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VOYAGES ASIATIQUES
27 avril 2008

4 ieme voyage

Ca y est, le jour de départ est arrivé. A 15h30, je suis à l’aéroport, 2 h avant comme ils disent. Renseignement pour prendre mon billet électronique (très facile). Je prends un dernier café avec ma mère qui m’accompagne et sort sur la terrasse pour fumer mes dernières clopes. 17h, il est temps d’aller à l’embarquement ; je passe au détecteur mon sac à main car ma valise est déjà partie, et là, ça sonne. « Qu’avez-vous dans votre sac ? » « Euh ! Rien ». La steewarte me demande si elle peut ouvrir mon sac, je lui dis que oui ! Mais il n’y a rien de suspect. Une fois dans la zone de transit, je bouquine un peu en attendant l’embarquement, au milieu du bruit incessant des sacs traînés sur le tapis roulant. Puis la file d’embarquement s’active et un message se fait entendre « les passagers des places 15 à 30, veuillez passer en priorité », bien !, j’ai le siège 15a, je n’ai pas à faire la queue. Me voilà dans l’avion, je suis au hublot, ce qui veut dire coincé. Bah !, le vol dure seulement 1h30 jusqu’à Amsterdam. Ca y est je suis bel et bien coincé entre 2 molosses venant probablement de la coupe du monde rugby qui a du avoir lieu ce week-end. Je vais admirer le paysage !

18h30, première collation, encore une heure de vol pour Amsterdam, il est annoncé, sur l’écran de vol une température de 15° (il va caillé). Je suis toujours coincé entre les 2 rugby mens. Que faire ? Attendre !.

Dormir avec le rugissement permanent des turbines, c’est impossible, d’autan plus que je suis juste sur le réacteur. Comme vu du hublot, je vois en premier plan, l’aile gauche de l’avion, je regarde le hublot droit, je vois l’aile trembler ! Est-ce une illusion d’optique ? Il y a du brouillard, on traverse une zone de turbulence, « on va s’écraser, on va s’écraser………

 

Non, trêves de plaisanterie, c’était une blague peut être un délire personnel dû, probablement, à l’ivresse de l’altitude, ou la dépressurisation. Non ! Tout va bien, on vole paisiblement.

Elle m’a donné faim, l’hôtesse, avec sa petite collation, ça m’a ouvert l’appétit. Patiente ! je pense que sur le prochain vol, vers 21h, on aura un bon repas.

Actuellement, nous sommes au dessus de cette masse cotonneuse encerclant notre bonne vieille planète.

Le commandant de bord annonce notre arrivée imminente sue Amsterdam. Il est 18h55, encore 10 à 20 minutes.

Une fois arrivé, je me rends dans un pub hollandais pour boire un café et fumer une cigarette (à l’intérieur de l’aéroport,) il n’est pas interdit de fumer dans les lieux publiques. A 19h45, comme il est marqué sur le billet, je me présente à la porte F9, je fais la queue, je présente mon passeport, et là, l’hôtesse me dit que ce n’est pas la bonne porte, il faut que je me présente F6. Donc, je cours de l’autre côté de l’aéroport, car les portes ne sont pas à côté les unes des autres ; et là, je vois une queue phénoménale, un monde fou.

Bref ! 20h45, je suis dans l’avion, je me retrouve encore coincé. Il n’y a pas d’écran vidéo, pas de musique, pas de tablettes, ça va être long.

22h25, toujours pas mangé, j’ai faim. On nous a distribué tout de même un casque radio sur lequel je me suis branché (c’est déjà ça) J’ai trouvé une tablette, elle était dissimulé dans l’accoudoir, pratique pour écrire ou poser son plateau repas qui, je le sens, ne va pas tardé à arriver. Il y a une boisson qui arrive, on verra la suite.

Bob Dylan dans les tympans, l’hôtesse me propose une boisson.

Le temps, dehors, ne doit pas être au beau, il y a des problèmes d’écoute radio, dues sûrement à des perturbations. Bref ! la bouffe ne veut pas arriver, ils sont radin ou quoi ! On nous distribue des rinces doigt pour se laver un peu. J’ai cru, au premier abord, que c’était la bouffe, mais non !

Une hôtesse cherche à donner des plats spéciaux à des personnes spéciales et me mets l’eau à la bouche, j’ai faim.

Elle se promène avec ses plats en me les passants sous le nez ; patience ! quelque chose me dit que je vais manger d’ici peu.

23h25, la bouffe arrive enfin ; les hôtesses sont quelques rangées derrières, elles arrivent, je vais MANGER !

Pasta au menu.

Arrivé à l’aéroport de KUALA LUMPUR à 15h, il a plu, je suis le troupeau , trouve une cage à fumer et m’y introduit, j’ai la tête qui tourne. Une fois la cigarette finie, je vais à la recherche de ma valise. Pas facile. Une heure après, je la récupère.

En faite, elle était dans un autre terminal, à environ

500 mètre

, relié par une sorte de métro. Je me renseigne pour aller au centre, je prends le KLIA EXPRESS qui m’emmène au KL CENTRAL, puis un taxi m’emmènera où je veux (20rm).

Ca y est, après 24 h de voyage, je suis dans ma chambre (lit dans une cage à poule mais propre), la douche à côté. Mais ça fera l’affaire pour quelques jours (25rm)

Il est 18h.

Le 2.10.07

Vers 10h, je suis sorti déjeuner puis changer de l’argent et autre, d’un coup, je me fais accoster par une jeune fille et sa copine ; j’ai senti le coup foireux. On discute, en anglais, et elle me parle de sa sœur qui travaillait en France…bref ! Puis elle me demande ce que je veux faire, je lui dis que je projette d’aller voir les TWIN TOWERS et elle me dit, « je vais te présenter ma sœur et patati et patata. On boit un café et elle me dit : « viens chez moi, on va voir ma sœur  et on ira aux TWIN TOWERS après, je me suis dis, « qu’est ce que je risque ».

On a prit le taxi, elle a payé et je me suis retrouvé carrément chez elle, avec ses autres sœurs et son père et le grand pa, malade à l’étage. Je commence à discuter avec le père, tant bien que mal, et il me dit qu’il est croupier d’un casino sur un bateau, puis on discute boulot et la sœur qui devait m’être présentée devait se rendre d’urgence à l’hôpital pour une urgence. Donc, avec le frère et ses sœurs, nous sommes partis en voiture et m’ont déposés aux TWIN TOWERS, puis ont continué leur route vers l’hôpital. Arrivé aux TWIN TOWERS, j’ai vite découvert qu’elles n’étaient pas si extraordinaires. Ce sont tous simplement 2 tours jumelles

415 mètres

, certes, mais remplit d’un centre commercial ; je n’y suis même pas allé. Puis, j’ai pris le monorail pour descendre à la poste et ensuite je suis remonté en arpentant les rues de CHINATOWN, j’avais besoin d’une douche après cette journée. Vers 19h30, je vais manger et on verra demain.

