sur leur marchandise. Je sentais venir la pluie, tout
le monde s'agitait, quelques gouttes se firent sentir. Je passais devant un
snack et m'arr^tais. Il était 18 h environ. Comme j'avais prévu de venir manger
ici, c'est ce que je fis. Puis d'un coup l'orage éclata, des trombes d'eau
s'abattirent sur le quartier pendant environ 10 minutes; j'étais en train de
boire un café, lorsqu'une une nouvelle averse s'abattit, une vingtaine de
minutes plus tard. Cette fois ci, la violence de l'averse avait doublée.
J'attendis un moment, repris un café, ça ne se calmait pas. Je voyais des
tuk-tuk passer devant l'échoppe, patogeant dans l'inondation. Je me dis que ça
allait s'arrêter. au bout d'une demi heure, il pleuvait toujours à averses; la
route était transformée en torrent, mais n'arrêtais pas la circulation. J'étais
à côté de l'hotel, environ 300 metres, mais j'interpellais quand même unn
tuk-tuk pour m'ammener au pied de l'hôtel, pour 0.4 euro, je préferais rester sec.
Voilà
comment j'eus un aperçu de mousson.
Il
est 21.30, je suis rentré depuis 20.00, il pleut encore. Je descend fumer une
cigarette sur le parvis de l'hôtel, un autre touriste est là, lui aussi
regardant tomber la pluie, il n'y a rien d'autre à faire, demain sera mieux.
Une
petite discussion s'installe entre nous et je lui dis que demain, je pars pour
Chiang Mai et lui demande s'il va toujours pleuvoir. Il me dit que le temps là
bas et différent. Espérons que ce sera .
Une
partie de l'hotel est en réfection (côté bar), et je suis étonné qu'à 21.30, il
y ai encore des ouvriers. Ne s'arrêtent-ils jamais ?, ils sont là depuis huit
heure ce matin.
La
nuit a été dure. Levé 8h (dans le seau). Il fait beau mais lourd, intennable.
Je vais manger une assiette de riz et boire un café. Je tourne un peu dans le
quartier. Je me sens tout poisseux, c'est normal avec la lourdeur du temps et
la pollution.
Je
rentre, je tourne en rond, je retourne boire un café et décide d'aller au T.A.T
attendre le bus pour Chiang Mai. Je prends ma valise et mon sac, et je vais
rendre les clefs. Me voilà parti à la recherche d'un tuk-tuk (pas difficile,
ils vous courrent après). J'en trouve un qui m'emmene pour 80 baths. Je marchande,
pas moyen. J'aurais eu le temps de chercher un autre mais il fesait trop chaud
pour attendre. J'arrive au T.A.T , pose ma valise, le patron m'accueille très
aimablement, je discute, il me dit que je peux aller bader à Chinatown, il
m'explique et me voilà déambulant dans les rues. Tout le long, il y z des
hommes à même le sol qui dorment, on dirait qu'ils sont morts. Je fais
demi-tour et reviens au T.A.T; sur la route, je cherche où boire un café, je
demande COFE! COFE!. Je rentre dans une guarguotte toute calme, musique
traditionnelle et je demande un café. Une vieille dame, toute mignonne, m'amène
un café accompagné d'un thé. Tout d'abord, je ne comprend pas.Mais, en fait,
c'est le même système qu'en france; en guise de ver d'eau acompagnant le café,
ici c'est le thé qui remplace l'eau. Je bois mon café au calme, une fois fini,
je décide de retourner au T.A.T, attendre tranquillement au frais, il fait trop
trop chaud. J'entre, il y a une foule de touriste qui vont partir, comme moi,
pour Chiang Mai. Je me demandais pourquoi, même par beau temps, de l'eau
s'écoulait des toits; la réponse est : la multitude de clim. omniprésente sur
chaque batisse. Après une scéance d'internet qui passa 30 minutes et quelques
virements mais pas trop loin, on embarqua enfin pour Chiang Mai. Nous étions
seulement 3 et le chauffeur, (je me demande où sont passés les autres!), dans
un minibus climatisé, confortable. J'avais la banquette arrière pour moi tout
seul; pratique pour roupiller pendant le trajet. Le plus dur, je pense, allait
être de traversé Bangkok. A peine étions nous partis que nous étions dans les
bouchons de l'heure de pointe. Je reprendrais l'écritureà Chiang Mai, parce que
dans un bus, ce n'est pas facile d'écrire.
Je
me suis trompé, le van nous déposa dans une rue de bangkok. Nous voilà en
pleine avenue de Bangkok, assis au milieu des passants et des voitures; on doit
attendre jusqu'à 18 heure. Il me semblent que nous sommes devant un T.A.T car
j'ai vu un homme qui ammenait le ravitaillement du voyage ainsi que d'autres
personnes qui attendaient.
Ce
voyage me réserve plein de surprise.
17
h 50, le bus arrive; c'est un bus à 2 étages dont le bas est réservé aux
bagages; on monte, musique traditionnelle, clim obligatoire.
