3ieme voyage
3ieme
voyage en thaïlande
Le
3.10.06:
Ca y est,
après s'être levé à 5h30 pour être à l'aéroport de saint éxupéry à 6h15, (pour
plus de sureté); j'ai embarqué dans le petit avion reliant Lyon-Rôme. On
m'avait dit de me présenter à l'aéroport au moins 2 heures à l'avance, (ce que
j'ai fais). J'ai poirauter au moins 1 heure avant que je puise m'enregistrer.
Sur la
"route" de rôme au dessus des nuages, le spectacle est magnifique. On
se croirait au dessus d'une banquise de coton avec au loin l'océan, (le ciel
bleu). Entre les couches de nuages, le soleil brille. Je ne sais pas si, en
bas, il fait beau.
Je suis
parti ce matin, il était limite de pleuvoir. Le vol jusqu'à Rôme ne devrait pas
être long, environ 1h30.
Arrivé à
Fumicino (Rôme), j'avais 3h30 à tuer. Première envie, cigarette; impossible de
trouver un endroit fumeur. Ils sont pas cool ces ritals. Pendant une bonne
heure, j'ai cherché, sans espoir, je me suis posé au point de départ et
j'attends; il est 11h40. Je dois attendre 12h00 pour la clope.
Je trouve
ces ritals arrogants, ils ne veulent pas faire l'effort de parler anglais, ils
te ragrdent comme si tu étais un moins que rien; enfin bref!. Ca y est, après
5h d'abstinence, j'ai enfin trouvé "l'aréa for smoking". Encore 40
minutes pour grimper dans "china airlines" et 1h20 pour décoller.
J'ai
quitté l'écriture durant le voyage. Le vol c'est bien passé, pas de prise
d'otage ni de détournement; il à duré 13 h environ. J'ai trouvé le temps pas si
long que d'habitude. J'étais assis à côté d'un brésilien accompagné d'un
italien qui se parlaient en francais (c'est pas banal). Je suis arrivé dans le
nouvel aéroport de Bangkok (récemment construit). Le peu de repères que j'avais
se sont envollés. Bref!, j'arrive à trouver la sortie, en m'étant au préalable
réfugié dans un "smoking room", eh oui!, 12 heures sans fumer, ça le
fait!. Je récupaire mes bagages et me dirige vers la sortie. Tout de suite, les
taxis me sautent dessus "where you go!". 25 euros qu'ils me
demandaient pour aller à Trat, (je savais que je pouvais payer beaucoup moins
cher) mais je voulais m'y rendre en bus (bien meilleur marché). En me
renseignant, j'ai finalement trouvé un bus qui m'emmena au centre de Bangkok,
au terminal, 150 bhts puis du terminal, direct pour trat à 270 bhts; le bus
confortable, climatisé avec petite collation et me voilà en route par la côte
pour une durée d'environ 6 heures (c'est plus long, mais on est routard ou on
ne l'est pas). Je suis tout de même un peu crevé, je n'ai pas dormi depuis
environ 30 heures.
Il serait
raisonnable de faire une halte pour la nuit à Trat et demain, j'irai à Koh
chang.
Changement
de situation: arrivé à Trat, le terminal étant excentré, à la sortie du bus,
les tuk-tuk me sont tombés dessus, "where you go !, where you go !",
fatigué, j'appercu, à la descent du bus, juste en face de moi, le taxi pour
l'embarcadère comme s'il n'attendait que moi. J'ai donc pris la direction de l'embarcadère puis
le bâteau pour Koh chang ( tout s'est bien enchaîné, sans attente). 1 heure de
traversée plus tard, arrivé sur la berge de Koh chang, un bus était là pour
nousdisperser dans l'île, chacun à notre destination. Une fois le bus vide, mis
à part un parisien et moi, nous dûmes descendre à la destination finale. Après
quelques échange de mots, ce parisien était un habitué du lieu, il me guida et
voilà. La galère finies, je pouvais enfin manger, me doucher et me coucher.
Après
s'être douché et rlaxer, il se trouve que j'avais comme voisin le parisien donc
nous sommes allés manger sur un pagode "babe", pas cher, au bord de
la plage dont il connaissait l'existance.
1er jour
Jeudi:
On peut
pas gagner à tous les coups! ( petite tempête), il paraît que c'est la queue du
typhon qui sévit sur l Indonésie. J'espère que ça va s'arrêter et que je
pourrais me ballader avec un peu plus de facilité...