Vers 1h30 du matin, je n’arrive toujours pas à dormir ; il fait lourd, je décide d’aller fumer une cigarette dehors et là je découvre une deuxième vie. Le salon de thé, ayant fermé pour la nuit (normal !), des marchands de bouffes se sont installés devant la boutique et tout le long du trottoir, pour satisfaire les noctambules, je remonte dans ma chambre et il fait toujours aussi chaud. La lumière de la pièce s’active en mettant une clef à l’intérieur et par la même actionne le ventilo. Si on éteint, il n’y a plus de ventilation. Alors tant pis, je vais devoir essayer de dormir tout allumé. Bonne nuit !

Le 3.10.07

Ce matin réveil à 8h30, j’ai passé une courte nuit. J’ai déjeuner sur la terrasse du BACKPACKERS surplombant la ville, sympathique.

Vers 10h45, je me suis dirigé vers la poste envoyer mes cartes. Ce fut plus facile car j’avais fais le trajet hier ; 500mètres à pied à travers CHINATOWN puis monorail jusqu’au centre. Je suis allé à la poste, j’ai fais presque tout le boulot, 40 timbres à coller moi-même, autant dire que j’étais à cour de salive. Je me suis acheté des DVD (8rm les 10) 1.6 e puis je suis retourné dans CHINATOWN. Arrivé au BACKPACKERS, je suis allé simplement mangé au snack du haut, sur les toits puis une petite sieste. Après une petite vadrouille dans KL et avoir mangé, je suis revenu au BACKPACKERS pour prendre le ticket de transport que m’a proposé le patron (60 rm, environ 13e) pour KUALA TAHAN , bus+bateau,et là, j’ai rencontré la doyenne des montres suisse (SWATCH) qui discutait avec le patron (ils se connaissaient), elle devait être une habituée des lieux.

Elle parlait bien français donc on engagea une conversation. Quand elle vit ma pochette en bandoulière, elle me dit : « T’es fou ! Il te faut une banane, surtout avec tes papiers dedans, et toujours sous le pantalon ; un coup de cutter, on te pique tout »

J’ai suivi ses conseils, surtout que j’allais peut être dormir en dortoir (à plusieurs). Demain, je pars à 8h15, j’ai demandé au patron de me réveiller à 7 h.

Le 4.10.07

Me voilà près pour le départ au TEMAN NEGARA ; le réceptionnaire m’a réveillé comme prévu à 7h00, je me suis vite débarbouillé et suis allé boire un café. Le café du haut n’était pas ouvert, tout affolé, je courus dans la rue, dans un resto indien, je pris un café et une crêpe. Je revins au BACKPACKERS, il était 7h50, entre temps, la cafétéria avait ouvert, je courus boire un café + un jus d’orange. Le réceptionnaire m’appela le taxi qui viendrait directement me chercher.

Le voilà, il prit mes bagages et je monte dans le bus, il est 8.20h ; 9.30, arrêt pipi dans une station service, dégourdissage de jambes. 9h40, on repart. Autre arrêt, 10h10, pause clope pour le chauffeur, j’en profite aussi. D’autres passagers du bus sortent se ravitailler ; 10h15, on repart pour a peu près 4h. Nous sommes à

162 km

de Kuantan, à l’est, mais nous continuons vers le nord, à Jeranthut, que j’estime à environ

80 km

, où nous allons faire une halte, selon ce que m’a dit le réceptionnaire du backpackers. Je reviens à ma rencontre avec la doyenne des montres swatch qui me conseillât d’acheter une banane pour camoufler les papiers sous le pantalon. Elle m’a fait un peu flipper en me disant que n’importe qui pouvait me voler mes papiers d’un coup de cutter sur ma pochette en bandoulière. Tout au long du voyage, cette flippe s’estompa progressivement. Je me dis que tout va bien se passer. On est arrivé vers 12h, une dame est montée et nous dit qu’il fallait s’acquitter de la taxe d’entrée au parc (5rm) et 1 rm par appareil photo. Juste en face, il y a de quoi se restaurer et l’on doit attendre le prochain embarquement pour 14h. Vers 13.15, je vis partir des personnes pour embarquer. Je les suivis, croyant que c’était mon tour, le porteur prit ma valise et on descendit embarquer. Le patron me dit « non, pas celui là, le prochain ».

14h, me voilà parti sur la pirogue à moteur pour environ 3h. Nous sommes 15 à bord plus le pilote. Juste avant, j’ai rencontré des français travaillant en chine, qui devaient prendre la pirogue aussi mais faute de place, ils prendront la prochaine. Il est 15h30, 1h30 qu’on vogue sur les flots de la rivière Tembelling, avec le bruit incessant du moteur Yamaha qui doit nous propulser à environ

25,30 km/h

. Je viens d’apercevoir une famille d’aborigène se baignant dans la rivière. La longueur de cette rivière doit être d’environ 50km ou peut être moins. 16h, le temps commence à être long, le routard dit que ça passe vite, avec toutes les curiosités qui se présentent, je n’ai, pour le moment, rien vu d’extra.

Une question me taraude l’esprit, comment fait on si une envie soudaine survient ?

Bref ! Admirons le paysage.

16h10, je crois que l’on arrive ! Non, faux espoir ! Encore un p’tit bout. Bonjour, en passant, du collègue qui vogue sur son embarcadère avec d’autre touriste, en sens inverse. J’aperçois une famille de pêcheur, Quelques cabanes avec embarcations, des enfants se baignent, d’autres construisent une maison sur pilotis. Ca y est, on arrive, il est 16h20.

17h10, je suis installé dans la première pension qui m’est tombée sous la main, 40 rn/nuit, petite chambre sympa, douche, toilette très propre. Je suis juste en surplomb de la rivière.

Petite galère en vue, je n’ai pas prévu assez de change. Il m’en reste un peu mais demain, je devrais prendre le bus pour allé à jeranthut changer 50 euro de travellers. Le bus passe à 6.30h et je suis de retour à 13h. bref !, on verra demain.

Sinon, je rencontre 2 jeunes couples de suisses avec qui je partage le repas, en discutant de nos voyages respectifs et du treck qu’ils vont faire le lendemain.

Le 5.10.07, levé 6h00, pour attraper le bus à 7h20, puis direction Jeranthut pour changer les travellers. 2h durant sur les routes traversant la jungle, qui montent, qui descendent ; arrivée 9h15.