Pour
l'instant, le bus n'est pas plein mais je pense que l'on va prendre d'autres
personnes en route. Nous traversons la ville et nous engageons sur la voie
rapide qui surplombe Bangkok. J'y crois pas ! on s'arrête encore dans une
immense station de bus. J'ai l'impression que l'on s'arrêtera souvent, il faut
rentabiliser le bus. 19 h 20, on repart enfin, puis on s'arrête dans une
station service. Finalement, on s'engage sur l'autoroute; peu après,
distribution de patisserie (pas trop sucrées) et d'une bouteille d'eau. Un film
comique passe à la télé, mi dessin animée, mi comico-horreur, mourdingue. Nous
passons devant l'aéroport de Bangkok. Après quelques arrêt et une longue route,
on arrive enfin à 5h00 du matin. Le maître d'hotel nous attend, les 2 anglais
et moi; eux partent en trek. 5h30, je suis dans une chambre d'un charmant petit
hotel où l'on déchausse avant d'entrer. Petite chambre simple et sympa toute
propette, petit balcon donnant sur le calme de la ville encore endormi, les
oiseaux chantent. Les premières boutique à peine. Il y a une différence énorme
avec Bangkok.
Matinée
ChiangMayenne, les coqs et les oiseaux s'adonnent à un concerto inédit, les
chiens viennent rajouter leur aboiement au cortège, la musique fuse avec
sourdine; il est 6h00. 6h30, commencent à pétarader les tuk-tuk et autres moto
venant troubler la tranquilité matinale. L'activitée s'accroie.
L'excitation
de la nouveauté m'enpêche de dormir. Il est 7h00, je suis sorti prendre un
déjeuner : toast, beurre, confiture, jus d'orange et café bien à la française.
J'ai
longé la rivière Mae Nom Ping, qui passe en pleine ville, pendant 2 bonnes
heures, captivé par la beauté thaïlandaise, et je suis rentré me reposer un
peu. Il fait chaud, chaud, chaud. Je n'arrive pas à me lever; je me motive un
peu pour bouger, c'est dur. Il faut que je donne mon linge à laver. Je vais
attendre que le soleil se couche pour aller au night market. Je transpire à
grosse goutte. On dirait qu'un gros orage se prépare. Je décide de partir au
Night Bazar. Je vais au centre à pied, 500m environ, puis j'appelle un tuk-tuk
qui m'emmène pour 40 baths. J'arrive au marché, je commence à déambuler dans
les allées. C'est toujours pareil, on ne peut pas faire 2 mètres sans qu'on
vous accroche ! (normale, il faut qu'ils mangent), je m'achète à la pharmcie de
l'antimoustique, aucun tee-shirt ne m'interpelle. Finalement, j'en prends un
pour le fun. Je me dirige vers le marché alimentaire pour casser une graine.
Succulent! cette assiette de "riz végétable". Je m'en vais et me fait
accrocher par les masseuses, "foot massage, 60 bhts" qu'elles disent,
elles sont partout, impossible d'y échapper. Je décide d'y aller, ça ne me fera
pas de mal. Une heure après, les 2 pieds massés, j'étais bien relaxé.
Un
orage a éclaté cette nuit, ça a raffraichit un peu.
Samedi
23 : Je me suis levé à 8h30 puis je me suis dirigé vers la gare de bus en
tuk-tuk car à pied, c'était un peu loin. J'arrive à la gare, je cherche le
guichet pour chang rai. Je vais au guichet, je demande les horaires, la
guichetière me les marque sur un papier; j'analyse et décide de prendre le
car VIP pour le lendemain à 12 h 30,
guère plus cher (245 bhts).
Comme
ilétait encore tôt le matin, je décide de marcher un peu et que vois-je ?,
l'enseigne CARREFOUR, je décide donc d'aller rendre visite à mes collègues de
travail. Une fois dans CARREFOUR, je me dirige vers l'accueil, (pas difficile,
la disposition est la même que chez nous) et je demande quelques renseignement
sur les conditions de travail, par la même occasion, je perfectionne mon
anglais. Je n'ai pas tout compris mais je sais qu'en moyenne, un employé est
payé 7000 bhts (140 euro). Puis je décide de manger dans la galerie. Je prends
une assiette de riz vegetal (20 bhts), un petit gâteau (15bhts), unexpresso,
petit gâteau, thé et ver d'eau (45 bhts). Une fois digéré, je décide de
retourner à la gare chercher le billet. Pour y retourner, il fallait longer une
voie express, et ensuite passer de l'autre côté pour rejoindre la gare. Je
pensais que plus loin, un rond point me permettrait de passer, mais pas du
tout. Donc je n'avais d'autre choix que de traverser la voie express dans un
sens, passer le chantier qui était entre les 2 voies pour rejoindre l'autre
voie en sens inverse. Je me dis que peut être c'était interdit!, je vis un
couple qui traversa alors je m'engage. 1er voie traversé, je m'engagesur le
chantier et là, je tombe dans une mare de bouedans laquelle je m'enfonce
jusqu'au genoux. Impossible de m'en sortir s'en laisser mes claquettes. Je
criais HELP! HELP!, sans réponse bien sûr, les ouvriers étaient en plein
chantier au milieu des foreuses et grues en action à environ 200, 300 mètres.