Ce
matin,j'ai fais un tour au Tree house pour déjeuner puis je suis allé faire
quelque petites amplêtes dans le supermarché du coin.
Koh chang
est une île montagneuse, je pensais faire le tour en vélo mais je me suis vite
ravisé, (vu les côtes qu'il y a).
Cet après
midi, je me suis lancé à la recherche de mon contact internet "MOO
NOI", on m'avait dit que Bang Bao était seulement à 4km. Je décidai de
faire une ballade à pied et m'engageai sur la route pour Bang bao. Mais les 4
kilomètres taï font bien 8 km de chez nous. Bref, 3/4 d'heures après, je
n'étais pas arrivé. J'étais en sueur, lorsqu'un taxi transportant des touristes
pour Bang bao me klaxonna et me fit signe de monter. Je grimpai dans le
fourgon; je savais qu'il allait à Bang bao puisque c'est la dernière
destination de l'île. Après avoir remarqué qu'il me fallait parcourir, à pied,
un bon bout de chemin à pied, nous arrivâmes à Bang bao, prolongé d'un petit
ponton, sur la mer. Au bout de ce ponton, des bâteaus de pêche et de 2 côtés,
des petites boutiques. Moo Noi, m'avait dit que je le trouverai tout au bout du
ponton. Après avoir demandé à une personne du coin, je fis connaissance de "Moo
Noi".
C'était
un retraité, avec sa femme, qui vivait tranquillement ses vieux jours dans une
maisons de bois sur pilotis.
Après une
bonne discution derrière une bière, j'entrepris de rentrer; Moo Noi me dit/
-Attends, je vais avec toi, à 17h30,
il n'y a plus de taxi mais je vais demander si on peut te ramener, (Il était
connu de tout le village), éffectivement, il demanda à une personne si elle
pouvait me déposer à "mon camps". Je grimpe dans le pick-up, puis à
Lonely beach, elle me déposa. J'entrepris de rentrer mais je pris la mauvaise
allée et j'eus droit à une petite ballade improvisée. Je finis par demander mon
chemin à un anglais qui passait par là. Il me dit "yes,yes, common".
Il fit le chemin avec moi puis, arrivé à mon bungalow, il continua son chemin.
Après m'être rafraichi, je me dirigeai vers le cybernet pour consulter mes
mails. De retour à la case mon voisin de fin de parcours, me salua et me dit
:"Ouais, on mange ensemble ce soir".
"ouais!
pas de problème" répondis-je.
Direction
le tree-house pour se restaurer. Des français étaient là, on se joignit à eux,
nous discutâmes; tout le monde était affalés par terre, sur des coussins
discutant de choses et d'autres. A un moment, un vieux soixante huitard resté
dans ces années, affalés dans un hamac, me tendit son join que j'acceptais; je
pris trois taffes et lui rendis.
Imaginez
vous dans quel étais j'érais. Peu de temps après la prise de ces substances
illicites, je me mis à psychoter. Je décidai de rentrer; sur le chemin, 2 promeneurs
étaient là, pris de panique, j'imaginai que dans cette allée noir, ils
pouvaient me tendre une ambuscade, j'étais angoissé. Jusqu'à la croisé des
chemins, ils prirent une autre direction, alors je fus soulagé. Enfin, après ce
périple infernal, j'arrivais chez moi, et là, j'étais un peu abasourdi par les
"trois taffes" (il m'en faut peu); je mis à psychoter sur la perte de
mes papiers (que je n'avais pas perdu). La pluie avait repris, mais qu'importe.
Je
commencai à avoir des envies d'écriture. Je mis sur ma petite terrasse,
regardais la mer en force et l'inspiration sonna. Je réalisai à quel point
j'étais bien, la chance que j'avais de pouvoir être ici. Il pleut! ce n'est pas
grave, la vie est belle!.
2ieme
jour vendredi : Ce matin, je me suis levé vers 7.30, il n'y avait pas un pet de
vent, ni pluie; je me suis dis que les beau jour arrivaient. Je suis parti
prendre mon petit dèj au Tree House puis je me rendis au market du coin pour
quelques amplètes; il bruinait un peu, il était 10henviron. Sorti du
"market", des trombes d'eau à ne plus pouvoir bouger. J'attendais,
j'attendais la fin de l'averse, mais elle n'en finissait pas. Je pris mon
courage à 2 mais et je fonçais dans une échoppe en face pour me dégoter un
parapluie. Je descendis le sentier qui rejoint ma case, pratiquement à la nage.