Tout d’abord, je vais boire un café et un jus d’orange, je suis parti sans déjeuner, tout était fermé.

Une fois restauré, recherche d’une banque acceptant les traveller’s. 1,2 et la 3ieme fut bonne. Je retourne boire un café au même endroit, je tourne dans le centre, me faufile entre les étales des marchands ambulants, abandonnées ce jour car férié oblige pour les musulmans. Puis vers 12h00, je vais manger et à 12h30, je remonte dans le bus qui m’a amené et à 12h55, nous voilà reparti pour 2 heurs de route. 15h00, enfin arrivé, je paie ma chambre et vais prendre une douche.

Je viens de passer un moment avec un jeune guitariste qui reprend du Pink Floyd, Led Zep, Clapton…

J’ai demandé au tôlier pour faire le « canopy walkway + le bukit terressek », il me dit qu’il ne faisait pas cette sortie, il fallait un minimum de 2 personnes et il n’y avait que moi. Mais il me dit que je pouvais y aller tout seul, c’est bien indiqué. Je suis allé me restaurer puis je suis allé boire un ver chez le guitariste. On a essayé de causer avec nos anglais désastreux, puis des collègues sont arrivés et ils se sont mis à jouer chacun d’un instrument. Il y avait 3 guitares, c’était un moment magique, puis un autre est venue me parler et j’essayais de lui renvoyer le dialogue de façon correct. Pendant environ

3 quart

d’heure, on a tchatché.

C’était une bonne soirée.

Cette nuit, vers 3h du mat, un violent orage a éclaté, j’ai cru que c’était le déluge.

Au petit matin, brumeux, tout est rentré dans l’ordre.

Vers 8h, je me lève et me prépare pour le Canopy Walkway. Je vais déjeuner sur un floating boat puis vers 10h30, je prends la navette pour traverser la rivière et accéder au parc national. Une fois arrivé sur l’autre berge, je grimpe des escaliers, traverse un Ressort luxueux et je suis les panneaux « Canopy Walkway ». Une fois sorti du ressort, je pénètre dans la jungle profonde pour environ 2km (tout balisé) et j’arrive au ponton où l’on paie 5 rn pour se la jouer Indiana Jones. Ce sont des planches de bois soutenues par des filets d’une dizaine de mètre, à chaque fois reliées à des pontons construits solidement autour d’un arbre pour pouvoir admirer la jungle et ce, sur quelques centaines de mètres. Une fois finis, on retourne dans la jungle pour un retour de 2km. Là, j’ai pris un peu plus le temps d’observer des sortes de petits iguanes broutant l’herbe. Tout d’un coup, j’entendis tomber des branches ; sans y prêter attention, je me demande ce que cela peu bien être. Je continue, et tombent toujours des branches. Je regarde en l’air, ce sont des macaques qui cueillent des bananes ou autres et sautent de branches en branches. Une fois ce parcours finis, je pouvais enchaîner sur une ballade d’environ4 h. Mais, j’étais déjà bien en sueur. Je me dis que je reviendrais le lendemain pour le Bukit Terresek.

En fin de soirée, j’ai revu les couples rencontrés la vieil et une autre travellers suisse qui arriva à 7 semaines de sa fin de voyage qui durait depuis 9 mois.

Autant dire que l’on a passé la soirée ensemble à se raconter nos différentes expériences : les 2 jours de trecks dans la jungle pour les couples et les voyages en Asie et Amérique du sud, pour la nouvelle arrivée. La nouvelle venue était aussi suisse. Elle était allée au Laos, Cambodge, Birmanie, Vietnam, Bolivie, Mexique, elle passait en Malaisie et allait en Indonésie. Pour le treck, ils avaient marché dans la jungle et couché dans une grotte mais il y avait « les sangsues » qui guettaient l’arrivée de leur proie à l’aide de leur sonnards, dressées comme des I. Demain, ils repartent tous, chacun pour leur destination, Tia reste quelque jours.

Ce matin, je me suis levé pour faire la ballade du Bukit Terresek, dans la jungle avec Tia. Eprouvant, marcher dans la boue, tous les

20 mètres

s’arrêter pour vérifier si des sangsues se sont hissées sur ses chaussures. Vers 13 heur, on est arrivés au point de départ, je suis rentré, Tia a voulue faire le Canopy Walkway que j’ai fais hier. Je rentre, je me douche et je vais manger sur un floating restaurant.

Sieste obligatoire après mangé, l’après midi se passe et je vais acheter un billet pour demain, au floating restaurant, du Teman negara au Cameron Highland pour 70 rn.Tia et moi partageons un repas et vers 21h, elle va se coucher et moi, je continue ma soirée à la guinguette des guitaristes. C’est ma dernière soirée ici, demain départ 8h. Je prends un dernier cocktail sur un air de guitare, moment magique à jouer avec eux, il est 0h30, dommage, il faut que j’aille dormir, demain, je me lève à 7.00.

Le 8.10.07 :

Je me levé à 6h00 de moi-même. Je me prépare, j’essaie de trouver de quoi me restaurer, en vain. A 7h40, je monte au point de rendez vous et j’attends le bus NKS. Un bus arrive, c’est le bus de l’autre compagnie « HANS TRAVEL’S », 10 minutes plus tard, le van de NKS arrive, il y a 2 hollandaises qui partent aussi. 9h30, on s’arrête déjeuner à JERANTHUT. Je me mets à une table, les hollandaises à une autre, je bois un café et d’un coup, les hollandaises m’invitent à leur table et l’on essaie de discuter. 10h, on repart pour environ 5h00. Je suis seul avec les 2 hollandaises. Je lie un passage de mon livre sur un fond musical, nous sommes sur l’unique route traversant la jungle à perte de vue. James Blunt vient s’égosiller sur la radio. Je demande au chauffeur un arrêt pipi oblige. Nous sommes à une 10ene de kilomètres de KUALA LIPIS. Arrivé à KUALA LIPIS, ce sont les filles qui demandent un arrêt pipi, dans une station service. J’en profite pour m’en griller une, puis nous reprenons la route. Le van NKS et HAN S TRVEL S vont au même endroit et se suivent, se doublent, se font dépasser, comme si c’était une course entre eux, un défi, le premier arrivé. Vers 12h30, on s’arrête à un hôtel, on se restaure, on change de van et on repart.

Le temps, aujourd’hui, est au beau.

On a changé de place, puisque qu’on a pris 2 passagers. Je suis à côté de MAUD « l’hollandaise ».