Autant dire qu'il ne m'entendaient pas et ne me voyaient pas. Je décidais qu'il
fallait agir. Tant pis pour les sandales. Encore heureux que je ne m'enfoncais
pas. Je pu sortir une partie inférieur d'une jambe puis l'autre, et me voilà
traversant le chantier de la boue jusqu'au genoux, je traverse la route et vois
un peu plus loin une station service, j'eus une lueur d'espoir: "HAVE YOU
GOT WATER ?", en faisant signe de me nettoyer, demandais-je au pompiste.
En me voyant, ils étaient pouffés de rire et me montraient un point d'eau pour
me laver (inutile de leur expliquer pourquoi, ils voyaient bien que j'étais
plein de boue).
Alors,
je me déshabillais, t-shirt, pantalon; j'étais en caleçon et je rinçai mes
habits. Me voyant faire gauchement, une femme vint vers moi, prit le seau dont
je me servais, mon pantalon et le relava. Je dis : non ! non !, j'étais gêné,
impossible qu'elle me comprenne. 2 minutes au soleill , et tout était sec.
Voyant que je n'avais plus de chaussures, ils me demandérent si j'en voulais en
me donnant les leurs. Tout de même, je ne voulais pas abuser de leur
gentillesse et les laisser pieds nu. Je leur fis comprendre que j'allais m'en
qcheter une paire. Je partis sur le bitum brûlant et revins à l'ombre. Il me
semblais que le patron m'avait dit qu'il en vendait dans la station, mais
j'avais mal compris. Il me fit signe de monter sur le vespa de son fils (je
suppose) et qu'il m'emmenai à la gare. Une fois à la gare, il y avait quelque
échoppes qui vendaient toutes sortes de choses dont les fameuses paires de
sandales, je me préciptais et pris une paire; j'étais sorti d'affaire. Je pris
mon billet pour le lendemain (25bhts) et retournais en tuk-tuk dans ma chambre.
Que
d'émotions pour la première partie dela journée! Jusqu'à 17 h, je me reposai un
peu, je sorti boire un café puis je me dirigeai au night bazar à une dizaine de
minutes à pied; je par le début de la rue où les commerçants déballent à peine.
Je descends la rue, la remonte par l'autre trottoir, bifurque par la portion
restauration pour me prendre un p'tit encas, je continue mon chemin, entre les
halls,ne néglige aucune allées pour ne rien râter et reviens à pied aux
guesthouse vers 20h30. Arrivé dans ma chambre, je relis mon guide du routard
pour repérer les guesthouse de mes prochaines étapes, je fumme une dernière
clope et je vais me coucher vers 22h; demain, je pars pour Chang Rai.
DIMANCHE
MATIN 25.09
Ce
matin, je suis sorti déjeuner vers 7h00; pas beaucoup d'endroit étaient ouvert,
la ville était encore en somnolence; j'ai finalement trouvé un bar qui faisait
des breakfasts. Je me suis pris un bon steak de boeuf (un vrai), des oeufs, jus
d'orange, scône et café pour 180 bhts (environ 3e). Je rentre et me pose 5
minutes puis je fais mes bagages pour partir. Je descends, m'installe sur la
terrasse, rends les clefs, fume une clope et observe l'expédition du guesthouse
d'à c^té qui part en randonnée 4X4 (tout un groupe d'espagnol); il y avait 7 ou
8 voitures tout terrain.
Il
y a un tuk-tuk qui atten le client en face, je l'appel et me voilà parti pour
la gare de bus; 10h30, je suis à la gare, je n'ai plus qu'à attendre.
Après
quelque temps d'attente, une barre de céréale, un café et une cigarette, le bus
arrive sur le quai vers 12h; je me renseigne bien pour être sûr que ce soit le
bon et je décides de monter après avoir fais enregistrer ma valise. L'air y est
plus frais, une hôtesse m'accueille, m'indique mon siege. Ce bus est très
confortable, (siege cuir, repose pied, je vois 2 écrans de télé et surtout
climatisé). J'observe les employés du quai qui à chaque départ de bus enlèvent,
décollent, recollent et reposent l'affiche de destinations. Je remarque qu'où
qu''on aille dans le pays, les moyens sont rudimentaires par rapport à
l'occident mais ça ne pose aucun problème, ils se débrouillent. Ils sont 3 ou 4
pour faire une tâche qu'n seul pourrait faire chez nous mais au moins, ils ont
le mérite de travailler pour gagner de quoi subsister.