Une fois au sec. j'attendis 2 bonnes heures que ça se calme. le temps d'aller
manger un morceau, rencontrer mes voisins de "pallier", il était 3
heures. Je m'éclipsai pour une sieste. A peine rentrer, que des trombes d'eau
s'abattirent sur Koh Chang. Ce n'est pas grave, je suis chez moi!
La sieste
terminée, je me dirige au bar prendre un café.
Vers 7
heure, heure du repas je rejoingni les voisins. Après quelque bières, je les
suivi dans une sorte d'anniversaire organisé dans un bar. Je bus 2 bières puis
on était 5. Là, un joint tourna; après quelques bouffées, je parti dans mes
délires mentales puis me retournai dans ma hutte.
Samedi,
3ieme jour.
Après un
petit dèj au Tree House, je pris le taxi pour le bled à côté, "Bai Lae
Bai". Une fois arrivé, je déambulai dans la rue, tel un touriste. Vers
midi, j'eus faim et me dirigea vers un resto thaï fesant des pizzas italienne.
La curiosité m'y poussa. Je commandai ma pizza et de l'eau. U1 demi heure plus
tard, toujours pas de pizza. Le serveur m'apporta l'addition, alors que je
n'avais pas eu mon repas. Je trouvai ça bizarre! puis le patron vint vers moi
et je crois qu'il s'excusait car il m'avait oublié. Peu de temps après, la
pizza arriva. Je la dévorai tellement j'avais faim. Pizza, café fini addition
payé, je longeai la rue pour choper un taxi qui me ramena à Lonely Beach. Une
fois arrivé, vu le temps, je me dirigeai sur la plage. La mer était houleuse.
Après avoir longé la plage, je revins au Tree House pour une collation, café et
sieste dans le hamac. Le soir, je retrouvais mes voisins de hutte,nous
mangeâmes, quelques bières, et l'un de nous lance :" Il y a une fête sur
la plage" Nous y sommes allés et là, il y avait de jeunes thaï qui
exercaient leur talent de "jongleurs de feu".
Impressionnant;
muni d'une lance emflammée à chaque extremitées, ils faisaient tournoyé leur
bâton de feu avec une dextérité phénoménale. Ce fut un spectacle captivant. Une
fois finis, nous restâmes accroupis sur la plage à discuter sur des sujets
hautements phylosophiques, en faisant tourner quelques bedos.
Dimanche
4ieme jour:
En me
réveillant, il pleuvait, je me rendormi. Vers 9 h, la pluie avait cessée et je
me dirigeai vers le tree-house pour me restaurer; au retour, je rencontrai le
couple suisse, qui faisait parti de la soirée d'hier; eux se réveillaient et
allaient déjeuner. Rentré à la casba, je me changeai et décidai de profiter de
l'éclairci pour me baigner.
Après une
petite baignade et une douche, le demon de la faim "frappa à la
porte". Arrivé au tree-house, je retrouvai les suisses et on mangea
ensemble. Après le café, je me pris un "Hppy Shake", sorte de milk
shake au fruit de son choix avec une petite boulette de "marijeanne",
puis je ne bougea plus du hamac jusqu'à 17h. Je me levai pour me dégourdir les
jambes un peu jusqu'à 17h30, puis je revins au tree-house où je me remis dans
mon hamac pour farnienter. Vers 18h, mes voisins commencèrent à arriver, l'un
après l'autre, on prit l'apéro puis l'heure de manger sonnât. Après le repas,
café cigarette, je me repris un "happy shake" en présence d'un
magnifique couché de soleil sur Koh Chang. On a fait connaissance d'un
israèlien qui venait de différents endroit du monde et qui jouait de la
guitare.
Après une
soirée de "déconnexion", morphée m'appela et je la rejoigni.
Lundi
5ieme jour: Une fois restauré, je décidai d'aller voir joël au village d'à
côté. Après un excellent repas et une discutail, je revins au campement. Le
soir, un moment magic se produisit; autour d'une table, nous étions 7 ou 8
lorsque l'un d'entre nous pris une guitare et commença à jouer puis se fût le
tour de l'israëlien de nous montrer ses prouesses. Et là, il chantât une
chanson en français (Charles Aznavour). Imaginer ce moment fort, un israëlien,
en thaïlande, qui chante une chanson en fraçais. Ce fut une soirée géniale!.