Le paysage est très verdoyant, magnifique. On change de décor, ce n’est plus la jungle mais la forêt, ornée de petit buissons ; on commence à apercevoir quelque plantations de thé, implantées par les anglais dans les années 3, quelques plantations à étages.

Petite conversation avec l’hollandaise pour s’entrainer à l’anglais avec une touche de français car elle me dit qu’elle connaît un peu le français. Nous arrivons à destination : TANAH RATA dans les CAMERON HIGHLAND, c’est une ville entourée de plantation de thé et de collines encaissées dans une vallée.

Ce soir, j’ai mangé en compagnie des hollandaises et on a finis la soirée ensemble à essayer de communiquer. Nous avons trouvé un deal : Je leur apprends le français et elles m’apprennent l’anglais.

Je suis dans un charmant endroit, sur une colline, surplombant le centre, qui est juste à 5 minutes, orné d’un magnifique jardin à l’anglaise (normal, ils sont passés par là). Les hollandaises logent dans le même guesthouse à quelques mètres.

Un autre couple d’allemand, logeant ailleurs, c’est joint à nous. Après avoir fait connaissances, nous avons décidés de passer la journée du lendemain, ensemble, à visiter un peu.

Suite à cet entretien, nous nous sommes donnés rendez vous le lendemain.

Le 09.10.07 :

A 9h00, les hollandaises et moi avons déjeuné ensemble, puis le couple d’allemandd est arrivé. Vers 10h00, nous sommes partis faire une petite marche de 4 ou

5 kilomètres

, à travers la jungle, sur des sentiers balisés. Arrivés au village un peu plus loin, (2km), nous avons pris le thé dans un hôtel qui était sur notre chemin, puis nous sommes redescendus par la route qui mène à TANAH RATA. Nous avons mangé dans le village, sommes rentrés au guesthouse pour nous débarbouiller et ensuite nous avons pris la route, avec la voiture que les allemands ont loué, pour aller visiter les plantations de thé ainsi que la manufacture. Vers 15h30, nous nous sommes dirigés vers la plantation de fraise. Il pleuvait et nous avons dû monter la colline ; suite à ça, nous sommes rentrés au FATHER’S GUESTHOUSE, où nous pris le thé, discutés un peu. Les filles ne voulaient pas manger en ville, donc nous avons mangé sur place devant un film projeté dans le salon. Vers 21h, elles m’ont dit « bonne nuit » et sont allées préparer leur bagages, nous nous reverrons demain pour l’ultime petit déjeuné ensemble.

Le 10.10.07 :

Ce matin, j’ai pris le petit dèj’ avec les filles, puis elles sont parties prendre le bus.

Au revoir, embrassade et bonsoir. Claudia m’enverra les photos sur le net. Vers 9h30, je suis descendu à l’arrêt de bus pour prendre les horaires.

J’ai un bus à 8h ou 9h ; je suis remonté, j’ai traîné puis je suis allé sur le net communiquer un peu avec les proches.

Vers 11h30, je suis redescendu me restaurer, puis je suis remonté faire une sieste. Vers 15h, je suis allé acheter 2 boîtes de thé pour rapporter au pays, il pleuvait averse. Puis j’ai flemmardé au guesthouse préparant mes bagages.

Au salon, il projette un film, je vais m’affaler devant. J’ai rencontré un breton avec sa copine des philippines, ils viennent d’arriver. On discute un peu puis, j’aperçois l’australienne que j’ai rencontrée un peu avant et je lui demande si elle voulait manger un « morceau » dehors, elle me dit « Yeah ! » puis un allemand vint nous rejoindre, il était de Colmar et il vient grimper les cols de Malaisie en vélo, son seul moyen de transport. Donc, on mange tous ensemble avec les aléas de la compréhension linguistique.

Elle demande une portion « small » elle a une « large », il y eut un petit problème de compréhension avec le serveur ; puis nous sommes allés boire un café dans un pub sympa. Elle me dit qu’elle veut partir aussi de »main, je lui dis que nous pourrions faire la route ensemble.

Le 11.10.07 :

Vers 6h00, je suis debout, j’attrape le bus de 8h pour PENANG.

Christine n’est pas là, tant pis !.

J’arrive au guichet du bus, j’attends pour prendre un ticket (longtemps), la guichetière me dit de passer au guichet d’à côté ; puis l’autre me dit de repasser au 1er, bref, ne nous énervons pas. J’arrive enfin pour payer, je sors 50rn, pour 23 rn, elle me dit qu’elle n’a pas de monnaie, que je dois aller en faire, le bus part dans 10 minutes. Je lui dis « furieux », » si je vais faire de la monnaie et que le bus part, comment fais-je ? ». On me dit d’aller voire le contrôleur juste derrière moi, il a de la monnaie. Je lui demande, il me donne de la monnaie au bout de 2minutes, après avoir bien pris son temps, et me demande de recompter devant lui alors que je savais bien qu’il y avait le compte. Une fois l’appoint obtenu, je peux enfin prendre mon billet et là, je me mets dans le bus, et nous voilà partis, je ne sais pour combien de temps.

45mn plus tard, nous nous arrêtons sur le bas côté, et je vois le chauffeur prendre une visseuse électrique et revisser les roues. Ah bon !

Une fois fait, nous repartons.

A IPOH, on fait une halte à la station de bus, il est 10h45. Il pleut averse, c’est le déluge. Nous allons remonter un peu vers le Nord, direction BUTTERWORTH puis PENANG. Un peu paniqué, je me renseigne si je dois descendre à BUTTERWORTH pour changer de bus ou PENANG. On me dit que je peux descendre à PENANG et prendre le bateau ou BUTTERWORTH et prendre le bus. 10h45, on repart, on réentre dans la jungle à perte de vue. Le bus n’en peut plus, il à peine à monter.

3h40, qu’on roule, il doit rester 1h30 environ. 12.30, c’est long, je crois que je vais m’arrêter à PENANG et monter demain aux îles LANGKAWI. Le beau temps et de retour, ca y est, je suis arrivé à GEORGES TOWN, dans le nouveau terminal de bus, donc, je suis un peu désorienté, je ne pensais pas arriver ici, selon mes prévisions. J’ai pris un taxi (25rm) et je suis arrivé au SD Hôtel, tenu par 2 petits vieux malais, super gentils.

L’hôtel à un cadre sympa, un peu impersonnel mais bon !, on ne peut pas tout avoir, surtout pour le prix. (18rm) 4e08 et en plus, il organise des transferts pour LANGKAWI avec du SNORKELING. Les gens me paraissent super agréables, ici.