Pour
corseer le tout, je suis parti avec peu d'argent donc en arrivant à chang rai,
j'espère avant la fermeture des changes, il faut que j'aille changer 50e de
travellers, sinon, j'aurais du mal à payer ma nuit. Après une heure de route à
travers la fabuleuse montagne verdoyante de la thaïlande du nord, le bus
s'arrêta au milieu de nul part, je me demandai pourquoi. En fait, je vis monter
2 policiers pour 1 simple contrôle. Finalement, ce fût moins long que je ne
pensais. Vers 15h15, on arriva. Arrivé à la gare routière, un grand nombre de
taxis me sont "tombés dessus" (comme des mouches). Je me suis posé 5
minutes fumer une clope. Puis je suis parti au "Lotus guesthouse",
coin paradisiaque, calme, bungalow au fond du jardin. 240 baths pour 3 nuits. Le
centre est facile d'accès en marchant une dizaine de minutes. J'ai pu changer
50e de traveller, bien que ce soit un jour férié (dimanche). Je sens que je
vais me plaire dans cette petite ville.
Vers
18h30, je me suis dirigé vers le centre, je suis entré dans le marché (immense)
puis, je suis allé manger une assiette de riz bu un café. Une fois fini, je
retourne au marché me balader. Pendant 1h30, j'ai tourné, fouiné, marchander.
21h30,
j'en avais plein les pâtes, je décidai de rentrer en vélo taxi (24 bhts) puis
je suis aller me coucher. J'ai passé une bonne nuit.
Lundi,
vers 8h30, je me suis dirigé vers la ville et chercher la poste. je me suis un
peu éloigné mais je l'ai finalement trouvée. Auparavant, je suis passé dans des
rues très animées avec des marchands sur tout les rebords de trottoirs. Une
fois que j'avais posté mes lettres, j'ai essayé de retrouver la rue principale
pour aller dans une brasserie prendre un bon déjeuner, oeuf, bacon, café, jus
d'orange. Une fois fini, j'étais là tranquille, assis à fumer ma clope quand je
vois arrivé une jeune fille qui m'avait tout l'air d'être une routarde vu le
nombre de sac à dos qu'elle avait. Elle dit quelques mots en anglais à la
serveuse. Se tourna vers moi et me demanda: "avez-vous du feu?".
Elle
était française, miracle, puis elle vint s'assoir à ma table et on discuta une
bonne heure. J'appris qu'elle était seulement de passage; elle venait de chine
et se dirigeait vers chiang maï puis bangkok. Tout en discutant, j'appris
qu'elle était en voyage pour un an, qu'elle était allé en Russie, Mongolie....
Elle venait de commencer son voyage, il lui restait 10 mois; elle comptait se
rendre à Bangkok puis en Indonésie.
Il
était 12h00 lorsqu'elle me dit que son car était à 12.30. Elle se dirigea vers
la gare. Auparavant, elle m'a donné son email pour qu'on garde contact par
internet et qu'on se raconte un peu nos voyages respectifs. Moi même, un temps
après, je parti à la garedemander les horaires pour Phitsanulok. Ensuite, je
suis allé manger dans une brasserie thaï et je décidai d'aller à la recherche
d'une location de vélo, pour le lendemain. Je finis par en trouver une
(50bths/jour). De retour dans ma chambrette, une petite sieste s'imposait; puis
vers 16h30 me voilà reparti pour le centre parcourant les magasins de long en
large (on dirait une femme), jusqu'à 18h30, heure à laquelle je vais me taper
une tranche de boeuf braisé bien à la française en écoutant un petit guitariste
thaï reprenant des tubes des années 70, c'était bien cool. A 20h30, je vais au
night market, parcourir, de fond en comble, les allées.
J'oubliai,
vers 17.00, je commençais à voir les commerçants qui dépliaient leur stand, on
aurait dit une fourmilière. Après m'être régalé de quelques fruits vendus à
l'étale, fais quelques achats, je rentre à la case et me prépare pour ma sortie
vélo de demain.
Vers10h
ce matin, j'ai loué mon vélo comme prévu, je me suis balladé un peu aux
alentours pendant 2 bonnes heurs. Entre teemps, je me suis arrêté mangé un
morcau, bien à l'extérieur d'où j'allais à pied. Ce que j'ai pris avait l'air
appètissant mais je suis tombé sur un morceau de piment, j'avais la gueule en
feu.
Une
fois ma balade terminé, je retournais au logis me reposer un peu.
Vers
15h00, je reprends mon vélo, vais boire un café et me prends des patisseries.
Je rentre prendre une douche et je m'appercois que j'ai pris des coups de
soleil sur les bras.
Vers
17h00, je reprends mon vélo et je fais un tour en villeet à 18h00, je rapporte
le vélo à son propriétaire et je remonte en ville demander les horaires de car
pour pitsanulok, le lendemain.