Mardi
6ieme jour: Je me lève, il est 9h, direction p'tit dèj puis plage et retour
avant les grosses chaleurs. Le soir, c'était la fête au tree house. je me suis
pris un ptit repas, un happy shake et Tchao, déconnecté pour le reste de la
soirée. Je ne voulais pas être de "discussion"; celui qui raconte sa
vie, ses réussites, ses ambitions, ses voyages, l'autres qui parle du "mal
du pays" et celui qui conte sa multitude de voyage; bref! une soirée sans
excitation.
Mercredi
7ieme jour: Levé 9h, il pleut, je me recouche.
La
journée passe comme d'habitude. Le soir, comme j'avais gagné un repas la
veille, repas soit dit en passant "gastronomique", je dus faire appel
à mes collègues de bungalow; nous étions 8 sur 1 repas.
Jeudi
8ieme jour: mise en forme avec une petite baignade matinale, petit dèj vers
10h, café avec les voisins de passage, déjeuner, l'après midi passe puis le
repas du soir un peu arrosé.
Vendredi
9ieme jour: on prend les mêmes, on recommence; rencontre d'une nouvelle
arrivée, une chilienne; comme quoi, il faut aller au bout du monde pour
rencontrer des gens d'ailleurs.
Je
retrouve les voisins, discution de sujets divers, petites blagues, projet de
faire une ballade à scooter.
Samedi 10ieme
et dernier jour sur Koh Chang: Vers 12 h, comme prévu, on enfourche nos
"harley" et on prend la route tel des "easy riders" avec
des "cubes" en moins.
Mal de
dos en rentrant dû à l'affalement quotidien pendant la restauration, je pense.
Ou peut être le mauvaise état des routes et secousses sur le scooter.
Massage
en urgence à 21h30 puis soirée calme au bungalow à discuter, déconner; couché
1h30 du mat pour levé prévu à 6h00.
Dimanche
jour départ: Je me réveille, douche rapidos, passage en revue des bagages et
direction la rue pour hêler un taxi qui passe. Une fois sur place, il est
encore tôt, je vais au bar d'en face pour une collation. 8h, le taxi démarre
pour l'embarcadère où, 1/2 heure plus tard, je quitte l'île de Koh Chang pour
le continent thaïlandais.
Arrivé de
l'autre côté, je n'attends pas longtemps pour qu'un taxi m'emmène à Trat.
Arrivé à Trat, je demande le chemin le plus rapide pour me rendre à Buriram, on
me dit d'aller à Chantaburry donc je monte dans le bus à destination.
A peine
arrivé, je n'étais pas descendu du bus, une préposé aux bus me fait signe que
le bus pour Buriram va partir....
Je me
demande comment cette personne savait que j'allais sur Buriram.(la magie
thaïlandaise, sans doute).
Voilà, je
suis dans le bus pour Buriram, je ne sais pour combien de temps.
Finalement,
tout coordonne, je n'ai pas eu trop d'attente entre chaque bus.
Le voyage
est long, tout de même. En partant à 8h, ce matin, je suis arrivé à 20h30 à
Buriram.
1ere
chose que j'ai faite, c'est manger, je n'avais pas manger de la journée.
Vu
l'heure qu'il était; je préferais passé la nuit à l'hôtel et faire les derniers
kilomètres à la fraîche. D'autant plus que mon père se couche tôt. Je ne
voulais pas déranger et j'étais vraiment épuisé.
Lundi 16:
Vers 7h, je me réveille, me débarbouille, rassemble mes affaires et quitte la
chambre en direction de la gare de bus. Je prends de quoi déjeuner vite fait,
je demande le prochain bus pour Salengtown, il est à 9heures. Il est 7.50,
alors je me dirige vers 1 taxi qui m'emmène pour 400 bht.
J'arrive
chez mon père, il est 8h15.
Il avait
prévu de descendre en ville pour quelques courses, je descends avec lui et me
renseigne pour l'avion Buriram-Bangkok mais il part trop tôt et il est trop
honéreux. Finalement, je prends un billet de train pour Bangkok.
J'en
profite pour développer mes photos en 1 heure; on mange sur place et on rentre
vers 15h. Aprés un repos difficile dû à la présence des cousins, je me restaure
vers 18.30. Mon pére m'indique qu'il y a une fête au village en commémoration
du déces d'un moine, assoifé de curiosités locales, je m'y rends.
A 21.30,
fatigué du voyage, je rentre me coucher et écrire ces quelques lignes.