J’ai tourné un peu dans les rues, ça me paraît un peu le fouillis ici ! Sinon, je me suis connecté au net, je vais pour payer, « non, non » que me dit le patron « it’s free ! »

Super, non ! Fin de soirée à boire le thé sur la terrasse du guest.

Le 12.10.07 :

Petit dèj conséquent, puis ballade dans la vieille ville, vers 9h30. Retour 10h20, je me connecte un peu, je vais faire un tour du côté de l’ambarcadère, puis vers 13h15, je vais manger un morceau. Vers 14h, je me dirige vers la station de bus locaux pour me rendre sur PENANG HILL. La station n’est pas à côté, je dois remonter quelques rues. Vers 14h30, j’attrape le bus 201 qui doit me déposer tout près. Il me dépose au rond point et doit faire environ

500 mètres

à pied. Je rentre dans « la gare d’embarquement », pour attraper le funiculaire qui doit nous hisser à peu près 500m plus haut. Nous commençons à monter, dans une jungle aménagée en carton pâte. Environ 10 minutes plus tard, on change de rails donc de funiculaire, il y a plein de locaux qui font leur sortie du « dimanche », quelques anglais. Une fois arrivé au sommet, la foule s’extirpe rapidement à l’extérieur et les flashs des appareils photos jaillissent pour voler ce « tableau panoramique », surtout qu’il faut faire vite, le temps tourne rapidement.Il y a une superbe vue sur le détroit de Malacca, on peu apercevoir le pont qui relie l’île au continent, il paraît qu’il fait

13.5 km

. Je parcours l’île de fond en comble, il y a pas mal de randonnées à faire, si l’on est préparé. Puis vers 17h30, je redescends. Je dois prendre le bus qui doit me ramener au point de départ. Il n’est pas là, alors je décide de marcher jusqu’au prochainarrêt. Après 5 ou 6 arrêts, j’attrape le bus au bond n° et lui dit « terminal ».

En fait, il m’a ammené au terminal côte « ferry ». Alors, j’ai dû reprndre un 2ieme bus qui me ramène au bon endroit. Je suis encore loin de chez moi, je demande ma route, personne ne voit où je veux me rendre, presque tout le quartier se mety à chercher. Puis, finalement, je retrouve ma route et attrape le 1er resto qui se présente, je mange un bout et je rentre écrire ces quelques lignes.

Vers 22h, je prends tranquillement mon café en terrasse et je vois plein de voitures bloquées dans la rue. Ca m’interpelle, je vais voir plus haut et il y a un cortège de chart décorés, illuminés qui défilent dans la rue. Voyant cela, je cours chercher mon appareil photo pour immortaliser ce moment. Je rentre à l’hotel et là, pendant que je bois un thé, un jeune japonais vient me taper la conversation, on aparlé pendant bien une heure, on a essayé de communiquer, chacun en anglais.

Le 13.10.07 :

Ce matin, petit dèj soft, internet puis j’ai tenté de me renseigner pour mon trajet de demain pour les iles Langkawi. Je veux savoir s’il est possible de réserver une chambre sur LANGKAWI., impossible de me faire comprendre. Je vais manger au banana et là, je vois passer un couple qui me salue et me dit « bonjour ». « Vous êtes français », dis-je, « oui, on s’est rencontré aux cameron highland » et ils me disent que demain ils vont à LANGKAWI, alors je saute sur l’occasion pour leur poser la question : »est-il préférable de réserver ? »

Ils me disent que ce n’est pas la peine, qu’il y a de la place. Donc, je vais prendre un billet et je verrais sur place. 13 h, je vais faire une sieste. Vers 14h, je vais sur la terrasse du guest, commande un café et bouquine un peu. Cette après midi a été cool à discuter avec des anglais, parfaire le dialecte british. Vers 16h, je me dis qu’il est temps d’aller acheter ce billet pour le trajet de demain (50rm). Ca y est je suis près psychologiquement.

Ce soir, à part mon quartier, tout est fermé, normal c’est le weekend. Cette fois, j’ai pensé aux provisions pour la route. J’ai mangé vers 7h et je suis resté tranquille au guest pour la soirée.

Je me demande pourquoi, ce soir, tous les occupants sont là ; sur la terrasse, sur les ordinateurs, sur les tabourets à tchatcher avec les patrons, bizarre. Il y a beaucoup de commerces fermés mais il y a toujours les étales extérieures des rues, peut être parce qu’il pleut, ou un grand nombre de pensionnaires part demain, comme moi. Bref, sinon la grosse « gueularde » est arrivé : Une femme qui chaque soir rentre au guesthouse, avec une multitude de paquets, jamais contente de l’état de propreté de sa chambre et en plus elle parle fort. Donc, j’ai préparé mes bagages et j’ai demandé à la réception de me réveiller à 6h30 pour être à l’embarcadère à 8h00. Normalement, je devrais me réveiller de moi-même, mais je préfère assurer les arrières. Je ne sais toujours pas si je pourrais loger sur les îles LANGKAWI, mais bon ! J’aviserais en temps.

Buvant mon thé, vers 22h30, un canadien est venus me taper la converse, moitié anglais, moitié français ; puis vers 23h, extinction des feux, pour être en forme demain, bien que le voyage ne doit être aussi long que le premier, mais…

Réveil 5h30, bien avant l’heure prévue ; je mange un peu de gâteau que j’avais acheté la veille. Le tôlier n’est toujours pas réveillé. Je vérifie que je n’ai rien oublié. 6h30, je vais à la porte de la réception, le tôlier se réveille en sursaut, j’ai le temps de prendre un café pour la route.

7h00, je pars pour le FERRY TERMINAL. 7h15, je suis sur place pour partir à 8h30,(mieux vaut être en avance !), j’arrive dans la salle d’attente, il y a déjà plein de monde qui grouillent dans la place. Le 1er convoi de 8h15, s’active au guichet. Moi, je pars à 8h30. 7h45, on nous appelle pour l’embarquement, (ils traînent pas) quelques barrières à franchir et me voilà dans le ferry à quai sur le détroit de Malacca. Encore quelques minutes et nous allons voguer sur les flots, en plein levé de soleil sous PULAU PENANG.

8h30, j’entends les moteurs rugirent ; ça y est le bateau se met dans le bon sens, pour partir, et on se lance à toute berzingue sur les flots, laissant une écume blanche sur chaque côté du bateau.. J’ai la place hublot, mais pas coincé. Je vais sur le pont, fumer une clope et je rencontre une californienne avec qui j’essaie d’avoir une conversation, et elle me dity qu’il y a un breton sur le bateau, je me précipite faire sa connaissance. Il va m’aider à trouver un bon guest chez une amie à lui, car il habite sur l’île. Premier arrêt, ce n’est pas là que je descends, le prochain ; les eaux ici sont turquoises. La moitié du bateau c’est vidé. Nous sommes restés un bout de temps à discuter tous les trois. Un peu plus tard, je suis descendu écrire ces quelques lignes, puis je suis retourné fumer une clope sur le pont ; vite fait, car il fait trop chaud. Dans la cabine assis, les stewards me proposent des gâteaux pour couper la faim, très bon.