Le
1er est à 9h00, je vais prendre celui là, j'arriverais vers 16h00,16h30. Je
vais manger, mais je n'arrive pas à me décider où. Finallement, je mange itlien
(pâte carbonarat). Une fois rassasié, je vais au night market. Mais là, je ne
reste pas longtemps; 3 jours de suite avec les mêmes marchands, on s'en lasse
un peu. J'achète un dernier t-shirt. Je sens l'orage, les marchands aussi, ils
s'agitent, couvrent leur étale. Je décide de prendre un tuk-tuk et de rentrer
me préparer pour le départ. Il est 21.00. A ce moment, il commence à pleuvoir
doucement.
A (h30, au petit matin, un violent orage
éclata à tout fracasser, on aurait dit un feu d'artifice. Je reste allongé jusqu'à 6.15 puis je vais
prendre une douche et vérifier ma valise; puis j'attends.
Je
vois le snack du camping qui ouvre, je m'approche, prends un p'tit dèj et
demande qu'on m'appelle un tuk-tuk pour aller à la gare de bus.
Tout
d'abord, l'information n'a pas été prise en compte de suite; j'attends un
moment puis redemande.
Le
tuk-tuk finit par arriver vers 8.30. Il pleut toujours. Une fois à la gare, je
cours chercher mon billet, après avoir payé le sam saylor (40bhts) et j'ai
enfin mon billet pour Phitsanulok. Hiers, on m'avait dit départ à 9.00,
aujourd'hui, c'est 9.30 (je cherche pas à comprendre).
Enfin,
je suis dans le bus, il ne pleut plus.
Ca
y est, on est parti (j'éviterai d'écrire pendant le voyage, il risaue d'être
cahotique).
Musique
thaï d'ambiance, c'est un bus de moyenne catégorie, on va s'arrêter souvent,
(je vais voir du pays!).
1er
étape, Bankao.
J'ai
pu faire arrêter le bus sur le côté pour aller pisser, (c'est ma spécialité).
Arrêt
à Phayao....
Après
avoir roulé 2.30h, nous quittons les hauteurs avec ses forêts verdoyantes et
nous entrons dans le paysage plat de la thaïlande et de ses multitudes de
rizières qui se dessinent à l'horizon accompagnées de villages avec ses gardes
barrières.
Ce
fut que mommentanné, nous rattaquons les interminables côtes de forêt. Par
moment, le car ne pouvait plus passer, des arbres déracinés jonchaient sur la
route à cause du violent orage du matin.
2ieme
arrêt en gare : pause pipi, cigarette.
Vers
14.30, nous nous sommes arrêter manger un morceau.
Il
reste 150 bornes.
A
15.00, le bus entre dans une autre gare et la chef de bus me dit de descendre,
je pense qu'on va changer de bus.
Elle
me dit de rester avec d'autres personnes qui vont, eux aussi, à Phitsanulok.
Puis on attend; l'attente est de 10mn environ, puis un autre bus arrive dans
lequel on va faire le restant du voyage.
Il
est de la catégorie en dessous du précédent, c'est un bus de ville.
Chiang
Maï, Chang Raï sont faites pour acceuillir le touriste mais là, je ne vois pas
l'ombre d'un tuk-tuk pour nous FARENG.
Ca
y est, je suis arrivé à la gare, j'interpelle un taxi qui m'emmène à l'hotel.
J'arrive,
je prends une nuit; cet hôtel est pas mal : sanitaire très propre, clim, grand
lit, frigo, pour 450 bths (9e). Je me serai bien passer de la clim mais c'est
trop compliqué pour ce faire comprendre.
J'ai
fait un petit tour de ville sous la pluit, cette ville me plaît, juste en face
de l'hôtel, il y a un bar sympa pour se restaurer, dans la rue derrière, il y a
internet et en face il y a le fleuve Nan avec ses quais apparemment superbes.
(je verrais mieux demain, il fera jour).
6h15:
j'ai passé une bonne nuit, il ne pleut plus.
8h30:
j'ai fais mon tour de reconnaissance, je me suis balladé sur les quais où il y
a plein de jogger matinale, dès 7h00.
J'ai
pris une douche, vu la chaleur qu'il fait, puis je suis aller au T.A.T pour
prendre les horaires de bus pour Khon Kaen, le lendemain. De retour à l'hôtel
après avoir fait un viron, j'ai fais une sieste. Vers 12h, je suis allé manger
un p'tit en cas et après mon café, je me suis mis à la recherche d'un bureau de
change pour un peu de monnaie thaï.
Opération
réussie, je me croyais vachement loin de l'hôtel alors que j'étais juste une
rue plus haut. Je rentre dans un cyber pour passer le bonjour à tous mes
contacts, vérifier ma boîte mail et je retourne faire une sieste. Arrivé à
l'hôtel, je paie la nuit prochaine (400bhts, je n'ai pas compris pourquoi c'est
moins cher). Après un petit repos, je retourne bader dans les rues, voir les
gens, l'agitation du traffic; je cherche un café, le "7/11" est trop
loin, il fait trop chaud, je vais voir les multiples temples. A côté de
l'hotel, un snack sert du café, j'y vais (15 bhts). Je le savoure même si c'est
de l'instantanné. Il est 16.45, je rentre faire une sieste en attendant le
night bazar de 19h. 18.30, je me réveil, je vais manger un bol de riz au
crevette (fameux), eau, café (90bhts) et je me dirige au night bazar, je fais
un tour de reconnaissance puis essaie un massage thaï pendant 1 heure (détente
assurée). Le temps se fait menaçant, juste le temps de finir mon massage et il tombe
des cordes. Je vais boire un café en face de l'hotel. C'est bien agréable, il y
a un music singer à la guitar accoustique qui reprend des tubes des années 70.