Mardi 17:
Je me lève paisiblement dans le village de Salenghtown. Vers 10h30, mon père
m'emmène voir sa nouvelle plantation d'eucalyptus qui, une fois adulte, sont
revendus. Ici,c'est le seul arbre qui veut bien pousser, les autres finissent
toujours par mourir. De retour au village, je me restaure puis lis un peu et
profite du hamac pour une petite sieste. Je prépare ma valise, discute de
choses et d'autres avec mon père.
Après une
petite soupe du soir, je laisse vaquer mon immagination dans le hamac au milieu
du chant des criquets; puis vers 21h, je vais me coucher.
Mercredi
18, levé 6h30, déjeuner, cigarette, vérification de dernière minute puis départ
sur Buriram vers 9.00 . Derniers achats: CD vierges, DVD, cle USB.
Quelques
courses aux supermarché que mon père doit faire.
Je change
mes derniers euro, je pourrais en avoir besoin à l'aéroport. Après 20 minutes,
j'ai mes baths. L'employé de la banque à
voulu faire du zèle en me questionnant sur mon lieu de résidence, où j'avais
logé pendant mon voyage, ma date de retour et de départ, vérification de
l'authenticité de mes travellers. Voyant cela, mon père est intervenu dans la
langue. Vu qu'il était du pays, ça allait tout de suite mieux.
Puis
direction la gare à attendre le train.
Discutuion
entre père et fils puis départ pour BANGKOK, à l'heure.
2 heures
de trajet ont passés, tout va bien, plus que 6.30. Il est 16.10, encore environ
4.30. Je regarde le paysage thaïlandais défiler devant moi; fenêtres ouvertes
pour aérer malgré le ventilateur suspendu au plafond qui tourne à toute
berzingue. Je suis allé fumer une clope entre deux wagons en ayant au préalable
demandé à un contrôleur. Je savais que l'on pouvait le faire mais mieux vaut
demander. A 16.20, on passe devant un fleuve, je ne connais pas son nom, je
regarderais sur la carte pour ne pas mourrir idiot.
Un peu
plus loin, le paysagecontinuant à défiler, ma voisine, jeune mère de 2 enfants,
me propose une denrée thailandaise envellopée dans une feuille de vigne fourrée
d'une sorte de pâte sucrée.
Echange
de sourrire, car la langue est un obstacle. Quelques arrêts plus loin, la
petite famille descendit en m'ayant au préalable lancée un timide
"bye" internationnal.
Encore
une petite heure et demi environ pour arriver à la capitale.
Je suis
arrivé au terminus, j'ai pris un taxi metter pour l'aéroport.
Ce fût
une course folle sur la motorway.
Une fois
arrivé dans ce gigantesque aéroport, j'attrape un porte bagage et commence à
visiter les lieux.
Au
dernier étage se trouvent les "checking", au 2ieme et 1er étage, les
duty frees, restaurants, bars et autres. Je repère des francais ou plutôt des
suisses avec qui je vais pouvoir causer un peu. Nous passons la douane
ensembles puis on se dirige vers un café enfermé dans un sas pour fumer. Vers
3.20, on commence à rentrer dans l'avion; là; on se dit "à la prochaine".
Après
quelques heures de vol, on est à seulement 50 minutes de Flumiccino. Après
avoir mangé et dormi un peu, on a fini par attérir enfin. J'ai acheté des
cigarettes au duty free, dans l'avion, 10e la cartouche de Malboro.
Arrivé à
Flumicino, envie de fumer, je cherche un smocking room. Aprés une recherche
azpprofondie, le seul endroit qu'il y ait, est en réparation. Après avoir
rhuminé pendant plus d'une heure, je décide d'enfraindre la loi en fumant dans
les toilettes. Après une demi clope fumée avec stress, je retourne m'assoir
devant la porte d'embarquement et j'attends. Notre petit avion Air France entre
en piste et nous voilà parti en direction de Lyon pour environ 1.30 de vol.
Arrivé à
St Exupèry, il faut que j'attrape le Satobus qui m'emmène à la gare Perrache,
pour sauter dans un train pour Vienne.
Il y en a
un qui ne s'arr^te pas à Estressin mais je le prends quand même sans trop
attendre puis arrivé à Vienne, je prends un bus pour les charavels.
Au total,
j'aurais voyagé pendant 34.30.
Donc, je
suis arrivé, je n'ai plus que quelques mètres à parcourir et voilà que
finissent mes vacances.
Il faut
que je retourne travailler pour payer mes p^rochaines vacances qui seront
orientées vers la Malaysie.