12h30, arrivé au port, je vais manger un bout et prends un taxi pour gecko guesthouse, recommandé par le breton.

Voilà, j’y suis, j’ai trouvé une chambre à 25rm ; tout va bien…

Le Guecko Guesthouse est de l’autre côté de la route qui longe la plage, un peu plus au calme.

L’île de LANGKAWI est en Duty Free, donc j’en profite pour me réapprovisionner à moindre coût.

J’ai pris la chambre minimaliste, ce qui me suffit.

J’ai vu sur la plage que l’on pouvait faire du parachute ascensionnel pour 60 rm, ça vaut peut être le coup d’essayer.

Ce soir, j’ai mangé au restaurant d’en face. Ils étaient tellement débordés que j’ai attendu une heure avant d’être servi. Puis j’ai rencontré des belges et des suisses qui eux aussi attendaient pour manger.

Le 15.10.07 :

Ce matin, je suis allé faire un tour à la plage, piquer une tête, puis je suis allé déjeuner et là, j’ai rencontré les suisses d’hier soir qui partaient faire du SNORKELING. J’ai déjeuné avec eux, puis ils sont partis et moi, je suis allé faire une reconnaissance des lieux.

Je suis allé au Duty Free faire quelques achats souvenirs. Vers 12h, j’ai mangé une pizza succulente.

Après un après midi paisible, j’ai vu les suisses qui revenaient de leur SNORKELING.

Après s’être débarbouillés un peu, ils m’ont expliqué leur journée, à l’heure du repas, on a mangé ensemble, papoté et vers 21.30, ils sont allés se coucher, après leur journée harassante. Je bus un dernier café et fis une ballade sur la plage. De retour, je me renseigne pour le snorkeling que je prévoie pour dans 2 jours et la location d’un vélo pour demain.

Le 16.10.07 :

7h, je me lève direction la plage piqué une tête et je reviens prendre une douche et mon p’tit dèj. J’attends 9h, l’ouverture du magasin de location, je prends mon vélo et me voilà parti sur la route visiter un peu ; je m’arrête vers 10h dans un café.

J’arrive dans un cul de sac, je ne peux aller plus loin.

Sur le chemin de retour, je m’arrête à mon guest et là je croise les suisses qui partent en mob.

Je bois un café en terrasse et j’entends parle français. 2 françaises mangent derrière moi.

Elles font un cour voyage de 2 semaines en Malaisie.

On discute de nos expériences, de nos voyages, échangeons des plans.

Vers 11h, je reprends la route dans l’autre sens et 2 heure après, je m’arrête dans une guinguette, cassé une croute, et je continue ma route sur le retour.

Le soir, j’ai mangé avec les françaises puis nous sommes allés boire un ver dans un pub.

Le 17.10.07 :

Ce matin, je me suis levé à 6h30, c’est le jour de mon SNORKELING.

Je suis allé déjeuner au BREAKFAST BAR, puis je me suis rendu au point de rendez vous pour attendre le van qui doit m’amener au ferry pour l’île au SNORKELING. 8h20, la navette arrive, 9h30 embarquement sur le ferry puis 1h30 de traversée sur mer et me voilà au parc à poisson.

Une fois arrivé, on nous distribue les palmes et tuba, puis je suis allé explorer les fonds marins.

Il y avait plein de poisson partout. J’ai acheté un appareil WATERPROOF pour prendre des photos de toutes ces espèces.

Vers 12h30, plateau repas fournis par la direction.

Retour dans les fonds marins, j’aperçois des baracoudas, des requins…., vu la chaleur qu’il fait, je me vois obligé de me mettre à l’ombre un moment.

0h30, plus tard, la tentation d’y retourner me gagne. Vers 14h00, je sors de l’eau, me prépare et vers 15h00, nous voilà sur le chemin du retour, je me sis mis sur le pont du bateau, à la fraîcheur. Arrivé au port, je grimpe dans le van qui m’attend. Quelques kilomètres plus loin, il tombe en panne.

Changement de van et à 17h15, j’arrive en fin au campement où une cigarette et un café m’appellent.

Et là, je rencontre encore des suisses, dont la fille est installée en malaisie, sur la côte est. Puis ce fut un italien.

Ce soir, j’ai rendez-vous avec les compatriotes, pour un repas. Pour la dernière soirée ici, je ne me prive pas, je m’empiffre un crabe, dans un resto qui vient juste d’ouvrir, et pour finir un VRAI café LAVAZZA. Vers 20h45, je retrouve les francaises au pub irlandais. On papotte un moment, puis elles vont se coucher, il est 0h00, car demain elles prennent la route pour KualaLumpur, je pars aussi demain pour PENANG.

Le18.10.07 :

Ce matin, j’ai pris mon p’tit dèj au RAZA, j’ai hélé un taxi pour le ferry. Il est 11h, je bois un café au STARBUCK. Je crois que le prochain bateau est à 14h30, j’ai le temps. Le top serait de pouvoir tout faire d un coup : J’arrive à PENANG, je vais à BUTTERWORTH et je prends le train de nuit pour KL.

Voilà, j’ai pris un ticket pour PENANG, il est 11h35, je dois attendre 14h30 pour le départ.

13h50, je suis sur place, pour attendre l’embarquement, dans le hall d’attente, le temps est devenu orageux, je vais peut être traverser avec la tempête.

Ca y est, je suis sur le bateau, la tempête se prépare belle et bien, j’imagine une traversée folklorique. On verra bien…

Une fois sorti de LANGKAWI, beau temps. Il est 17h15, nous arrivons bientôt à PENANG, tout le monde sort de sa sieste et se positionne, prêt à bondir en dehors du bateau. Sorti du port, je me suis fait directement « agressé » par des taxis qui voulaient me déposer où je voulais pour 40 rm. Ils étaient tellement tenace que j’ai accepté, je voulais d’abord manger, mais bon… !

Je suis en gare de BUTTERWORTH, je voulais prendre le train de nuit mais on m’annonce qu’il est complet donc, je mange et je verrais avec les bus, la station n’est pas loin.