Je reste écouter un bon moment, puis je rentre à l'hotel. Après un début de
nuit hard (envie de gerber), je trouve finalement le sommeil.
Il
est 7.45 du matin, je me réveil en forme et il faut que je boucle mes valises.
Ca y est, je suis à la gare. Un bus privé vient me prendre pour aller à
l'agence delaquelle je dois partir. En attendat patiemment, je recherche un
"seven eleven" pour boire un café. Je sors de l'agence et demande un
tuk-tuk; le gars de l'agence qui m'avait vendu le trajet m'a courru après et
m'a dit : KHON KAEN ! KHON KAEN !, de peur que je prenne un autre moyen de transport
que le leur. Je suis revenu et il me dit Ticket! Ticket! Donc je pris mon
billet.
Ca
y est!, le bus est enfin arrivé avec 5 minutes de retard. Tout le monde se ruat
dessus; l'hotesse m'interpella, fit attendre tout le monde et je passai devant
tel une célébrité attendu par son bus privé. Nous voilà parti pour je ne sais
combien de temps.
Ca
y est, après 5.30 de trajet, je suis enfin arrivé. Je me suis dirigé tout
d'abord sur un hôtel complet, arnaque du tuk-tuk (100bhts) puis un autre,
erreur du guide du routard, il était très cher et sur conseil d'un anglais,
j'ai atterri au P.P hotel non répertorier dans le guide mais tout à fait
respectable et bon marché pour 450 baths la nuit, le tuk-tuk m'a repris 100
bhts.
Franchement,
je sens mal le séjour. Premier pépin, j'ouvre la douche, le bouton me reste
dans les mains.
Bon,
KHON KAEN est une ville pas très séduisante comme le dit le guide, mais l'hotel
est plutôt pas mal, bar, resto, laverie; tout pour ne pas en sortir. J'ai
essayé de me repérer dans la ville mais l'hotel est loin du centre. A mon avis,
cette ville est trop étendue, dispersée. Samedi matin, en tournant, j'ai pu
trouver des clops, cartes, café, p'tit dèj; tout s'arrange. Je suis allé à la
"bus station", pour me renseigner sur les horaires de bus, puis au
T.A.T. Mais le dimanche, journée nationale, il n'y a pas de transport et le
T.A.T. n'organise pas de transport. Tout d'un coup, j'ai pensé au train, la
gare est juste à côté de l'hotel, je me renseigne, il y a deux trains, dans la
matinée, pour NAKHON RATCHASSIMA : 8.10, 11.15. Par contre, j'ai un doute au
niveau du prix (38 bhts soit 0.76e) pour faire 400 bornes.
Ca
y est, j'ai passé ma dernière nuit au P.P hotel, j'ai pris mon p'tit dèj, mes
bagages et direction la gare. J'ai pris mon billet pour NAKHON RATCHASSIMA
(38bhts) c'est bien ça (prix dérisoire) et je suis sur le quai en attente du
train. A un moment, il y eu un message radio puis tout le monde se mit debout
et s'ensuivit une musique "militaire". Donc, je fis comme tout le
monde pour respecter les coutumes.
Une
fois le train arrivé, je monte et c'est parti. Après 1h de trajet et 2 stations
d'arrêt, on s'arrête au milieu de nullepart.
Au
fil des arrêts, des gens montent; vers la dernière heure lme train est bondé.
Ca y est je suis arrivé à NakkonRatchassima. On m'avait conseillé d'aller sur
Phimaï. Vu la grandeur de cette ville, 600 000 habitants, j'ai préféré aller
sur Phimai (+tranquille). De la gare, j'ai pris un tuk-tuk qui m'as ammené à la
station de bus. Me voilà dans le bus pour Phimaï qui part dans 5-10 minutes.
Après
quelques arrêt, nous arrivons dans une petite ville qu'ai Phimai. J'ai tout de
suite trouvé le guesthouse, (derrière la boutique AGFA, disait le routard).
J'ai fait un petit tour d'horizon, ça me convient tout à fait : tranquilité,
accessibilité et une chambre en bois pour 130 bhts (2.6e), le pied !. Ce soir,
je suis allé un peu partout et à un moment, un jeune à mobyletteme dit qu'il me
voyait pas mal marcher et que si je voulais, il me proposait de m'emmener en
moto (enfin, d'après ce que j'ai compris, histoire de se faire quelques baths).