J’ai eu de la chance, je suis allé à la station de bus à côté et j’ai trouvé un bus pour Kuala Lumpur pour 25rm, un trajet de 4h30 et j’arriverais vers 12 h30, j’aviserais là bas ; avec un peu de chance, je pourrais enquiller sur MALACCA. Je viens de m’apercevoir que j’aurais pu prendre un bus direct pour MALACCA. Tant pis, j’en prendrai un autre une fois à KL, vive l’aventure.

19h50, je suis dans le bus direction KL.

NUIT DANS LES RUES DE KUALA LUMPUR.

Je suis arrivé à 0h30, apparemment, il n’y a pas de bus avant h00, me dit-on, je patiente, je vais dans un cyber, e sors, puis on me dit que finalement, il y a un bus à 3h30 (bonne nouvelle !), alors, je m’assoie au guichet et j’attends.

15rm le trajet, je me débrouille bien, pour une durée estimée de 3h00.

4h20, le bus arrive enfin, il a eu du retard pour cause « HARI RAYA  FESTIVAL ».

 

J’essaye de dormir, je n’y arrive pas. A 6h20, on arrive au terminal de MALACCA. L’endroit est désert, (normal, il et 6h du mat !). Je marche au moins

3 km

avant de trouver « tony’s guesthouse » (ca fait du bien le sport). Ca y est, je l’ai trouvé, un écriteau dit qu’il sera de retour à 10h30. Pour le moment, je vais prendre un bon café en face. J’ai appris à être patient cette nuit. Ca y est, je suis finalement installé mais pas au Tony’s, j’ai pris une chambre à « l’eastern heritage ». Petite chambre sympa, proprio sympa pour 25 rm.

Je suis allé faire un tour de reconnaissance, je me suis un peu pommé mais bon !...Ce soir, il y a grande animation dans le quartier chinois, grand marché, karaoké. Je me couche vers 11h.

Le 21.10.07 :

Ce matin, je me lève vers 8h30, je me débarbouille je vais manger un morceau et je découvre un quartier donnant sur le détroit. Bizarrement, plusieurs personnes me disent de ne pas y aller, qu’il n’y a rien à voir, que la mer était beaucoup plus loin. Bref !, en sueur, je me dis que rentrer était une bonne solution.

Tout aussi bizarrement que ce la puisse paraître, je n’ai vu aucun chien dans les autres régions, et à Malacca, il y en a de partout !

Je suis allé manger un riz végétal avec café et jus de citron (6.5 rm), puis je suis allé au quartier chinois essayer de négocier les T-shirts d’artiste ; rien à faire. J’ai réussi à descendre le prix de 10 rm ( 30 au lieu de 40) pour un tour de ville en treekshow.

Je suis retourné au quartier chinois et je suis tombé sur un pub irlandais, le patron super sympa qui jouait dans un groupe et joue toujours du piano dans son bar, pour les clients ; il m’a joué une chanson de piaf. J’ai rencontré un couple de français transitant dans le coin, on a prit un café ensemble ; ils arrivaient et voulaient faire un peu le même trajet que j’ai fait. Continuant mon tour de quartier, je suis arrivé au quartier arabe et je me suis posé au discovery café et là, j’ai discuté, longuement, en anglais, avec la serveuse.

J’ai mangé des sushis à même les étales, sur le marché, et je suis allé boire un café au pub irlandais. Il y avait un couple, 1 malais et une anglaise. Le malais commença à m’adresser la parole puis nous avons, le malais, l’anglaise et moi, discutés pendant une bonne heure, de voyage, car elle avait de nombreux voyage à son actif.

Je les ai quittés, je suis allé boire un jus de citron sur le marché puis j’ai décidé d’aller dans un autre quartier.

Une fois arrivé au guesthouse, qui je vois ?, le patron d’un guersthouse de la rue love lane à PENANG qui est passé voir le patron de l’EASTERN HERITAGE, son pôte

1h30 du mat, peux pas dormir.

Le 21.10.07 :

Ce matin, un peu dans le coltar, je suis allé déjeuner, vers le park à treekshow et il y avait le treekshowman, à qui j’avais demandé le prix, la veille, qui m’attendait et il me dit : »I remember you when you come for a tour ».

« Not, now, i must have breakfast »

Je suis donc allé déjeuner et après, je suis allé faire un tour de ville en treekshow, il y tenait tellement.

Vers midi, je suis allé dans le quartier chinois, mangé un morceaux et en revenant, je me suis arrêté à la boutique d’artiste et j’ai acheté un T-shirt. Je suis rentré, j’ai fais une sieste et je suis allé dans le quartier arabe, acheté 2 autres T-shirts pour la forme. (10.8rm).

Le soir, je suis allé voir le dernier confectionneur de chaussures miniatures pour chinoises aux pieds bandés.

Le 22.10.07

Ce matin, j’avais prévu de partir mais finalement, je pars demain, je suis allé demandé au Tony’s guesthouse, si c’était le même patron quand Thaîlande à AYUTAYA. Il me dit que non, qu’ils ont pris le nom. J’ai déjeuné, j’ai récupéré mon linge, j’ai fais la connaissance de 2 jeunes suédoises de 20 ans, parties pour 3 mois de voyage. Je suis allé à internet, puis je suis allé me rafraîchir avant de faire ne petite sieste.

A 15h, je suis sorti dans CHINATOWN boire un café glacé accompagné de confiseries locales, pour me réveiller, et je me suis mis à la recherche d’un bon massage. J’ai demandé à droite, à gauche, on m’indiquaient des lieux pour la haute donc chers . Vers 17h, je retourne au guesthouse prendre une douchee oblige et en sortant, je m’arrête au café DISCOVERY. Là, la serveuse vient me parler et de fil en aiguille, je lui demande où est ce que je peux avoir un bon massage de préfrence avec une fille. Elle me dit » don’t care, i find you, somebody » De coup de téléphone en coup de téléphone, elle me dit : « Okey, i have somebody for you »

Et là, je vois arriver une jolie jeune fille d’une 20ene d’année et nous allâmes en chambre pour le massage.

Il est 20h, je vais boire un verre et là je rencontre une voisine de guest, Irlandaise, qui parlait très bien le français. On discute, elle est là pour le week end car elle habite en thaïlande.

Travaillant dans l’hotellerie, son travail lui permet de beaucoup voyager ; puis un canadien arrive, on boit un verre et le canadien rentre. L’irlandaise et moi rentrons au guesthouse et là, je rencontre des français venant de Grenoble. On discute pendant une bonne heure, ils sont dans le médical tous les 2 et voyage pendant 1 an. Il est 12h25 du soir, je vais fumer ma dernière clope et me coucher. Demain, je prends la route pour KUALA LUMPUR avec l’irlandaise.