J'ai
passé une bonne nuit, ce matin je suis sorti déjeuner ( 7/11 pour café) et j'ai
recherché la poste. En demandant, je l'ai finalement trouvée. J'ai envoyé
toutes mes cartes. Je suis allé visiter les ruines de temple kmer (fabuleux),
j'ai enfin trouvéce fameux restaurant indiqué par le guide du routard
(Bay-thiey). Il a été déplacé, il y a quelques mois; il faut faire un petit
bout de chemin, à la sortie de la ville, à pied ou en tuk-tuk. Mais on est pas
déçu du voyage, (cadre magnifique et on y mange bien et pas cher). J'ai
rencontré un français installé ici qui m'a servi d'interprete avec le serveur
qui me demandait comment j'avais connu ce rstaurant. Le français dû intervenir
au moment où je montrait au serveur le guide du routard.
Je
suis rentré faire une petite sieste et suis sorti dans l'intention d'aller le
net pour communiquer les horaires d'arrivée à mon père et je me suis dis:
"tiens, pourquoi ne pas aller voir le site khmer", il étais juste en
face de moi. J'ai donc payé 40 bhts pour entrer et j'ai visité ce fameux park.
Le soir, je suis retourné au Bay-They Restaurant, puis pour rentrer, comme il
faisait nuit, la patronne m'a proposé de me faire ramener par un employé du
resto.
Il
est 7.30, je me dirige vers la gare pour le bus de Korat; j'attrape un tuk-tuk
pour 50bths; puis je tape la converse avec un taxi qui voulait m'emmener a
Buriram, j'ai refusé, j'ai pris un café avec le taximan et j'attends 10.15 mon
train pour Buriram. Ca y est , je suis dans le train, le confort est mieux que
la dernière fois? normal!, j'ai payé un peu plus cher. Une hotesse m'accueille,
un plat repas offert et me voilà parti pour Buriram pour un peu plus d'une
heure de trajet.
Arrivé
en gare de Buriram, je descends du train, une horde de tuk-tuk et compagnie me
tombe dessus, je les envoies balladé, je m'assoie et je m'en grille une. Je
pensais que Guy venait me prendre mais j'appris plus tard qu'il n'avait pas
reçu mon message d'arrivée. Bref, j'ai pris un bus pour salenghtown. Arrivé à
destination, je me dirige vers la maison, chez guy. Je m'installe, on discute,
on mange.
J'ai
passé une bonne nuit, ce matin, je me suis levé vers 6.30, bu mon café, mangé
une bonne platé de riz et nous sommes allés en ville faire quelques courses.
J'ai acheté d'excellents gâteau pour une misère, Su à achetée des fruits et on
est allés dans une grande surface. J'ai voulu payer le repas de midi qu'on a
prit à emporter. Sur le chemin de retour, guy à voulu prendre en photo l'immense
statue de bouddha que les moines viennent d'orner de feuilles d'or. Il est
situé au sommet d'un ancien volcan. On y accède en voiture ou à pied, après
avoir gravi quelque 300 marches. Une fois la contemplation terminée, nous
sommes rentrés mangér et j'ai fais une petite sieste.
Le
6.10: Réveil 6.30, petit dèj puis bol de riz et vers 9.30, mon père et moi
sommes allés visiterle temple khmer de PANOM RHUN, temple long de quelque
centaine de mètre. Magnifique!, puis vers 12.30, nous avons mangés sur place,
puis nous sommes rentrés doucement à la maison.
Le
7.10, je me suis levé, j'ai déjeuné puis vers 10h, je décide d'allé faire un
tour en ville; j'ai attrapé le bus qui passait à 11h, puis suis descendu en
ville. J'ai parcouru les rues, acheté quelques emplètes. Vers 13h, je me suis
arrêté déjeuner puis je suis rentré.
En
remontant, j'étais dans un bus un peu supérieur au niveau confort (air
conditionnée). Devant moi, 2 thaïlandais étaient un peu éméchés et foutaient le
"souk". L'homme du bus était là pour les surveiller (au cas où). Puis
une fois à Ban Salenghton, il m'appela pour descendre et je finis la journée
paisible à la maison.
Le
8.10, nous sommes allés en direction de la frontière cambodgienne pour que mon
père puisse renouveler son visa thaïlandais. Nous avons fais 1.30 de route
environ. Arrivé là bas, nous avons attendu, sa femme et moi, qu'il fasse ses
déùarches administratives. Il a commencé à pleuvoir un peu puis on est allé au
marché "post frontière", voir un peu ce qu'ils vendaient. Il pleuvait
un peu plus; j'ai acheté quelques gâteaux pour la route et on est rentré à la
maison. La pluie, tantôt s'intensifiait, tantôt s'arrêtait. Une fois arrivé,
nous avons mangé puis, la pluie a commencé sérieusement à tomber. La journée
finie, il ne pleut plus. Je vais me coucher, passe une bonne nuit. Pendant la
nuit, il repleut.
Le
9.10: ce matin, je me lève déjeuner puis vers 10h, après manger, avec mon père,
on se met sur l'ordinateur et on fait un billard. Le temps est instable; un
coup il pleut, un coup il fait beau; je ne peux rien entreprendre. Finalement,
la partie de billard à duré une bonne partie de la journée, ce qui nous a
ammené vers 17.30. De toutes façons, c'est dimanche, jour de repos. On mange,
je prépare mes bagages pour demain.
Lundi
10.10 : Ce matin on s'est préparé pour le départ, Guy et Su, allaient sur
Lopburri. Vu là la circulation, Guy m'a posé à la gare de Sarabury où je prends
un train pour Ayutthaya, pour une petite heure. On est arrivé à la gare, on est
allé manger dans un snack, j'ai pris mes bagages, eux sont partis pour leur
séminaire et moi j'attends le train.
Je
vais passer mes 2 derniers jours à Ayutthaya, avant de prendre l'avion à
Bangkok. Arrivé à la gare, je cherche un peu "Tony's Place"; en fait,
je dois traverser PASAK River en bâtea (3 bth) puis je cherche en baladant dans
les rues et je trouve "Tony's Place".
J'ai
de la chance, il reste une dernière chambre, je la prends pour 200 bths,
m'installe, prends une douche et vais voir un peu la ville. Animée, pas trop grande,
comme il faut. Je reviens manger au Tony's, là je remarque des français qui
arrivent. On discute un peu de nos voyages respectifs. Ce guesthouse est rempli
d'étranger, anglais, hollandais, allemands, quelque français. Dans la rue, il y
a plein de guesthouse avec bar. J'ai rencontré des français, on a causé un peu,
jusqu'a 23 heure.
Je
n'ai pas bien dormi, mal de tête.
Le
11.10, je me suis levé à 7.00, j'ai pris un p'tit dèj et suis allé visiter 2
temples khmer. Vers 12h, je suis revenumanger, fais 2 ou 3 courses et fais une
sieste puis je suis aller voir l'autre quartier. A 17h30, je suis allé voir une
réserve d'éléphant, toilettage, dressage, baignade ainsi que quelques temples,
(une sortie qu'organisait le guesthouse). Nous étions 2, une touriste japonaise
et moi.
La
nuit était tombée, comme je n'avais pas de flash sur mon appareil, ma voisine
d'excursion m'a prit avec son appareil avec flash incorporé (ils sont fort ces
japonnais) et me dit qu'elle me les enverrait. Puis nous avons mangés et bu un verre
ensemble en essayant de se comprendre tant bien que mal.
Le
12.10 : ce matin, j'ai fais confirmer mon billet (paraît-il qu'il faut
confirmer son vol de retour, au cas où l'on ne voudrait pas rentre). La petite
chinoise est venu me dire au revoir. J'ai fais une laverie puis je me suis loué
un vélo (30b/jour), j'ai fais un grand tour de ville.
Après
avoir mangé et fais une ptite sieste, j'ai essayé de retrouver le village
d'éléphant; je ne l'ai pas trouvé mais jee me suis balladé en campagne. 16.30,
je rentre manger quelque gâteau puis boire un thé; puis je fais connaissance
avec une parisienne qui vient d'arriver. Après manger,je vais faire un tour au
bar à côté pour écouter de la bonne musique, l'ambiance est sympa. Je fais
connaissance d'un américain et d'un australien. Je bois 2 verres de bière et je
rentre.
Cette
nuit, j'ai eu du mal à dormir.... peut être les 2 bières!.
Le
13.10 ,je me suis levé à 7.30 et fais
mes bagages.
Tout
d'abord, j'ai hésité à partir de suite. Puis vers 9.00, j'ai pris un tuk-tuk
qui m'a emmené à la gare où j'ai attrapé un train pour l'aéroport.
Il
est 11h, et j'ai 10h à attendre. Je pourrais faire du shopping; je pourrais
aller dans Bangkok, mais cette ville me fait un peu peur de part son immensité
grandeur.
Bon,
ça yest, j'ai franchi toute les barrières sans soucis, juste un moment
d'angoisse quand j'ai entendu "Martin, immédiatement au bureau!", ce
n'était pas moi.
Après
un tour de duty free, je me suis présenté à la porte adéquate, mais ils m'ont
dit: "Not now! 11 oclock". Ils n'ont pas voulu de moi alors
j'attends.
ca
y est, j'ai finis par embarquer, j'ai pris place dans l'avion.
Après
quelques heures de vols, le voyage s'étant bien passé en compagnie d'un
retraité qui venait du vietnam avec qui j'ai pu parler un peu, arrivé à Roissy,
il a fallu que je cours pour trouver la correspondance TGV. et une fois dans le
TGV. , je suis en route pour LYON. J'ai un peu transpiré à courir, mais ça y
est le voyage est finis. Tout c'est bien passé si ce n'est un peu le bordel
arrivé à Paris (Normal, c'est la France)!!!