Le 23.10.07

Ce matin, j’ai déjeuné avec l’irlandais puis, vers 10h, il pleut et Marion veut visiter un peu Malacca. Je lui dis qu’on se retrouve au guesthouse. 12h30, elle arrive, on passe dans un magasin d’art où elle a achetée quelque déco puis elle veut aller voir l’artisan rare qui fait des chaussures dont je lui ai parlé.

On prend le taxi pour la station de bus et elle décide finalement d’aller à l’aéroport en taxi, c’est plus simple pour elle. Moi, je descends à la station de bus pour KL centre, et me voilà dans le bus pour KL (10rm). Ca y est, je suis arrivé au point de départ, la boucle est terminée.

Je me suis rendu au même quartier, le quartier chinois (pratique, il est à côté de la station de bus). Cette fois, je suis allé au backpacker’s traveller’s in. J’ai une chambre pour 20rm, ça m’a l’air sympa. Première angoisse, je dois confirmer mon billet de retour, les agences du coin ne me comprennent pas ou ne veulent me comprendre. On me dit finalement, que l’agence mère est fermée ce jour.

Le 24.10.07

Ce matin, je me suis levé à 8h30, déjeuner et sauté dans un taxi pour KLM office, je croyais être en retard, car la confirmation et a faire 72h avant. Mais aucun souci.

Ce soir, je vais au marché une dernière fois puis je rentre. Dans le salon intérieur, il y a un groupe qui discute : ce sont des philippins, ils m’invitent à prendre part à leur discussion. La bonne ambiance, quoi !

Puis, je retourne au marché et je commence à « yeuter » les stands en vue de mes achats futurs .Je mange une salade dans un resto. Je m’achète mon sac à dos (50rm), un T-shirt souvenir de Chinatown. Je pars à la recherche de timbre de collection ; impossible de mettre la main dessus. Ce soir, je recherche des T-shirts à mon gout, mais, les vendeurs, avec leur « eh !sir, eh !sir »venant de toutes parts, commencent à me stresser. J’i pas mal marché aujourd’hui, je me fais faire un massage des pieds pour détendre mes muscles ; me relaxer. Je mange à la sauvette sur les stands, succulent puis je fais un tour au delà du quartier et je rentre préparer mon sac. Je fais développer mes photos, les photos du « SNORKELING » sont à peu près bonnes.

22h30, je rentre au guest, je m’assoie à la terrasse et je discute avec les résidents..

Le 25.10.07

Je me lève vers 7h, je déjeune dans la rue puis j’attends 10h, l’ouverture des magasins pour les baskets, mais elles sont trop grandes. 10h30, je rends les clefs du guest et dépose mon sac en lieu sûr. Je vais manger à 12h30, je vais dans un cyber, annoncée mon arrivée imminente, et là, je rencontre le patron du « TEMBELLING REVERVIEW », au teman negara. A 14h, je prends le bus pour l’aéroport

A 13 h, je monte chercher mes bagages et je me rends à la gare, attendre le bus de 14h. Ca y est, je suis dans le bus, avec un peu de retard, car la circulation est très dense, au point que le cauch nous ballade à divers endroit, sur l’avenue », pour faciliter l’accès au bus. Nous sommes en direction de l’aéroport pour une durée de 1h30.

Vers 15h30, j’arrive à l’aéroport, il y a un bar à la station de bus, je prends un café, je me renseigne et j’obtiens le renseignement que je voulais, savoir où était l’aéroport, 5 étages au dessus qu’il était. ?

Je commence à repérer les lieux, savoir où je dois me présenter, où puis je laisser mes bagages, à la consigne pour 20rm. Puis, j’effectue un tour d’inspection pour savoir où manger et boire un café. Il est 17h30, je me pose à une terrasse de café. Dans environ 3 heure, j’obtiens mon bording pass puis j’attends jusqu'à 23.15.

Il est 16.30, je prends un encas, change le maximum de monnaie en euro.

20.30, je suis enregistré, mon sac est parti, j’ai mon boarding pass ; plus que 2h d’attente avant présentation au quai d’embarquement, ça sent la fin des vacances.

Je suis en zone de transit, je me fais confisquer ma bombe antimoustique, « la belle affaire ! »

Il est 22.30.

23.20, je suis dans l’avion (très gros), pas d’écran télé. Je suis coincé entre deux personnes. Une fillette malaise et une Indonésienne.

Panique à bord, un passager à reçu une boîte sur la tête, tombé de la soute à bagage.

L’indonésienne dort déjà, si je veux sortir, je vois bien le tableau « Ne ! Ne ! ».

« Relativise, Marcel, tout va bien se passer »

Je lui ai proposé de se mettre à ma place, à côté de la fillette, elle m’a répondu « Ne ! Ne ! ».

J’ai l’impression que ça va être galère pour la faire bouger.

23h30, je sens un soupçon de mouvement de l’avion, il se prépare à décoller, ça y est, ça roule. 2h après, drame chez ma voisine de droite, crise d’épilepsie ou je ne sais quoi.

Elle m’a foutu la trouille, j’écoutais la radio tranquille, lorsque je sens ma passagère de droite me pousser, j’ouvre les yeux et là, elle regardait en ma direction sans objectif en faisant une grimace digne de « CARRIE » dans « l’exorciste », et d’un coup elle se mit à trembler. C’était un peu inquiétant.

6h, on vole toujours, je ne sais plus à quoi correspond les 6h avec le décalage horaire ; si mes calculs sont bons, il reste encore 6h de vol. 10h sans décalage.

Ils viennent de rallumer, je pense qu’ils vont servir un p’tit dèj, ça tombe bien, j’ai faim. Voilà, ça arrive.

Heure nouvelle, 11h avec décalage, il doit rester un peu plus d’une heure pour arriver (1h03 exactement)

Je vois les gens s’agiter, on est proche.

Heure d’arrivée prévue : 6h14

L’avion caresse le bitume, 6h05.

Ma correspondance est à 9heure.

Une fois dans l’aéroport d’Amsterdam, je flâne de boutique en boutique, je vois le Duty free, je veux m’acheter des clopes, mais bizarrement, la nana me dit que je n’ai pas le droit au Duty-Free, il faut une longue destination, je pense qu’en sens inverse, j’aurais pu m’en acheter.9h00, je me présente à la porte B29, puis une demi heure après, je suis dans l’avion petite ligne d’Air-France. 9h45, voilà l’avion qui s’élance sur la piste destination Lyon St Exupéry (bizarrement, ce nom m’ai familier) et voilà que se termine mon trip asiatique.

 

 FIN

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VOYAGES ASIATIQUES
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